Back In The Game - De retour dans le jeu, voire pourquoi pas : Finally In The Game? Depuis le temps que franchouillards et nostalgiques de la grande période 80’s Hard FM – AOR, nous voulions notre fer de lance pour mettre la pige à tous. Alors, quand c’est bon, ce n’est jamais trop tard.
Si vos références actuelles sont à chercher du côté de WOA, Houston, Palace, HEAT & consorts, mais que vous avez en sus l’impression d’être tombé dans la marmite petit, que même vos références cinématographiques lorgnent parfois vers un Stranger Things (récemment), voire autrefois Goonies et les B.O des 80 John Landis, Steven Spielberg, Tony Scott, Richard Donner, & autres, prenez un shaker… saupoudrez pour l’approche de la sonorité des claviers des : Asia, Alan Parson Project, Boston, Journey, etc. et incluez des zests de GIANT, DOKKEN, BAD ENGLISH, etc. alors vous pourrez commencer à envisager, entrevoir, ce que serait l’explosion… pas en bouche, mais côté ouïes, il y a en sus cette fragrance de nostalgie que je n’avais jamais entendu et c’est jouissif.
Enfin un projet 100% #Cocorico pour concurrencer le gratin ultime de la planète.
Alors que dans une soirée je discutais autour d’un verre, un des convives exprimait que pour lui la vue était son sens le plus important. Après réflexion, je peux vous assurer qu’en ce qui me concerne, l’ouïe est certainement le mien, cette mémoire auditive établie l’histoire de ma vie.
L’Art est, à mon avis, l’éveil de l’expression de chacun de nos sens.
Que serait un monde sans musique ? Pour moi, un vide abyssal (*).
Ce même vide qu’on retrouve dans l’humain et qui rend le misanthrope, l’haineux d’autrefois et hélas parfois le visionnaire de demain. Re vide abyssal !
La musique est le cœur de la vie de tant de gens, le moyen d’expression de nos sentiments, la pulsation… ce battement nécessaire à la vie. Pour exprimer joies et peines. Toutes émotions. Mon papa a eu le droit à de la musique pour son départ et aucune journée s’écoule sans que des notes viennent parfaire la b.o. de ma vie.
Le vrai langage de l’émotion ; la musique donne une âme à nos cœurs et des ailes à la pensée. Platon le disait HEART LINE vous l’affirme et Maënora vous le prouve :-D
C’est cadeau !
Le cœur de la vie, s’exprime aussi par sa Ligne (de Vie).
Tu la vois venir ? Tu la sens ?
Je vous rassure, on reste dans le très fin, pas le graveleux. On reste et on caresse l’art.
D’ailleurs si on parlait de HEART LINE ?
Et si on partait sur une chronique astronomique ?
Pour un projet astronomique, il nous faut quoi ? Un équipage digne d’un vaisseau des 80, Wise, ou Lucas, Spielberg.
HEART LINE en USS Enterprise… on en reparle du vide abyssal (*) ?
On ne parlera pas de distorsion (quoique ?) du temps, ni de propulsion exponentielle voire de déformation de l’espace… NON !
Que du combo !
Pour tenir le micro, et pouvoir chanter il faut avant tout des oreilles pour donner de la voix : Spock - Emmanuel CREIS (SHADYON [mi humain], EQUINOX [mi vulcain]) officier scientifique et ambassadeur, en oreilles il n’y a pas mieux en magasin et une signature vocale splendide ;
Un clavier Jorris GUILBAUD (DEVOID, SHADYON) Leonard ‘Bones’ McCoy médecin à bord, ce sont ses compétences en biologie moléculaire qui lui apporte son touché pianoté ô combien musical et médical, omni présent pour apporter également les effets spéciaux nécessaires entre autres aux clins d’œil du passé avec un son d’actualité et si besoin pour apporter le besoin indispensable pour la vitesse supraluminique ;
Un bassiste capable d’imposer de sa présence et sa prestance en la personne de Dominique BRAUD (YGAS, EBH) pourquoi pas : Montgomery ‘Scotty’ Scott ingénieur en chef… et de talent qui sait réparer les avaries et problèmes pour finalement apporter rondeur à l’ensemble, avant de faire magistralement le lien avec ;
Walter FRANÇAIS (SHADYON) qui serait pour l’occasion mon Hikaru Sulu, un caractère calme et maîtrisé, maître d’armes hors pair, ayant abandonné les sabres pour les baguettes et ce même dans les situations d’urgence pour une frappe en puissance et justesse.
