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- Écrit par Nico
Cela fait des mois et des mois que j'attendais la sortie de ce 2° album. J'avais déjà adoré le 1° mais là tout est sur-multiplié dans la qualité.
1° constat : le travail sur les vocaux est énorme, pour le "lead" mais aussi pour les "backing". Rarement un groupe d'AOR n'a eu des "backing" aussi riches, tendez bien l'oreille vous allez être surpris. A chaque écoute je découvre des subtilité dans le chant, il faut dire aussi que Lars est loin d'être un chanteur au timbre linéaire ou monocorde, quelles nuances ! Parfois puissant, groovy (le sublime "once again"), feutré, monté dans les aigus (le slow "until you believe), changement de tonalité...et il en fait jamais trop, c'est d'une justesse parfaite.
La voix AOR du moment, pas de doute !
2° constat : pour la production et le travail de composition tout a été étudié dans le moindre détail certains diront qu'elle manque de spontanéité (le côté "live"), c'est vrai c'est hyper produit et hyper arrangé mais pour moi c'est ce qui donne de l'ampleur aux morceaux. Le son de la batterie ne me gêne pas, d'ailleurs un de mes albums préférés est le Planet 3 qui est fait avec de la programmation pour la batterie (album dont la production à de nombreuses similitudes en plus de cet aspect). La "densité" claviers/guitares souligne les lignes mélodiques des morceaux et leurs donnent tout leur dynamisme. En fait, le titre dont la mélodie se fait exclusivement à la guitare est "castaway". La guitare est aussi bien mise en avant, le Riff de "the rain" ou de "eye of the storm".
3° constat : pas de temps faible, dans les titres, y a tout où il faut, les ponts, les breaks, les solos et pas de titres plus faibles, et le dernier est même une pure merveille "one step away", titre envoutant avec se son de synthé et un couplet un peu pesant qui déboule sur un refrain divin, Sall est vraiment un compositeur hors pair. 4° constat : tout ce qui a été dit plus haut marque la personnalité de ce groupe qui c'est éloigné de ces influences plutôt voyantes sur le 1° (ce qui ne m'avait pas incommodé) , elles sont toujours présentes (Dieu merci !) mais sont parfaitement canalisées. 5° constat : nous avons là un album référence de l'AOR moderne, je vais peut être en faire bondir certains en disant que dans les années 80 il y a eu le "seventh one" de Toto et bien aujourd'hui il y a "in progress" de W.O.A.
CONCLUSION : comme Fab j'ai eu l'impression que l'album a été écrit pour moi, comme si il avait été élaboré par le groupe selon "un bon de commande" ou une "notice" que je lui aurai personnellement transmise.
PS: ne ratez pas l'album de Xorigin sorti chez frontiers à la même date car c'est aussi un très bon album d'AOR, la preuve, Robert Sall à participer à la composition.
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- Écrit par John Markus
Les bons groupes sont immortels. J'avais le premier album qui s'était montré très prometteur. Le second moins bien produit possédait néanmoins une bonne version du Born To Be Wild de Steppenwolf.
Puis AC/DC est arrivé. C'était presque à la fin des années 70.
Métal Den doit s'en souvenir, il venait chez moi écouter mes disques. Dire qu'il va falloir patienter jusqu'à fin Octobre pour écouter ce nouvel opus.
Vivement l'automne! John Markus.
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- Écrit par thepoisse
D'avoir rétabli ce qu'aurait du être la chronique de cet album... Je crois que comme partout, il y a des avis divers et varié et cela se respecte mais j'avoue que quand j'ai besoin d'avoir l'avis d'un spécialiste d'AOR sur crossmeeting, j'appelle Fab et cette chronique me le confirme.
Bon globalement il s'agit de l'album AOR de l'année. Là ou Lionville et Rob Moratti sans être forcément mauvais ont échoué, WOA a réussi : allier ce que l'on doit aux références du genre, en y ajoutant un côté moderne et surtout... de l'émotion. Et puis y'a une prod! (le son du moratti sonne vraiment creux).
Cette galette est bien meilleure que la précédente, plus mature, plus variée... Alors sans relancer le débat connu des années durant, dire que l'on s'ennuie sur cet album juste à cause du son de batterie, c'est oublier tout ce qu'il y a autour. Ok l'auteur a adoré les autres albums sortis récemment, très bien, j'accepte l'idée mais de là a manquer de discernement sur le WOA, ça passe moyen.
Bon en tout cas, je ne peux pas dire que RM ne se démarque pas des sites spécialisés qui ont tous encensé cet album. ça ne fait pas crédible mais au moins on saura que Frontiers ne paye pas les chroniqueurs pour avoir des bonnes notes (sauf pour Journey ou la folie collective s'est emparé de tout le monde pour encenser une pale copie de ce qu'il reste du mastodonte, comme quoi moi aussi je peux avoir un avis tranché).
Bref, nothing personal bien entendu, je n'ai pas la science infuse mais compte tenu des avis plus que favorables ici et là, n'était-il pas plus opportun de confier cette chro à Fab?
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- Écrit par Eric Berger
Il est remplacé par Mike Ledesma qui a récemment fait des choeurs pour Ted Poley et a écumé les scènes de New York avec des groupes de hair métal comme Panther ou Next of Kin. Il se dit influencé par Lou Gramm et Aretha Franklin.
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- Écrit par Maënora
Ou le Work of Art III ... si il sort ? Pour bien entériner le débat, même la plus grosse daube de variétoche, immonde et RAPeuse à souhait si il le fallait ... trouve son public. Trouve un GROS public ! Surtout en France. Il n'y a qu'à voir qui remplis les stades, les têtes de rayons de ventes, etc
. Alors, je ne suis pas là pour lécher du gland ! "avis divers et varié et cela se respecte" No problémo avec cette phrase, mais elle vient trop tard dans le laius alors ... si ça ne plait pas à qqu'un(s); en tout bien, tout honneur : je lui @¤^^e à la *#~e à bon entendeur ;
-) Pour info': j'ai réussi à trouver un autre "connaisseur" français (sur un autre site) qui n'avait pas adhéré, ou devrais-je dire un autre mec avec des gouts de c.....es ?
On peut aimer Toto et rester objectif. Mais même si j'étais seul, J'ASSUME ! In fine, ce n'est pas la peine d'essayer de poser la zizanie avec mon ami Fab.
On se consulte souvent (comme pour cet album) il connait mon opinion, nous avons multitudes de groupes en communs mais aussi des nuances prononcées qu'on respecte.