Préambule. Si je vous dis Lucky Fab Luke, cela vous parle ?
L’homme qui chronique plus vite que son ombre ; après pour aller à son fidèle Jolly Eric Jumper, celui qui vit à la même cadence il n’y a qu’un pas. Mais si j’ai cité le 1er, c’est qu’il angoisse de lire cette chro’ ! Patience l’ami.
Vais-je torpiller ce Fjord musical ? Vais-je réitérer le buzz avec une opinion « tsunamesque » (*) !!!
(*) Il faudra attendre quelques années pour le brevetage dans les Larousse & Robert Français, actuellement seulement dans le grand Maënora illustré.
Petit conseil, la mise en écoute des vidéos en bas devrait permettre au plus courageu/ses/x d’avoir un fond sonore pour la lecture !
Nous avions quitté H.E.A.T. en 2010 avec l’excellent Freedom Rock, deuxième opus de ce groupe en plein essor sur une note maximum pour cet opus cependant … Une perspective beaucoup plus sombre concernait son avenir, mon ami et nez … En plus confrère Fab (le Lucky Luke qui ne broute toujours pas la paille et la brule dans ses poumons (pas bien ! J’t’ai balancé)), terminait sa chro’ ainsi : « Le seul point noir (*) vient du fait que suite à la sortie de l'album, le chanteur Kenny Leckremo a quitté le groupe d'un commun accord avec les autres membres... Blablabla … & fin de blabla puis : ils font passer un casting pour être le futur vocaliste du groupe. » Grosse houle et déferlantes de vagues dans ce jolie paysage caillouteux Scandinave !!! Il allait devoir en falloir du (*) biactol, pour remettre un visage sain au groupe ; retirer cette infâme « glande sébacée » évoquée. Qu’en est-il aujourd’hui du présent de ce groupe si prometteur ? A t-il fait peau neuve, mea culpa peau net ? Peau d’âne, c’est une autre histoire.
Imaginons à ce stade, quelques lectrices, lecteurs un brin faignant effrayé devant la longueur monotone de ce départ de chronique ; je perçois déjà les sanglots longs, les violons de l’automne blessant leur petit cœur, ces pauvres âmes toutes suffocantes et blêmes, alors je me souviens des jours anciens et … Je pleure … Alors je vous dis rien qu’à vous … Oust ! L’album est excellent ! Achetez et pensez à mettre « j’aime » en bas de la chronique (*), que mon webmaster m’envoie mon gros chèque libellé monde des Sims, un document à valeur morale. Oui, c’est ça une branlette littéraire ! Mais comme toute branlette à part les dommages collatéraux ; ça fait du bien. (*) Boutade.
Pour les autres … La suite !
Le tableau actuel : (synopsis) Une version Télétubbies recrutant Bisounours pour tenir le micro. (Résumé) Après deux albums plus que convaincants nos Télétubbies Suédois poursuivent leur route vers un succès grandissant … Quand tout à coup : « Mais que se passe-t-il donc ? » Zoby Zigouigoui (Kenny Leckremo, chanteur), pense qu’il réussira mieux sans Dinky Winky, Dikxy, Lala et Po. Il n’en faut pas plus pour que ces derniers, musiciens confirmés haussent les épaules répètent deux fois les mêmes phrases (univers Télétubbies) et décident de recruter la perle rare. Pendant ce temps, dans le même paysage au sorti d’un casting de télé réalité … Le miracle, apparait, un jeune Bisounours solitaire, un « winner » en la personne de Grosbisous (Erik Gronwall, vainqueur de Sweedish Idol). Il est temps de parler, et d’aborder la nation ! (Adress The Nation) et s.v.p. pendant que vous y êtes, le reste du monde. Histoire de purifier les ondes, car là on ne parle plus d’un point noir mais d’épidémie d’acné, dans d’autres contrées !