Puis il ne faudrait pas oublier le meneur de ce nouveau projet Yvan GUILLEVIC (YGAS, PYG, qu’on retrouve également sur les trois projets de United Guitars, si référence en sus il fallait) en mode cap’tain James Tiberius Kirk. Qui pour l’histoire est annoncé en retraite qu’en 2293, avant d’être happé par une anomalie temporelle… mais on en reparlera pour les 172 ans du groupe.
C’est une étoile qui donne vie à la terre et l’étoile est aussi le symbole de cinq éléments vitaux (Lumière, terre, eau, feu, air) ou des cinq sens de l'être humain, ou des cinq musiciens du groupe. On omettra volontairement les infirmes du bulbe. La première dégénérescence vient de l’esprit et je ne parle même pas des gouts musicaux de fonds de cuvettes de certains.
Et si cinq définissait notamment le combo parfait du rock ?
Un batteur, un bassiste, un clavier, un guitariste et son chanteur ?
Les cinq branches de l’étoile, celle qui brille, scintille, avec le même grand éclat, que l’on est en droit d’attendre d’un morceau.
Chaque branche qui la compose apportant son éclat à tout instant, chaque membre du groupe pouvant apporter la brillance et amener au réel éclat, à la couleur unifiée et intense nécessaire à l’ensemble ?
Si vous avez un doute, savourez l’entièreté du contenu des onze pistes.
Voilà où je situe HEART LINE, aucune faiblesse, un ensemble harmonique pour l’intégralité du contenu.
Du ramage au plumage !
Pour la TRES, très grande majorité des sorties depuis moults décennies c’est un petit plouf dans l’eau, envoi direct dans le fond du syphon et parfois avec la couleur et l’odeur qui tache le papier en rouleau, s’il fallait pousser dans l’allégorie. Mais là on fracasse d’entrée, dans le genre à comparer avec ce qui s’est fait de mieux.
On saucissonne by Maënora ?
1- Fighting To Live – Une intro eighties mais une puissance musicale rare, bien appuyée par un son de six cordes… l’adjectif le plus descriptif serait ‘burnée’ et LA voix idéale pour porter le projet !
Impossible et inutile, dans le rock et le courant Hard, de chercher à se définir et se démarquer sans une singularité vocale et un lead guitare.
Bon j’avoue à cet instant ce n’est que moi qui le dis, mais je porte tellement d’importance à mon avis (12ème degré) sans ces ovnis, oups, pardon : M.T.E.T.R. (Musiciens Talentueux Expérimentés Totalement Reconnus) dignes de ce nom.
Ou alors on se maintient dans la mouvance molle. Et ce qui tombe à foison, aussi vite dans les bacs que dans la fosse à tourbillon.
J’aime à regarder vers le haut.
D’ailleurs, c’est factuel plus on regarde le ciel, plus on voit d’étoiles. Sauf dans certaines régions, ce sont les nuages, les gouttes, la neige, etc. Mais imaginez quelques secondes mon ciel. Imaginez les étoiles, ou allumer votre téléphone et prenez Wikipédia… pour une fois ça fera l’affaire.
Celles dont on se souvient, ce sont les plus brillantes, parfois les filantes.
HEART LINE rentre dans cette catégorie. Enfin une nova (pas mamie, le truc qui coule mais celle qui illumine au possible).
Ici, on navigue entre FOREIGNER, BOSTON, UNRULY CHILD et moults autres et excellentes références avec en sus, toujours LE sens de la composition, LE solo mélodieux à souhait ne sacrifiant rien à la puissance.
