Quand on aime bien, on châtie bien !!!!
Je n’ai jamais été spécialement tendre avec les productions solos de Steve Lukather bien qu’il demeure mon guitariste préféré !!! Attention, je possède tous les albums de sieur Luke mais j’ai toujours quelque chose à redire. All’s Well That Ends Well de 2010 m’avait paru pour le moins moyen au vu du potentiel du Monsieur. De bonnes choses mais aussi de mauvaises qui faisait que mon adhésion était loin d’être totale. Je reprochais à cet album un manque de mélodie et aussi une propension à Lukather de montrer « Qui c’est le meilleur guitariste » en abusant de solos interminables. Cela fut confirmé par le concert que je pu voir sur Lyon lors de la tournée suivant cet opus. Je m’étais un peu ennuyé. Ce sentiment, je le retrouve sur la quasi-totalité des solos du guitariste de Toto tant et si bien qu’il manque véritablement un grand album complet à la carrière du grand Luke à part peut être le premier et encore ça se discute sur certains morceaux.
Transition sort cette année comme étant son septième essai solo et je dois dire que le grand album que je n’attendais plus dans le parcours de Luke est certainement arrivé. Même lui estime que c’est son meilleur. Déjà l’objet est magnifique avec un superbe livret qui se feuillète comme un livre avec de superbes photos des différents intervenants. On retrouve la bande habituelle avec CJ Vanston, Randy Goodrum, Fee Waybill pour les compositeurs mais aussi son fils Trevor, les bassistes Nathan East et Lee Sklar, Phil Collen de Def Leppard aux chœurs et encore Greg Bissonnette pour ne citer qu’eux. J’ai beaucoup aimé cet album qui propose des compos aux styles différents mais sans le coté guitare ostentatoire que Luke a tendance à vaporiser de ci de là. Peu d’instrumentaux si ce n’est le Smile de Chaplin et Transition qui n’est pas totalement musical car la voix de Luke arrive vers la fin du morceau. Je me suis régalé de titres FM comme Do I Stand Alone qui est certainement ce qu’il a fait de mieux depuis fort longtemps. Autant le précèdent était assez sombre autant la joie de Luke sur ce Transition fait plaisir à voir et à entendre. Le très rock Judgement Day qu’on croirait sorti de Kingdom Of Desire ou Creep Motel qui lui pourrait être tiré de Tambu. On n’a droit aussi à notre lots de ballades ou le garçon excelle depuis les tous débuts de Toto. Once Again là aussi bien dans une veine Totoeque avec ce couplet très soft et cette montée sur le refrain superbe mais également Right The Wrong plus torturée avec une performance musicale plus jazzy et de haut vol. On peut y rajouter le superbe mid tempo Last man Standing co écrit avec Randy Goodrum ou on admire tous son talent de grand compositeur, très bon boulot aussi de Lenny Castro aux percussions.
On finit sur le bluesy Rest Of The World là aussi très réussi qui lorgne du coté d’un grand Clapton. Neuf titres de cette qualité, c’est trop court. Voilà l’album qui rend grâce définitivement à l’immense talent de ce monstrueux musicien qui est pour moi THE BEST.
Transition sort cette année comme étant son septième essai solo et je dois dire que le grand album que je n’attendais plus dans le parcours de Luke est certainement arrivé. Même lui estime que c’est son meilleur. Déjà l’objet est magnifique avec un superbe livret qui se feuillète comme un livre avec de superbes photos des différents intervenants. On retrouve la bande habituelle avec CJ Vanston, Randy Goodrum, Fee Waybill pour les compositeurs mais aussi son fils Trevor, les bassistes Nathan East et Lee Sklar, Phil Collen de Def Leppard aux chœurs et encore Greg Bissonnette pour ne citer qu’eux. J’ai beaucoup aimé cet album qui propose des compos aux styles différents mais sans le coté guitare ostentatoire que Luke a tendance à vaporiser de ci de là. Peu d’instrumentaux si ce n’est le Smile de Chaplin et Transition qui n’est pas totalement musical car la voix de Luke arrive vers la fin du morceau. Je me suis régalé de titres FM comme Do I Stand Alone qui est certainement ce qu’il a fait de mieux depuis fort longtemps. Autant le précèdent était assez sombre autant la joie de Luke sur ce Transition fait plaisir à voir et à entendre. Le très rock Judgement Day qu’on croirait sorti de Kingdom Of Desire ou Creep Motel qui lui pourrait être tiré de Tambu. On n’a droit aussi à notre lots de ballades ou le garçon excelle depuis les tous débuts de Toto. Once Again là aussi bien dans une veine Totoeque avec ce couplet très soft et cette montée sur le refrain superbe mais également Right The Wrong plus torturée avec une performance musicale plus jazzy et de haut vol. On peut y rajouter le superbe mid tempo Last man Standing co écrit avec Randy Goodrum ou on admire tous son talent de grand compositeur, très bon boulot aussi de Lenny Castro aux percussions.
On finit sur le bluesy Rest Of The World là aussi très réussi qui lorgne du coté d’un grand Clapton. Neuf titres de cette qualité, c’est trop court. Voilà l’album qui rend grâce définitivement à l’immense talent de ce monstrueux musicien qui est pour moi THE BEST.
Label : | Mascot Records |
Sortie : | 2013 |
Production : | Steve Lukather/C J Vanston |
Discographie : |
Lukather (1989)
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Comments:
Commentaires
Tout comme Fab j'ai beaucoup aimé ce nouvel opus de Lukather qui me fait oublié le très moyen "all's well that end well".
J'ajouterai cependant deux commentaires à cette chronique :
- Cet album n'est pas à mes yeux le meilleur de ce que Lukather à produit "Candy Man" restant la référence tant la prestation musicale était grandiose avec une synergie incroyable entre les musiciens et la présence de l'immense David Garfield ;
- J'ai le sentiment qu'avec le temps le son de Lukather se fait plus "soft" et plus travaillé et je partage à 100% l'avis de fab lorsqu'il parle des solos du sieur qui sont moins dans la virtuosité et plus dans la mélodie et ça c'est de bon augure pour la suite...
PS : LE BEST c'est Neal SCHON !!!!!
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