Bon j’ai un peu changé les noms, à peine modifié l’histoire … Mais ces rockeurs du Nord ressemblent plus à l’image de mannequins après passage de VirTouBoutonGluan que des hardos clonés avec la semence de Lemmy K et Nina H. !!! On est dans une version grand public du hard / Rock mélodique, limite léger accents A.O.R. C’est un peu : On est dimanche sur le plateau de michmich.
Nous voilà désormais face à un nouveau H.E.A.T. Erik a apporté en sus sa GROSSE pierre RUTILANTE à l’édifice. Un nouveau capitaine de vaisseau. Un mec qui possède dans sa gorge, un héritage que détenait avant lui des types comme Jeff Scott Soto, Eric Martin, etc. Un énorme potentiel. Mais la vie parfois c’est comme le rugby. Mettre un essai donne des points, mais sans l’essai transformé on «ch(3ème voyelle de l’alphabet)e à la porte ».
Rien que pour vous le saucissonnage dans son entièreté :
Breaking The Silence, intro’ un message type Nasa pour faire comprendre que nous sommes face à un lancement. Ce moment fort où maintenant tout est derrière nous, toutes les forces ont été mises dans la bataille ; c’est maintenant le moment de vérité … Décollera ? Décollera pas ? Eh bien … décollage réussi. On « Casse Le Silence » avec un déluge de notes musicales et vocales à hautes teneurs mélodiques ! C’est fluide et d’entrée on rentre dans un univers Europe post Final Countdown fusionné avec du H.E.A.T. ça sollicite les chevilles, et c’est jouissif. Un hymne dès le départ et attention aux notes vocales, respect ! Si vous cherchez « The Voice », j’en connais une.
Living On The Run. Premières notes, clavier “pouêt-pouêt” années 80 et cette qualité vocale déterminant l’étendue de sa tessiture, une palette plus large que la somme des culs des Télétubbies + Bisounours. Un mid tempo dévastateur. Là les chorus de guitares prennent le pas sur les solos, dans le sens où la mélodie prône le pas sur l’avalanche de notes types gammes masturbatoires. Pour ma part je retrouve ici l’esprit « 1000 Miles » du premier album.
Falling Down. Esprit Big Rock, un refrain entêtant. La messe est dite, chorus de six cordes en apéro, big solo en trou normand et encore la six cordes en digestif. Mais j’ai encore soif !
The One And Only. Quoi déjà quatre titres, on baisse l’intensité des lumières et on se met en chasse. Le moment de la ballade, la voix se fait porter par d’excellents backings-vocaux ? Dans ce domaine l’inspiration porte une trace de Foreigner. Pour beaucoup il serait difficile de ne pas se planter sur cet exercice : J’ai nommé la ballade sirupeuse. Alors si je vous dis qu’à l’écoute du casque j’en choppe par moment la chair de poule, je danse tout seul me caresse et m’emballe … Vous êtes convaincus ? Un grand groupe derrière un « méga’ » chanteur.
Better Off Alone. À peine digérer le missile et c’est l’effet « KissCool », la douzième lame Gilette ; celle qui coupe le poil avant qu’il soit possible qui pousse. Attention les gars sont chauds, ça envoi sévère du bois. L’impression que le groupe n’a plus aucune limite, la Dream-Team peut tout jouer. Encore un hymne !
In And Out Of Trouble. Alors là, c’est la baffe ! Déjà trois tours dans le molletonné sans toucher le tissu. Ce malgré l’énorme append… Pardon : don qui revient aux Maënora depuis 24 générations. Un morceau qui me touche comme peu. Intro’ saxo, cette voix n’en parlons pas, j’en deviens dingue. Des chœurs millimétrés qui ne dénaturent pas avec le reste, voire même ... Amenant leur dose de puissance en sus. Pour moi le HIT incontestable de l’album. Je vous laisse cinq minutes le temps d’aller pleurer dans mon coin, me refaire une toilette. J’adore le saxophone quand il est savamment dosé, ça me rappelle les plus grands : Van Stephenson, F.M. & j’en passe. Quand il y a solo de saxo’ c’est apothéose, l’émotion qui suinte par tous les trous, lectrices, lecteurs (J’aurai tout aussi bien pu dire : « … par tous les trous, cochonnes et cochons ; mais Non ! ». Dans ces moments je revois l’attitude / l’image d’un Gary MOORE qui donnait vie à chacune de ses notes sur ses plus beaux solos (qui se comptent par milliers).