Des protagonistes triés sur le volet avec soin et ça s’entend.
2 - One Night In Paradise – Une intro très soignée, un riff quasi LynchIEN, un mid tempo qui m’avait direct envoyé en pur immersion émotion, pour moi c’est bonheur lacrymal. Faites chauffer les boomers. C’est le perfecto qu’on sort de la naphtaline, on taille les poils de la serpillère, un peu de glu et le tour est joué !
Ce projet nous vient encore… (j’avoue, c’est dur à admettre pour un propriétaire du Mont Saint-Michel, pas la galette [on parle du monument architectural pas de cailloux entassés, non plus, faut pas d#conner] et accessoirement des Alpilles) il vient, il vient… encore de Bretagne et d’Yvan Guillevic.
Le Hard Rock est sa fontaine de jouvence, un berceau de sa vie. Une raison probablement même de son identité.
Sans ce courant musical, il pourrait être chalutier, barman, videur de boite de nuit, videur d’huitres, de bulots à Cancale, porteur de menhirs, mais le simple fait de sa notoriété et reconnaissance hexagonale d’hier, d’aujourd’hui et plus probablement de demain doit être née autour des années 80 et pour cette fois bien au-delà de l’hexagonale, pour sa genèse.
Cela s’entend et se ressent sur l’étendue de la galette, certains prétendent même que ça se sent, ça se sent que c’est toi, perso’ je n’avais plus connu ça depuis le Exhibit de WOA, pour le dernier en date de cet acabit.
3 - Hold On – Chaque intro et c’est LA palette de souvenirs, vraisemblablement la source de cette émotion, chez moi ; mais plaisir autant partager par ma très charmante femme : Laënora. Comme moi fan également de cet album, de sa signature musicale et vocale. Sur mes premières écoutes, il y avait des réminiscences à JOURNEY.
Sur ce type de morceau il envoi Emmanuel ; et pour chaque titre il y aura THE solo de six cordes, MAGNIFIQUE ! Apprenons et sachons reconnaitre, apprécier les prouesses individuelles se nourrissent du talent de l’ensemble MAIS essentiellement distinctif de chacun des protagonistes.
4 I’M In Heaven – Si ALAN PARSON PROJECT avait musclé son jeu, il aurait pu s’approcher de cette composition. Un refrain diablement efficace, le Hard FM d’antan, catalogué A.O.R. désormais. Encore une pépite, ça ne s’arrête plus, ne coupez pas la vanne et moi je veux bien, encore, plus de solo, peut-être en Live ? Un morceau où Jorris se montre indispensable, on se croirait dans les b.o type Freddy, Goonies et Stallone de la grande époque.
5 - On Fire – Les mêmes ingrédients, pour encore un HIT. Un album que vous pourrez user, même en format CD. Avec cet album, il est vraiment intéressant de jouer avec l’ordre chronologique, aléatoire, s’attarder sur les détails.
6 - Back in the Game – Voilà un titre qui se rapprocherait plus d’un Work Of Art, qu’au passé, en enviant rien au sus-cité ; de quoi envisager de beaux festivals en perspective. Pour les amateurs de notre genre musical la guitare occupe une place de choix, alors je vous invite à écouter parfois les solos comme des pièces à part entière.
7 - Once In A Lifetime – Oh, ça craque sur la platine et un petit côté acoustique façon Adrian Vandenberg, avec un morceau qui monte tellement en puissance, un titre qui mériterait son clip avec son chœur de chorale. On est dans la ballade, avec deux ‘ailes’ pour la composition poétique et musicale, sans jamais et aucunement tomber dans la mièvrerie. Moi je les aperçois ces chœurs de chorale.
8 - Fire Dance – Un morceau qui aurait pu sortir des doigts de Fast Eddie Clark et son FASTWAY, mais ô combien avec LE son actuel. Un hymne plus pulsé et un registre toujours dans la zone de confort d’Emmanuel. J’adore cet album ! Walter impose à son tour sa dimension sur cette compo et que dire de CE solo, il pourrait être de l’année, surtout avec son duo, tout en subtilité avec Jorris.
