Composé de Jesper Eklow à la guitare, Marc Razo à la basse, Harry Druzd à la batterie, puis, de Paul Major à la guitare, et, au chant, les New Yorkais sont influencés par des groupes comme les Stooges, Hawkwind, ou, le Rock Cosmique Expérimental de la fin des 60's, (le fameux Kautrock Allemand). Tirant son nom d'un album de John Lee Hooker, Endless Boogie cultive un style minimaliste de riffs de guitares qui s'étirent à l'infini, dans des univers improvisés, en forme de jam session,(d'où ce nom).
Le groupe passera une bonne dizaine d'années à pratiquer leur musique monolithique, et, mystique dans les bars de Brooklyn, ou, sur toutes les bonnes scènes underground du Comté de New York. C'est en 2008, que sort leur premier opus, intitulé Focus Metal, bien accueilli par la critique, de mème que leur deuxième album, baptisé Full House Head, qui, lui, sortira en 2010, et, qui leur vaudra de voir d'avantage de public dans les salles de concert. Il faut attendre 2013, avec la sortie de Long Island, leur troisième épisode, pour qu'Endless Boogie vienne, enfin, partager, et, avec succès, leur esprit Garage Old School avec l'ensemble des pays Européens, en 2014. De retour aux Etats Unis, en 2015, les New Yorkais poursuivent leur petit bonhomme de chemin en expérimentant de nouveaux morceaux dans de petites salles où leurs fans les plus fidèles viennent, en pèlerinage, headbanguer, et, taper du pied au son des guitares fuzzy.
2016, retour, donc, au Gary's Electric Studio de New York, pour enregistrer ce Vibe Killer, produit par le guitariste Jesper Eklow, et, sorti, chez No Quarter Records, en 2017. Dès l'entame, sur Vibe Killer, le titre éponyme de l'album, le ton est donné. Un riff de guitare bluesy entetant, un tempo obsédant, une basse envoutante, puis, la voix éraillée, et, caverneuse de Paul Major qui vient se greffer sur l'ensemble, avant de laisser la place à de longs solis, à la fois, aériens et nasillards. Meme approche sur Whilom, avec son riff en suspension, sa basse tourmentée, et, son chorus en wah-wah. En plus soutenu, on se régale, d'abord, sur le superbe High Drag, Hard Doin', avec son coté Stonien, façon It's Only Rock'n'Roll, et, son solo fuzzy, rappelant Ron Ashton des Stooges, puis, aussi, sur Back In 74, avec son riff, genre Woodstock, de Joni Mitchell, sa wah-wah, et, son solo nasillard. En plus enlevé, on se délecte, en premier lieu, sur Let It Be Unknown, avec son riff style When The Music's Over des Doors, et, sa wah-wah Stoogienne, puis, aussi, sur Bishops At Large, avec ses ambiances Funky, et, sa wah-wah couleur Temptations. Enfin, en plus heavy, on trouve Jefferson County, une pièce maitresse de plus de 11 minutes, avec son tempo langoureux, son riff lancinant, et, ses guitares inspirées qui s'entrecroisent tout au long du morceau. Bref, vous l'aurez compris, voilà un album qui se veut fidèle à la réputation du groupe, avec des morceaux mélangeant des styles divers, et, variés, élaborés de façon expérimentale, et, répétitive.
Alors, si vous aimez ce style un peu garage band improvisé, baignant, tour à tour, dans le Stoner, le Bluesy, le Heavy, ou, le Rock, avec un parfum d'autrefois, voilà un album qui devrait, sincèrement, vous satisfaire. A écouter en boucle!
Le groupe passera une bonne dizaine d'années à pratiquer leur musique monolithique, et, mystique dans les bars de Brooklyn, ou, sur toutes les bonnes scènes underground du Comté de New York. C'est en 2008, que sort leur premier opus, intitulé Focus Metal, bien accueilli par la critique, de mème que leur deuxième album, baptisé Full House Head, qui, lui, sortira en 2010, et, qui leur vaudra de voir d'avantage de public dans les salles de concert. Il faut attendre 2013, avec la sortie de Long Island, leur troisième épisode, pour qu'Endless Boogie vienne, enfin, partager, et, avec succès, leur esprit Garage Old School avec l'ensemble des pays Européens, en 2014. De retour aux Etats Unis, en 2015, les New Yorkais poursuivent leur petit bonhomme de chemin en expérimentant de nouveaux morceaux dans de petites salles où leurs fans les plus fidèles viennent, en pèlerinage, headbanguer, et, taper du pied au son des guitares fuzzy.
2016, retour, donc, au Gary's Electric Studio de New York, pour enregistrer ce Vibe Killer, produit par le guitariste Jesper Eklow, et, sorti, chez No Quarter Records, en 2017. Dès l'entame, sur Vibe Killer, le titre éponyme de l'album, le ton est donné. Un riff de guitare bluesy entetant, un tempo obsédant, une basse envoutante, puis, la voix éraillée, et, caverneuse de Paul Major qui vient se greffer sur l'ensemble, avant de laisser la place à de longs solis, à la fois, aériens et nasillards. Meme approche sur Whilom, avec son riff en suspension, sa basse tourmentée, et, son chorus en wah-wah. En plus soutenu, on se régale, d'abord, sur le superbe High Drag, Hard Doin', avec son coté Stonien, façon It's Only Rock'n'Roll, et, son solo fuzzy, rappelant Ron Ashton des Stooges, puis, aussi, sur Back In 74, avec son riff, genre Woodstock, de Joni Mitchell, sa wah-wah, et, son solo nasillard. En plus enlevé, on se délecte, en premier lieu, sur Let It Be Unknown, avec son riff style When The Music's Over des Doors, et, sa wah-wah Stoogienne, puis, aussi, sur Bishops At Large, avec ses ambiances Funky, et, sa wah-wah couleur Temptations. Enfin, en plus heavy, on trouve Jefferson County, une pièce maitresse de plus de 11 minutes, avec son tempo langoureux, son riff lancinant, et, ses guitares inspirées qui s'entrecroisent tout au long du morceau. Bref, vous l'aurez compris, voilà un album qui se veut fidèle à la réputation du groupe, avec des morceaux mélangeant des styles divers, et, variés, élaborés de façon expérimentale, et, répétitive.
Alors, si vous aimez ce style un peu garage band improvisé, baignant, tour à tour, dans le Stoner, le Bluesy, le Heavy, ou, le Rock, avec un parfum d'autrefois, voilà un album qui devrait, sincèrement, vous satisfaire. A écouter en boucle!
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