Ah, je l’ai attendu avec impatience celui-ci !!!
Après le magnifique Adress The Nation qui est pour moi un des meilleurs albums de Hard FM sortis ces 10 dernières années, Heat revient avec Tearing Down The Walls. Franchement, deux doutes m’ont assailli avant d’écouter la galette. Le premier c’est le départ du guitariste et compositeur Dave Dalone qui participait amplement au succès et le second c’est la pochette un peu apocalyptique qui me faisait penser que certainement le contenu allait être plus hard que par le passé. Bon, je vais évacuer tout de suite le problème, pour moi ce Tearing est inférieur à Adress. Il est très bon mais dans une mouvance plus hard qui me correspond moins. Attention, cela reste un excellent album de hard FM avec une production de Tobias Lindell enormissime et des titres qui ne le sont pas moins. Je trouve seulement qu’il y a moins de titres forts sur celui-ci que sur le précèdent même si je le répète il y en quand même beaucoup. Cette chronique est un paradoxe car j’aime moins l’album mais il est quand même de qualité hautement supérieure. Je pense dailleurs qu’on peut le rapprocher du Coup de Grace de Treat et qu’il figurera dans tous les palmarès à la fin de l’année vu comment il a été accueilli un peu partout. Je ne le fais pas souvent mais on va passer tous les titres en revue :
Point Of No Return qui ouvre l’album n’est pas une reprise de Kansas et représente bien, à mon avis, le tournant un brin plus hard de cet opus. Le titre dans le genre à la rythmique lourde est parfait et le refrain itou. Ça commence fort au niveau décibel !!! Pour être tout à fait honnête Break The Silence qui débutait Adress était aussi assez rentre dedans !!
A Shot Of Redemption est le premier single et c’est une réussite. On tape du pied à l’écoute du rythme à la grosse caisse sur l’intro et ensuite on rentre dans un morceau très rock. Parfait pour moi avec encore un refrain et des chœurs foisonnants.
Inferno reprend sur du hard enflammé et est bien dans la lignée de Point. Le refrain est par contre terrible et me fait passer la pilule un peu hard pour mes oreilles des couplets. Ce morceau pourrait figurer chez un groupe comme Reckless Love.
Une intro très sombre, c’est The Wreckoning qui arrive mais ce n’est qu’une intro pour enchainer sur la première ballade de l’opus Tearing Down The Walls que j’adore. La facilité à pondre des mélodies pareilles me laissent toujours pantois. Les Scandinaves sont vraiment des rois dans le genre et ils arrivent à faire passer une ballade qui semble classique en petit bijou.
L’objet du délit arrive avec Mannequin Show qui est un très bon titre mais qui tout de même me pose problème. En effet, dès la première écoute, je me suis dit « putain, on dirait du Britney Spears !! On dirait Oops I Did It Again !!!! ». Et c’est vrai que ça ressemble beaucoup avec un zeste de Fair Warning sur l’utilisation d’un son de synthés qui est propre au combo Allemand.
We Will Never Die est un très bon titre de hard FM. On est sur une veine plus mélodique que sur le départ avec des claviers plus mis en avant.
Emergency nous replonge sur quelque chose de plus rentre dedans et franchement ce n’est pas le meilleur titre.
All The Nights est le second titre calme du CD. Erik Gronvall prouve si on en doutait qu’il est un putain de bon vocaliste.
On repart en fanfare avec le très bon Eye For An Eye qui donnerait raison à ceux qui voit en Heat, le Bon Jovi des années 2000 !!J’adore ça !!!
Enemy In Me tape encore fort dans un rock bien pêchu. Mais là aussi ce n’est pas ce que je préfère. Le refrain un brin guerrier m’ennuie un peu
On termine par Laughing At Tomorrow qui revient au Heat que j’aime. Voilà un très bon morceau pour terminer un très bon album.
Dans l’ensemble, vous l’aurez noté, peu de points négatifs. Néanmoins, je reste sur ma préférence sur le précèdent. Celui-ci est très bon, Adress était grandiose.
Chapeau bas quand même à Heat qui il faut le reconnaitre ont 4 opus à leur tableau de chasse et 4 très bons. Qui fait mieux ??? Peut-être que le faux pas arrivera mais ce n’est pas encore le cas
Point Of No Return qui ouvre l’album n’est pas une reprise de Kansas et représente bien, à mon avis, le tournant un brin plus hard de cet opus. Le titre dans le genre à la rythmique lourde est parfait et le refrain itou. Ça commence fort au niveau décibel !!! Pour être tout à fait honnête Break The Silence qui débutait Adress était aussi assez rentre dedans !!