Need Her. On est en pleine règlementation des poules pondeuses, on écarte les œufs sales et/ou fêlés ; on transporte les œufs dans un Cd estampillé / labellisé H.EA.T. 2012 ; on ne garde que la qualité. C’est pulsé, encore esprit Big Rock/Hard Moderne. Efficace à souhait.
Heartbreaker. Intro’ BonJovienne années 80, chorus vocal que l’on retrouve au fil du morceau. Le mur de gratte contemporain. Un mid pulsé, qui se veut à mon ressenti, hommage à une famille du Hard des grandes années. Voilà bien le travail du « bourreau des cœurs ». Appuyer là où ça fait mal. Mais de telle manière que cela inaugure de plus belles perspectives.
It's All About Tonight. On arrive à la fin de l’album et tout réside dans la question de son homogénéité. Désolé je vais vous décevoir, mais par moment au-delà des superbes morceaux, il faudra vous attendre des mieux que mieux. Sur ce titre l’opportunité de mettre plus en lumière les pulseurs fous : basse batterie. Tant pis j’ose … Encore hymne.
A ce stade de l’album mon premier remerciement revient à Kenny Leckremo, il a ouvert à sa façon comme Moïse une brèche avec H.E.A.T. Le second remerciement est général et revient à : Eric Rivers, Dave Dalone, Jona Tee, Jimmy Jay & Crash ; pour avoir trouvé leur moteur / catalyseur, celui qui pourra les propulser, limite satelliser en la personne d’Erik Gronwall. Downtown. Un final sur un titre empli de magie mélodique, mon second gros coup de cœur de l’album. Rarement 4mn30 sont passées si vite, un son de claviers tout en nuance, permettant de créer son univers à chaque morceau. Rarement, également, un mid tempo aura eu autant d’énergie dormante et maîtrisé. On flirte, caresse la perfection. Ce titre est d’une puissance innommable. Chaque intervention cliniquement à sa place ! Merci pour ce grand moment.
Autre GROS coup de cœur 2012.
Au final, si vous voulez faire un cadeau à votre installation Hi-Fi. En la sollicitant dans la puissance et la qualité sonore … Foncez !
Attention, parfois le passé parle. JADED HEART qui était pour moi promis à un grand avenir, après le départ de Michael BOORMANN a vécu un final à la Titanic. Donc quand on trouve son identité vocale, un seul conseil ; on stabilise et on la garde. Afin de devenir aussi grand qu’un SCORPIONS ! On pique l’Europe et le globe au son de sa musique. On prend plaisir et on partage. Nombreux sont les grands groupes Européens de Maiden à Europe. Plus centaines d’autres et chaque année passante nous donne l’avantage sur la bannière étoilée.
Vais-je torpiller ce Fjord musical ? Vais-je réitérer le buzz avec une opinion « tsunamesque » (*) !!!
(*) Il faudra attendre quelques années pour le brevetage dans les Larousse & Robert Français, actuellement seulement dans le grand Maënora illustré.
Petit conseil, la mise en écoute des vidéos en bas devrait permettre au plus courageu/ses/x d’avoir un fond sonore pour la lecture !
