D'avoir rétabli ce qu'aurait du être la chronique de cet album... Je crois que comme partout, il y a des avis divers et varié et cela se respecte mais j'avoue que quand j'ai besoin d'avoir l'avis d'un spécialiste d'AOR sur crossmeeting, j'appelle Fab et cette chronique me le confirme.
Bon globalement il s'agit de l'album AOR de l'année. Là ou Lionville et Rob Moratti sans être forcément mauvais ont échoué, WOA a réussi : allier ce que l'on doit aux références du genre, en y ajoutant un côté moderne et surtout... de l'émotion. Et puis y'a une prod! (le son du moratti sonne vraiment creux).
Cette galette est bien meilleure que la précédente, plus mature, plus variée... Alors sans relancer le débat connu des années durant, dire que l'on s'ennuie sur cet album juste à cause du son de batterie, c'est oublier tout ce qu'il y a autour. Ok l'auteur a adoré les autres albums sortis récemment, très bien, j'accepte l'idée mais de là a manquer de discernement sur le WOA, ça passe moyen.
Bon en tout cas, je ne peux pas dire que RM ne se démarque pas des sites spécialisés qui ont tous encensé cet album. ça ne fait pas crédible mais au moins on saura que Frontiers ne paye pas les chroniqueurs pour avoir des bonnes notes (sauf pour Journey ou la folie collective s'est emparé de tout le monde pour encenser une pale copie de ce qu'il reste du mastodonte, comme quoi moi aussi je peux avoir un avis tranché).
Bref, nothing personal bien entendu, je n'ai pas la science infuse mais compte tenu des avis plus que favorables ici et là, n'était-il pas plus opportun de confier cette chro à Fab?
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