A Shot Of Redemption est le premier single et c’est une réussite. On tape du pied à l’écoute du rythme à la grosse caisse sur l’intro et ensuite on rentre dans un morceau très rock. Parfait pour moi avec encore un refrain et des chœurs foisonnants.
Inferno reprend sur du hard enflammé et est bien dans la lignée de Point. Le refrain est par contre terrible et me fait passer la pilule un peu hard pour mes oreilles des couplets. Ce morceau pourrait figurer chez un groupe comme Reckless Love.
Une intro très sombre, c’est The Wreckoning qui arrive mais ce n’est qu’une intro pour enchainer sur la première ballade de l’opus Tearing Down The Walls que j’adore. La facilité à pondre des mélodies pareilles me laissent toujours pantois. Les Scandinaves sont vraiment des rois dans le genre et ils arrivent à faire passer une ballade qui semble classique en petit bijou.
L’objet du délit arrive avec Mannequin Show qui est un très bon titre mais qui tout de même me pose problème. En effet, dès la première écoute, je me suis dit « putain, on dirait du Britney Spears !! On dirait Oops I Did It Again !!!! ». Et c’est vrai que ça ressemble beaucoup avec un zeste de Fair Warning sur l’utilisation d’un son de synthés qui est propre au combo Allemand.
We Will Never Die est un très bon titre de hard FM. On est sur une veine plus mélodique que sur le départ avec des claviers plus mis en avant.
Emergency nous replonge sur quelque chose de plus rentre dedans et franchement ce n’est pas le meilleur titre.
All The Nights est le second titre calme du CD. Erik Gronvall prouve si on en doutait qu’il est un putain de bon vocaliste.
On repart en fanfare avec le très bon Eye For An Eye qui donnerait raison à ceux qui voit en Heat, le Bon Jovi des années 2000 !!J’adore ça !!!
Enemy In Me tape encore fort dans un rock bien pêchu. Mais là aussi ce n’est pas ce que je préfère. Le refrain un brin guerrier m’ennuie un peu
On termine par Laughing At Tomorrow qui revient au Heat que j’aime. Voilà un très bon morceau pour terminer un très bon album.
Dans l’ensemble, vous l’aurez noté, peu de points négatifs. Néanmoins, je reste sur ma préférence sur le précèdent. Celui-ci est très bon, Adress était grandiose.
Chapeau bas quand même à Heat qui il faut le reconnaitre ont 4 opus à leur tableau de chasse et 4 très bons. Qui fait mieux ??? Peut-être que le faux pas arrivera mais ce n’est pas encore le cas
Année:2014
Label:Ear Music
Production:Tobias Lindell
Discographie : |
H.E.A.T. (2008) |
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Comments:
Commentaires
Je suis dans l'ensemble bien d'accord avec toi. Hormis Mannequin Show que j'aime beaucoup. Pour sûr, le groupe a évolué, un guitariste en moins, un chanteur qui prend toute la lumière... Mais, tout de même, même si Address The Nation, par goût, reste pour moi aussi le chef d'oeuvre absolu, ce Tearing Down The Wall est sacrément bien ficelé ! Pour ma part, c'est un peu le même cas de figure qu'avec le Heart Full Of Fire et le Diamond In The Firepit de BROTHER FIRETRIBE... HEAT est sur le toit du Hard-Rock mélodique ! Je me régal... Tchuss Fab !
Je suis complètement en accord avec ta chro Fab. Je trouve que le 100% d'Andrew sur Melodicrock est largement surévalué.
Certes, y'a un gros son, une énergie qui donne envie et ça envoie à max. Mais je pense que dans les compositions, il manque ce que nous avions sur le précédent, c'est à dire des mélodies qui font mouche.
Le départ de Dave Delone n'y est pas étranger et j'ai peur que le groupe est du mal à se réinventer. A suivre...
Avec "Address the nation" j'avais pensé que le groupe avait atteint sa pleine maturité et que plus rien de meilleur ne viendrait après cela, le départ de Dave Dalone avait renforcé mes craintes et... je me suis planté !!!
C'est une pure merveille que nous livrent les suédois de H.E.A.T en s'affirmant au passage comme un des fers de lance de la nouvelle génération de l'AOR !!
Erik Gronwall est désormais en parfaite synergie avec le groupe et quel vocaliste !! we will never die, eye for an eye et Enemy sont trois joyaux parmi cet opus parfait en tout point !!
Un grand bravo a Eric Rivers qui seul arrive à presque faire mieux qu'à l'époque où ils étaient deux gratteux !!! (surtout quand on connait le talent de Dalone, le compliment n'en est que plus grand !!)
A acheter d'urgence, pour l'instant l'album AOR de 2014 sans aucun doute ! !!
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