En 30 ans de carrière, Nightmare nous aura tout fait dans l'univers du heavy métal : du heavy tout court, du heavy mélodique, du heavy trash, et voire du heavy death :
Avec ce nouvel opus, on retrouve un peu de tout ce qui caractérise le groupe.
De tout ? Non ! Après 30 ans de longs et boyaux services, les frères Amore se sont fâchés avec le doyen du groupe, et justifient leur départ dans l'interview exclusive faite à Rockmeeting, ICI, et qui trouve sa réponse dans l'interview du bassiste leader, LA. Et dans lesquelles chaque partie nous donnera sa version de la célèbre blague ''Tchi Tchi ou la mort ? ''.
Alors pour remplacer l'irremplaçable, et pour justifier d'un ‘‘ce n’est pas ma faute'' par une Lolita, Yves Campion va faire appel à l'excellente et énergique Magali Luyten.
A prime abord, ce virage total à tribord tend à surprendre pour nous faire oublier le cauchemar qu'est ce départ des Amore.
Mais au final, l'on s'inquiétera bien à tort. (ok je sors, ! pour les vannes et rimes, suis pas un cador)
En effet, c'est plutôt même bien vu de ne pas chercher un clone, et d'apporter un soupçon de nouveauté et de féminité. Enfin, de féminité, sans froisser la dame, point il en est au niveau vocal tant la jeune femme réveille les morts. On est ici loin des registres des chanteuses de Nightwish, Delain ou de Chantal Goya, mais plutôt du côté sombre de la force, vers les Arch Enemy ou Rock Goddess. Mais la miss reste plutôt dans le registre vocal rocailleux, d'une Doro, plutôt que groll, même si elle s'y invite par petites touches bienvenues (Infected, Ikarus), offrant ainsi quelques variantes à l'album. Aussi, le groupe ne perd rien en force et rage, ni en mélodie.
Et si on imagine que cela a du tonner entre les ex, musicalement, ô rage, mais point de désespoir, ça bastonne comme il faut, et on touche un peu tout les genres du heavy. Point de ballades ici, mais le groupe s'efforce d'apporter quelques petites touches (choeurs, modulations vocales, interludes) qui ne rend pas l'album linéaire, au contraire. Et le point de ralliement au milieu de cette nuit, restera les mélodies sur des refrains anoblis. (zut ! ça me reprend ! Maître Gims ! sort donc de mon esprit avec tes rimes nazes !). Des titres imparables donc, avec des refrains mémorables ! Les Of sleepless minds, Tangled in the roots, Ikarus, l'épique Inner sanctum..., bref, je pourrai tous les citer : niveau compo, solo et autres interprétations : un album sans ombres !
Seul léger tort au disque, une production peut-être un peu trop fine, et point assez grasse pour le genre, mais je pinaille : rien de rebutant pour bien trembler avec ce nouveau cauchemar.
Alors comme le chantait aussi Nicoletta, si le soleil est mort, Nightmare devrait continuer à nous hanter encore longtemps sous la lune. Et comme souvent pour l'homme, c'est avec une femme que, rêves et cauchemars, continueront de nous faire frissonner … encore et encore … ce n'est qu'un nouveau début ! D’accord, d'accord …
De tout ? Non ! Après 30 ans de longs et boyaux services, les frères Amore se sont fâchés avec le doyen du groupe, et justifient leur départ dans l'interview exclusive faite à Rockmeeting, ICI, et qui trouve sa réponse dans l'interview du bassiste leader, LA. Et dans lesquelles chaque partie nous donnera sa version de la célèbre blague ''Tchi Tchi ou la mort ? ''.
Alors pour remplacer l'irremplaçable, et pour justifier d'un ‘‘ce n’est pas ma faute'' par une Lolita, Yves Campion va faire appel à l'excellente et énergique Magali Luyten.
A prime abord, ce virage total à tribord tend à surprendre pour nous faire oublier le cauchemar qu'est ce départ des Amore.
Mais au final, l'on s'inquiétera bien à tort. (ok je sors, ! pour les vannes et rimes, suis pas un cador)
En effet, c'est plutôt même bien vu de ne pas chercher un clone, et d'apporter un soupçon de nouveauté et de féminité. Enfin, de féminité, sans froisser la dame, point il en est au niveau vocal tant la jeune femme réveille les morts. On est ici loin des registres des chanteuses de Nightwish, Delain ou de Chantal Goya, mais plutôt du côté sombre de la force, vers les Arch Enemy ou Rock Goddess. Mais la miss reste plutôt dans le registre vocal rocailleux, d'une Doro, plutôt que groll, même si elle s'y invite par petites touches bienvenues (Infected, Ikarus), offrant ainsi quelques variantes à l'album. Aussi, le groupe ne perd rien en force et rage, ni en mélodie.
Et si on imagine que cela a du tonner entre les ex, musicalement, ô rage, mais point de désespoir, ça bastonne comme il faut, et on touche un peu tout les genres du heavy. Point de ballades ici, mais le groupe s'efforce d'apporter quelques petites touches (choeurs, modulations vocales, interludes) qui ne rend pas l'album linéaire, au contraire. Et le point de ralliement au milieu de cette nuit, restera les mélodies sur des refrains anoblis. (zut ! ça me reprend ! Maître Gims ! sort donc de mon esprit avec tes rimes nazes !). Des titres imparables donc, avec des refrains mémorables ! Les Of sleepless minds, Tangled in the roots, Ikarus, l'épique Inner sanctum..., bref, je pourrai tous les citer : niveau compo, solo et autres interprétations : un album sans ombres !
Seul léger tort au disque, une production peut-être un peu trop fine, et point assez grasse pour le genre, mais je pinaille : rien de rebutant pour bien trembler avec ce nouveau cauchemar.
Alors comme le chantait aussi Nicoletta, si le soleil est mort, Nightmare devrait continuer à nous hanter encore longtemps sous la lune. Et comme souvent pour l'homme, c'est avec une femme que, rêves et cauchemars, continueront de nous faire frissonner … encore et encore … ce n'est qu'un nouveau début ! D’accord, d'accord …
Label : | AFM Records |
Sortie : | 25/11/2016 |
Production : | Patrick Liotard |
Discographie : |
Waiting For The Twilight (1984) |
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