Nous avions quitté H.E.A.T. en 2010 avec l’excellent Freedom Rock, deuxième opus de ce groupe en plein essor sur une note maximum pour cet opus cependant … Une perspective beaucoup plus sombre concernait son avenir, mon ami et nez … En plus confrère Fab (le Lucky Luke qui ne broute toujours pas la paille et la brule dans ses poumons (pas bien ! J’t’ai balancé)), terminait sa chro’ ainsi : « Le seul point noir (*) vient du fait que suite à la sortie de l'album, le chanteur Kenny Leckremo a quitté le groupe d'un commun accord avec les autres membres... Blablabla … & fin de blabla puis : ils font passer un casting pour être le futur vocaliste du groupe. » Grosse houle et déferlantes de vagues dans ce jolie paysage caillouteux Scandinave !!! Il allait devoir en falloir du (*) biactol, pour remettre un visage sain au groupe ; retirer cette infâme « glande sébacée » évoquée. Qu’en est-il aujourd’hui du présent de ce groupe si prometteur ? A t-il fait peau neuve, mea culpa peau net ? Peau d’âne, c’est une autre histoire.
Imaginons à ce stade, quelques lectrices, lecteurs un brin faignant effrayé devant la longueur monotone de ce départ de chronique ; je perçois déjà les sanglots longs, les violons de l’automne blessant leur petit cœur, ces pauvres âmes toutes suffocantes et blêmes, alors je me souviens des jours anciens et … Je pleure … Alors je vous dis rien qu’à vous … Oust ! L’album est excellent ! Achetez et pensez à mettre « j’aime » en bas de la chronique (*), que mon webmaster m’envoie mon gros chèque libellé monde des Sims, un document à valeur morale. Oui, c’est ça une branlette littéraire ! Mais comme toute branlette à part les dommages collatéraux ; ça fait du bien. (*) Boutade.
Pour les autres … La suite !
Le tableau actuel : (synopsis) Une version Télétubbies recrutant Bisounours pour tenir le micro. (Résumé) Après deux albums plus que convaincants nos Télétubbies Suédois poursuivent leur route vers un succès grandissant … Quand tout à coup : « Mais que se passe-t-il donc ? » Zoby Zigouigoui (Kenny Leckremo, chanteur), pense qu’il réussira mieux sans Dinky Winky, Dikxy, Lala et Po. Il n’en faut pas plus pour que ces derniers, musiciens confirmés haussent les épaules répètent deux fois les mêmes phrases (univers Télétubbies) et décident de recruter la perle rare. Pendant ce temps, dans le même paysage au sorti d’un casting de télé réalité … Le miracle, apparait, un jeune Bisounours solitaire, un « winner » en la personne de Grosbisous (Erik Gronwall, vainqueur de Sweedish Idol). Il est temps de parler, et d’aborder la nation ! (Adress The Nation) et s.v.p. pendant que vous y êtes, le reste du monde. Histoire de purifier les ondes, car là on ne parle plus d’un point noir mais d’épidémie d’acné, dans d’autres contrées !
Bon j’ai un peu changé les noms, à peine modifié l’histoire … Mais ces rockeurs du Nord ressemblent plus à l’image de mannequins après passage de VirTouBoutonGluan que des hardos clonés avec la semence de Lemmy K et Nina H. !!! On est dans une version grand public du hard / Rock mélodique, limite léger accents A.O.R. C’est un peu : On est dimanche sur le plateau de michmich.
Nous voilà désormais face à un nouveau H.E.A.T. Erik a apporté en sus sa GROSSE pierre RUTILANTE à l’édifice. Un nouveau capitaine de vaisseau. Un mec qui possède dans sa gorge, un héritage que détenait avant lui des types comme Jeff Scott Soto, Eric Martin, etc. Un énorme potentiel. Mais la vie parfois c’est comme le rugby. Mettre un essai donne des points, mais sans l’essai transformé on «ch(3ème voyelle de l’alphabet)e à la porte ».
Rien que pour vous le saucissonnage dans son entièreté :
Breaking The Silence, intro’ un message type Nasa pour faire comprendre que nous sommes face à un lancement. Ce moment fort où maintenant tout est derrière nous, toutes les forces ont été mises dans la bataille ; c’est maintenant le moment de vérité … Décollera ? Décollera pas ? Eh bien … décollage réussi. On « Casse Le Silence » avec un déluge de notes musicales et vocales à hautes teneurs mélodiques ! C’est fluide et d’entrée on rentre dans un univers Europe post Final Countdown fusionné avec du H.E.A.T. ça sollicite les chevilles, et c’est jouissif. Un hymne dès le départ et attention aux notes vocales, respect ! Si vous cherchez « The Voice », j’en connais une.