9 - Stranger In The Night – Une des plus belles intro’ à retenir pour 2021 ! Voilà un titre qui pourrait ouvrir son set en Live ! Ces mecs arrivent à me donner froid dans mes Alpilles, à croire qu’ils ont introduit entre leurs notes quelques degrés glacés de leur région :-D
Pour la prochaine école de la composition, couplet, refrain, solo, HEART LINE s’impose. Prenez le temps de vous attarder sur la mise en place de la ligne solistique, ils ont fait entrée, plat et dessert rien que pour ce solo, ce sont des fous !
10 - In The City – Pour moi LA ballade, (pour vous dire j’avais vraiment envisagé de la demander pour une entrée en mairie pour un évènement très personnel,) J’ADORE est un doux euphémisme, DE PURE beauté ; mais la sortie de l’album ultérieur à ma date a été le seul frein à ma requête avortée. Sur ce morceau j’ai l’impression d’être un savant mélange entre :
- Ma grand-mère qui regarde Sissy ou bien la demoiselle d’Avignon et qui prend un rideau, parce que les mouchoirs sont tous trop pleins ;
- Et Thierry Rolland en 98.
MERCI ! LES AMIS ! Et le solo au scalpel avec l’anesthésie pour apprécier ton toi le plus profond, mais au final c’est la profondeur de la tronçonneuse qui s’impose. THE MASTERPIECE !
On navigue entre un WHITESNAKE meilleures années et un FOREIGNER grand cru, avec ce son tellement contemporain et quelle subtilité dans les doigts de Jorris, qui nous dissémine façon orfèvre des effluves de smooth jazz dans ses lignes et CE SOLO. Moi qui ne me reconnaissais plus dans les balades, après la dernière de WOA voilà la première à atteindre, voire à dépasser ce degré de qualité.
Yvan c’est un C.V. qu’on ne présente plus sur Rockmeeting, pour moi c’est aussi un mystère, mais dans quel domaine excelle-t-il le plus ? Sa dextérité sur son instrument de prédilection, son sens de la composition ?
Le vidage de bulots ? J’en doute sérieusement à cet instant.
Ça se sent, ça se sent sur les doigts et rien d’autres que doigt (la fatigue me guette, cinq heures du matin [réel aux moments de ces lignes] j’ai des frissons).
Concernant les solos, j’ai une approche particulière, du moins, je pense, j’écoute les solos indépendamment des titres, et si je les chante en mélodie c’est que la musicalité est parfaite pour moi.
Et depuis que je connais l’artiste, je dois ajouter en sus, qu’il a cette capacité à savoir toujours s’entourer des talents qu’il faut, pour sublimer le projet en cours. Sur chaque nouvelle galette de 12 cm brillante, on finit par conclue et se dire qu’il ne pouvait pas faire mieux.
Sur ce morceau, la claque pour ces notes vocales qu’Emmanuel aurait pu prêter au 1987 du SERPENT BLANC, et pas moins que ça.
Si certains pouvaient avoir des doutes sur la présence d’un chanteur français au cœur d’un tel groupe, sur ce titre on ne pouvait envisager qu’’Emmanuel pour faire osmose, fusion avec la six cordes d’Yvan, le tout entouré d’un combo de choix.
Un morceau que j’ai eu la chance d’avoir en tête au réveil, pour vous dire l’impact !
11 - Long To Rise – Pour celles et ceux qui ont besoin de comparaison, de référence, là « easy » un FOREIGNER musclé période 4. On appréciera, une fois encore, le talent solistique de Jorris, magnifiquement soutenu par ce ‘top’ son rond d’Emmanuel et cette paire de précision qu’il combine parfaitement avec Walter. La batterie se révélant trop souvent la partie faible des projets qui tombent de partout et se ramassent de ne savoir trouver LE batteur.
En conclusion ; et pour résumé, cet album est L’INDISPENSABLE du genre et de l’année, et bien plus encore.
Onze compositions, toutes remarquable pour ce Back In The Game.
