Quatorzième opus studio pour ce légendaire combo de Hard Rock, né en 1970 et originaire d'Adélaide en Australie.
Plus connu en France sous le nom d'Angel City, le groupe a profité de l'engouement du public pour la musique d'AC/DC , pour conquérir l'Europe, et , surfer sur la vague de succés avec d'excellents albums tels que Face To Face (1978) ou Darkroom ( 1980). Après la sortie de Night Attack en 1981, le succés semble s'estomper en Europe, et, le groupe reviendra en Australie. Ils reprendront leur nom d'origine: The Angels, et, poursuivront leur carrière, avec des hauts et de bas, en sortant quelques albums jusqu'en 1999. Suite à quelques conflits, et à une certaine lassitude, The Angels se dissout. En 2009, le groupe se reforme et prépare le projet Symphony Of Angels pour se produire avec un orchestre symphonique à Adélaide, en 2010. Le quintet sera, d'ailleurs, honoré par le maire de la ville et fetera le 30ème anniversaire de la sortie de l'album Darkroom.. En 2011, le chanteur Dave Gleeson remplace Doc Neeson, et, à la batterie, c'est Nick Norton qui succédera à Buzz Bridstrup. 2012, retour au studio pour enregistrer ce Taking To The Streets.
Dès l'entame, avec To The Streets, on retrouve le son chromé et cristalin de la guitare de John Brewster, le son de clavier orgue Hammond de son frère Rick, et, la voix rauque de Dave Gleeson, assez proche de celle de Doc Neeson, le tout dans un style genre Tom Petty. Meme approche soft, et, enlevée avec le très Stonien Wounded Healer, ainsi que The More You Give avec son chorus bien mélodique ou encore le très clean There Comes A Time. En plus rapide, on trouve When The Times Come avec son coté Street Fighting Man, mais aussi, Pump It Up avec son riff obsédant, ou, enfin, Getting Free avec son chorus en slide. En plus heavy, citons Life Gets Better avec son coté angoissant, ou, encore, Téléphone, tout en suspension, grâce au clavier de Rick Brewster. Toujours dans des ambiances particulières saluons le superbe Some Kinda Hell In Here qui jouit d'un climat très obssessionnel, ainsi que Free Bird, avec son groove très Sudiste, l'harmonica de John Brewster et la voix très chaude de Dave Gleeson. Enfin, plus proche, de ce qui fit, jadis, leur marque de fabrique, dans une atmosphère très AC/DC, on se régale avec Waiting For The Sun qui sonne à la manière de Live Wire, mais, aussi, avec No Sleep In Hell, au chorus bien aiguisé, ainsi que Small Price qui jouit d'un gimmick rappelant Jailbreak. Précisons, qu'en plus de ces 14 morceaux, un deuxième CD enregistré Live, est joint au package. On y retrouve les plus grands tubes du groupes tels que: Ivory Stairs, After The Rain, No Secrets, Shadow Boxer ou encore Take A Long Line. Ajoutons, que la sortie de cet album aura, aussi, été marquée par la longue maladie du bassiste Chris Bailey, décédé en Avril dernier.
Doc Neeson, parti du groupe depuis deux ans, a, lui, été hospitalisé pour une tumeur au cerveau. Un concert de soutien, réunissant de grandes pointures du Rock Australien lui aura été dédié.
Dès l'entame, avec To The Streets, on retrouve le son chromé et cristalin de la guitare de John Brewster, le son de clavier orgue Hammond de son frère Rick, et, la voix rauque de Dave Gleeson, assez proche de celle de Doc Neeson, le tout dans un style genre Tom Petty. Meme approche soft, et, enlevée avec le très Stonien Wounded Healer, ainsi que The More You Give avec son chorus bien mélodique ou encore le très clean There Comes A Time. En plus rapide, on trouve When The Times Come avec son coté Street Fighting Man, mais aussi, Pump It Up avec son riff obsédant, ou, enfin, Getting Free avec son chorus en slide. En plus heavy, citons Life Gets Better avec son coté angoissant, ou, encore, Téléphone, tout en suspension, grâce au clavier de Rick Brewster. Toujours dans des ambiances particulières saluons le superbe Some Kinda Hell In Here qui jouit d'un climat très obssessionnel, ainsi que Free Bird, avec son groove très Sudiste, l'harmonica de John Brewster et la voix très chaude de Dave Gleeson. Enfin, plus proche, de ce qui fit, jadis, leur marque de fabrique, dans une atmosphère très AC/DC, on se régale avec Waiting For The Sun qui sonne à la manière de Live Wire, mais, aussi, avec No Sleep In Hell, au chorus bien aiguisé, ainsi que Small Price qui jouit d'un gimmick rappelant Jailbreak. Précisons, qu'en plus de ces 14 morceaux, un deuxième CD enregistré Live, est joint au package. On y retrouve les plus grands tubes du groupes tels que: Ivory Stairs, After The Rain, No Secrets, Shadow Boxer ou encore Take A Long Line. Ajoutons, que la sortie de cet album aura, aussi, été marquée par la longue maladie du bassiste Chris Bailey, décédé en Avril dernier.
Doc Neeson, parti du groupe depuis deux ans, a, lui, été hospitalisé pour une tumeur au cerveau. Un concert de soutien, réunissant de grandes pointures du Rock Australien lui aura été dédié.
Tout ceci pour dire que cette année 2013 est une année chargée en émotions du côté des Angels. Ce nouveau CD revêt un caractère particulier, et, même s'il n'a pas la texture des albums de la grande époque, il s'écoute très agréablement et avec délectation.
| Tracklist : | Line Up : | |
| 1. Take It to the Streets 2. Wounded Healer 3. Waiting for the Sun 4. Life Gets Better 5. Telephone 6. No Sleep in Hell 7. The More You Know 8. When the Times Comes 9. Pump it Up (Elvis Costello Cover) 10. There Comes a Time 11. Small Price 12. Getting Free 13. Some Kinda Hell in Here 14. Free Bird Bonus DISC : Recorded live at Qpac Theatre, 21/01/2011 1. Ivory Stairs 2. After the Rain 3. Wounded Healer 4. No Secrets 5. Marseilles 6. Outcast 7. I Ain't the One 8. Mr. Damage 9. Face the Day 10. When the Time Comes 11. Waiting for the Sun 12. Take a Long Line |
Rick Brewster (guitare, Claviers, Piano) John Brewster (guitare, Harmonica) Dave Gleeson (chant) Chris Bailey (basse) Nick Norton (batterie) |
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| Label : | Liberation Music |
| Sortie : | 2012 |
| Production : | n/a |
| Discographie : |
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The Angels (LP -1977) |
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