Living On The Run. Premières notes, clavier “pouêt-pouêt” années 80 et cette qualité vocale déterminant l’étendue de sa tessiture, une palette plus large que la somme des culs des Télétubbies + Bisounours. Un mid tempo dévastateur. Là les chorus de guitares prennent le pas sur les solos, dans le sens où la mélodie prône le pas sur l’avalanche de notes types gammes masturbatoires. Pour ma part je retrouve ici l’esprit « 1000 Miles » du premier album.
Falling Down. Esprit Big Rock, un refrain entêtant. La messe est dite, chorus de six cordes en apéro, big solo en trou normand et encore la six cordes en digestif. Mais j’ai encore soif !
The One And Only. Quoi déjà quatre titres, on baisse l’intensité des lumières et on se met en chasse. Le moment de la ballade, la voix se fait porter par d’excellents backings-vocaux ? Dans ce domaine l’inspiration porte une trace de Foreigner. Pour beaucoup il serait difficile de ne pas se planter sur cet exercice : J’ai nommé la ballade sirupeuse. Alors si je vous dis qu’à l’écoute du casque j’en choppe par moment la chair de poule, je danse tout seul me caresse et m’emballe … Vous êtes convaincus ? Un grand groupe derrière un « méga’ » chanteur.
Better Off Alone. À peine digérer le missile et c’est l’effet « KissCool », la douzième lame Gilette ; celle qui coupe le poil avant qu’il soit possible qui pousse. Attention les gars sont chauds, ça envoi sévère du bois. L’impression que le groupe n’a plus aucune limite, la Dream-Team peut tout jouer. Encore un hymne !
In And Out Of Trouble. Alors là, c’est la baffe ! Déjà trois tours dans le molletonné sans toucher le tissu. Ce malgré l’énorme append… Pardon : don qui revient aux Maënora depuis 24 générations. Un morceau qui me touche comme peu. Intro’ saxo, cette voix n’en parlons pas, j’en deviens dingue. Des chœurs millimétrés qui ne dénaturent pas avec le reste, voire même ... Amenant leur dose de puissance en sus. Pour moi le HIT incontestable de l’album. Je vous laisse cinq minutes le temps d’aller pleurer dans mon coin, me refaire une toilette. J’adore le saxophone quand il est savamment dosé, ça me rappelle les plus grands : Van Stephenson, F.M. & j’en passe. Quand il y a solo de saxo’ c’est apothéose, l’émotion qui suinte par tous les trous, lectrices, lecteurs (J’aurai tout aussi bien pu dire : « … par tous les trous, cochonnes et cochons ; mais Non ! ». Dans ces moments je revois l’attitude / l’image d’un Gary MOORE qui donnait vie à chacune de ses notes sur ses plus beaux solos (qui se comptent par milliers).
Need Her. On est en pleine règlementation des poules pondeuses, on écarte les œufs sales et/ou fêlés ; on transporte les œufs dans un Cd estampillé / labellisé H.EA.T. 2012 ; on ne garde que la qualité. C’est pulsé, encore esprit Big Rock/Hard Moderne. Efficace à souhait.
Heartbreaker. Intro’ BonJovienne années 80, chorus vocal que l’on retrouve au fil du morceau. Le mur de gratte contemporain. Un mid pulsé, qui se veut à mon ressenti, hommage à une famille du Hard des grandes années. Voilà bien le travail du « bourreau des cœurs ». Appuyer là où ça fait mal. Mais de telle manière que cela inaugure de plus belles perspectives.
It's All About Tonight. On arrive à la fin de l’album et tout réside dans la question de son homogénéité. Désolé je vais vous décevoir, mais par moment au-delà des superbes morceaux, il faudra vous attendre des mieux que mieux. Sur ce titre l’opportunité de mettre plus en lumière les pulseurs fous : basse batterie. Tant pis j’ose … Encore hymne.