Un bon GROS son, tout en puissance, virtuosité et finesse comme et quand il le faut.
Pour l’anecdote, rappelons que le quidam qui a initié HEART LINE : Yvan à plus de projets, qu’il y a de sens ou de branches à la représentation de l’étoile du début. Que chacun frappe, cogne, joue, interprète fort et juste !
Que l’ensemble sublime l’individualité. Et vice versa !
Que le contenu est à la hauteur de cette pochette, si tenté que vous la trouviez parfaitement à votre goût. Remercions à ce titre et également pour le concept et visuel du logo, Mister Stan DECKER.
Alors c’est factuel, l’étoile, LA Nova brille enfin sur notre hexagone dans un style et registre qui nous est cher et contrairement aux années 80, cette fois on a l’impression qu’on joue dans la même division que les meilleurs du globe, voire qu’on pourrait ramener le titre à la maison. Merci HEART LINE. Vivement la tournée et vivement l’épisode II.
Tracklist :
1 - Fighting To Live
2 - One Night In Paradise
3 - Hold On
4 - I’M In Heaven
5 - On Fire
6 - Back in the Game
7 - Once In A Lifetime
8 - Fire Dance
9 - Stranger In The Night
10 - In The City
11 - Long To Rise
Line Up :
Emmanuel CREIS (Shadyon, Equinox) (chant)
Yvan GUILLEVIC (YGAS, PYG, United Guitars, Empty Spaces) (guitare)
Jorris GUILBAUD (Devoid, Shadyon) (claviers)
Dominique BRAUD (YGAS, EBH) (basse)
Walter FRANÇAIS (Shadyon) (batterie)
Label : Pride & Joy Music (Soul Food Music - Europe)
Sortie : 19/11/2021
Production : Yvan GUILLEVIC
Discographie :
Back In The Game (2021)
Rock'n'Roll Queen (2023)
https://www.facebook.com/Heartlinebandofficial
Communiqués de presse :
15/10/2021 : Heart Line, le nouveau projet Melodic Rock/AOR du guitariste et producteur Français Yvan Guillevic (YGAS, PYG, United Guitars, Empty Spaces), a dévoilé son deuxième single, One Night In Paradise, avec un vidéo clip ci-dessous , en avant première du prochain album, Back In The Game qui sortira le 19 novembre via Pride & Joy Music.
03/09/2021 : Heart Line, le nouveau projet Melodic Rock/AOR du guitariste et producteur Français Yvan Guillevic (YGAS, PYG, United Guitars, Empty Spaces), a dévoilé son premier single, On Fire, avec un vidéo clip ci-dessous ce 3 septembre, en avant première du prochain album, Back In The Game. La pochette est signée par Stan W Decker.
17/06/2021 - Heart Line est le nouveau projet Melodic Rock/AOR du guitariste et producteur Français Yvan Guillevic (YGAS, PYG, United Guitars, Empty Spaces). Yvan est entouré par une fantastique équipe composée du chanteur, Emmanuel CREIS (Shadyon, Equinox), du claviériste Jorris GUILBAUD (Devoid, Shadyon), du batteur Walter FRANÇAIS (Shadyon) et du bassiste Dominique BRAUD (YGAS, EBH).
Formé en 2020, Heart Line est fortement inspiré par les groupes légendaires des années 80, de Whitesnake à Foreigner, de Journey à Winger, Bad English, Giant, et tant d’autres. Puissant et mélodique, Heart Line nous ramène au cœur des années 80’s avec ses solos de guitar-hero et ses lignes de chant puissantes, supportées par une formidable section rythmique et les notes virtuoses du clavier.
Heart Line est signé par le label Allemand qui monte, Pride & Joy Music , pour une sortie européenne du premier album «Back In The Game» le 19 novembre 2021.
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Comments:
Commentaires
Les arrangements et intros sont particulièrement soignés.
Un bémol quand même, le chant sur les parties calmes est parfois un peu juste mais s'illumine quand la machine accélère.
Bravo ça rivalise avec les grosses productions du genre.
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