A ce stade de l’album mon premier remerciement revient à Kenny Leckremo, il a ouvert à sa façon comme Moïse une brèche avec H.E.A.T. Le second remerciement est général et revient à : Eric Rivers, Dave Dalone, Jona Tee, Jimmy Jay & Crash ; pour avoir trouvé leur moteur / catalyseur, celui qui pourra les propulser, limite satelliser en la personne d’Erik Gronwall. Downtown. Un final sur un titre empli de magie mélodique, mon second gros coup de cœur de l’album. Rarement 4mn30 sont passées si vite, un son de claviers tout en nuance, permettant de créer son univers à chaque morceau. Rarement, également, un mid tempo aura eu autant d’énergie dormante et maîtrisé. On flirte, caresse la perfection. Ce titre est d’une puissance innommable. Chaque intervention cliniquement à sa place ! Merci pour ce grand moment.
Autre GROS coup de cœur 2012.
Au final, si vous voulez faire un cadeau à votre installation Hi-Fi. En la sollicitant dans la puissance et la qualité sonore … Foncez !
Attention, parfois le passé parle. JADED HEART qui était pour moi promis à un grand avenir, après le départ de Michael BOORMANN a vécu un final à la Titanic. Donc quand on trouve son identité vocale, un seul conseil ; on stabilise et on la garde. Afin de devenir aussi grand qu’un SCORPIONS ! On pique l’Europe et le globe au son de sa musique. On prend plaisir et on partage. Nombreux sont les grands groupes Européens de Maiden à Europe. Plus centaines d’autres et chaque année passante nous donne l’avantage sur la bannière étoilée.
Label : | Gain Music Entertainment / Sony Music | |
Sortie : | 04/2012 | |
Production : | n/a |
Discographie : |
H.E.A.T. (2008) |
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Comments:
Commentaires
20/20 ! What else ? Have a nice day !
Rémi
Personnellement même si je trouve ce disque très bon (les 2 premiers étaient déjà d'un bon niveau), je n'irais pas comme Fab le comparer à Slippery When Wet qui est un must dans le genre.
Pour moi 2 titres sortent vraiment du lot : In And Out Of Trouble et Need Her qui sont 2 petits bijoux, le reste est un poil en dessous et un peu trop similaire.
Au niveau du chant, rien à redire, c'est du tout bon mais le groupe devra faire encore mieux pour me convaincre totalement.
Alors je ne vais quand même pas suivre Fab et son fameux BUY OR DIE (mdr), la vie est trop belle et puis j'ai plein de chroniques à poster !
HEAT nous sort un album de toutes beauté et revisite l'esprit du hard fm scandinave avec une fraicheur et une justesse à en faire pâlir plus d'un.
C'est déjà presque l'album de l'année.
En aparté un petit coucou à Jee que j'ai vu poster dans les coms
La journée commence à s’assombrir et l’on se met à penser putain de journée de merde… Et tout cela à cause de ce putain d’album de ... Cet album oui ce nouvel album de H.E.A.T. qui flingue tout sur son passage.
Les compos ? Enormes, L’interprétation ? Enorme, La Prod ? Enorme et c’est comme ça tout le long des 10 titres. Rien que le début avec « Breaking the silence », c’est incroyable, comme dit tout le temps mon fils « it’s amazing » , et les lignes de chants ?
Époustouflantes de qualité, d’énergies (Need her), Eric Gronwall au sommet !!.
Enfin voilà y’a des matins comme ça, des matins où en réalité on met des petites choses qui vont vous donner la banane pour un bon bout de temps.
J'avais perdu ce groupe de vue mais je suis heureuse de le retrouver ici car le nouvel album a l'air d'être tout beau, tout bon.
En tout cas, ce que je viens d'entendre par le biais des titres proposés ici m'a fait chaud au coeur et à l'âme.
Faut que je me procure ce CD!
Merci grand chef pour cette "découverte" !
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