depuis quelques années ont publié des albums d'une excellence rare à savoir Pressure & Time, Head Down et Great Western Walkyrie. Un chanteur vraiment charismatique doté d'une voix de temps à autre épileptique dans certaines situations live, nommé Jay Buchanan (déjà, rien que son nom de famille est "célèbre" ne désirant pas pour ma part utiliser le terme de "légendaire" pour de multiples raisons), un guitariste très "pagien", Scott Holliday, une rythmique de plomb orchestrée par un bassiste efficace se faisant appeler Dave Beste et un batteur percutant Mike Miley composent ce groupe issu de Long Beach en Californie. A noter la présence d'un claviériste additionnel pour le live que pour ma part, je ne ne connaissais pas.
Je me trouvais dans l'impatience de les voir enfin après les avoir malheureusement ratés au Plan à Evry courant 2015. En 7 salves, nos Californiens vont incendier le Zénith et ce grâce à des titres comme les percutants Electric Man, Keep On Swinging, Open My Eyes et Secret qui alternent avec des morceaux plus mid-tempos qui captent une certaine émotion comme Where I've Been. Bref, je kiffe ce groupe depuis fort longtemps qui, à mon humble avis, est appelé à franchir rapidement les étapes vers une reconnaissance internationale encore plus étendue. En tous les cas, ils en ont tous les atouts car là, ils nous ont proposés un excellent set teinté à la fois d'énergie et d'émotion. Seul, l'avenir nous le dira....
Setlist
Electric Man
Secret
Tell Me Something
Torture
Where I've Been
Open My Eyes
Drum Solo
Keep On Swinging
En ce qui me concerne, cela faisait 5 longues années que je n'avais pas vu Purple jour pour jour car je crois qu'ils étaient aussi passés en ce lieu le 11 novembre 2010. A tergiverser pendant des années à ne pas (vouloir ?) y aller pour diverses raisons que je n'exposerai pas sans doute dues à une lassitude ou plutôt à une réflexion selon laquelle on s'attend à ce que l'on va voir. Mais quoique j'ai pu dire jusqu'ici, ça reste LE groupe de hard rock que j'ai découvert en premier avec le double live Made In Japan.
Cessons-là toute nostalgie inutile et passons donc au concert lui-même.
En lieu et place d'Après Vous qui figurait en opener il n'y a pas encore si longtemps, le groupe débarque sur les planches avec ce bon vieux Highway Star toujours aussi efficace. Gillan est bien en voix et ça fait plaisir de l'entendre interpréter les parties aigües du morceau sans trop de difficultés. Avec Fab, étant des éternels grands enfants, nous nous déchainons comme des dératés en prenant soin de ne pas gêner les spectateurs qui se trouvent derrière nous. On continue sur Bloodsucker et Hard Lovin' Man délivrées ici dans des versions décapantes et ce, grâce à un Don Airey impérial. Sur l'énorme version de Strange Kind Of Woman, l'un de nos voisins aura la lumineuse idée de nous faire part de cette réflexion .............lumineuse : "Vous pourriez vous calmer sur ce morceau calme ???????????" Un mec "éclairé" sans doute.....Fab et moi avons préféré laisser tomber l'affaire.
Vincent Price de Now What ?! et son ambiance sombre à souhait à la Cooper résonnent dans ce Zénith archi-comble. J'aime bien, pour ma part, ce morceau où le tandem Paice/Glover fait des miracles, le tout enrobé par la chape en béton armé des synthés de Don Airey et les vocaux de Gillan qui sont parfaits. Versions surpuissantes que l'on retrouve également sur les deux récents live au Wacken et au Budokan.
Je pars aux gogues sur Contact Lost puis reviens non sans mal à ma place initiale pendant un Uncommon Man d'excellente facture car comme chacun sait "qui part à la ch(i)asse, perd sa place !!!!!". Le public français est loin d'avoir l'élégance du public anglais....
Même si je n'aime pas trop ce morceau, The Well-Dressed Guitar enfonce le clou avec un Steve Morse qui s'illustre de fort belle façon.
Ca débouche ensuite sur The Mule où notre Paicey, muni de baguettes lumineuses, nous démontre et ce, grâce à un solo inventif et jamais ennuyeux qu'il demeure un batteur d'exception.
Au tour de Lazy et Demon's Eye (qui remplace Mary Long..........) d'être interprétés dans des versions très sympas puis Hell To Pay, ci-devant single de Now What ?!, un titre qui ne m'a jamais emballé plus que cela, suivi du keyboard solo qui débute depuis des années sur les premières notes de Mr.Crowley et qui, pour une fois, n'est pas trop ennuyeux...Perfect Strangers, devenu depuis fort longtemps, un classique du groupe nous est proposés dans une version, somme toute, assez conventionnelle mais très efficace. Encore une fois, Gillan est très en voix à ce stade du concert. Fab et moi, nous nous en réjouissons mais aussi, Stormy que nous rejoignons sur Space Truckin' proposé dans une version écourtée.
Inutile de préciser que Smoke On The Water suscite toujours autant d'enthousiasme dans le public qui répond aux sollicitations de Ian Gillan. Le groupe sort de scène pour revenir quasi immédiatement sur Green Onions couplé à Hush pour conclure en beauté sur Black Night.
Un très bon concert du Pourpre de toute évidence même si l'on peut regretter ce côté figé de la setlist qui avait un minimum bougé sur les dates précédentes avec la réapparition-surprise de Mary Long. Je trouve également qu'avec les années, le son live du groupe s'est épaissi voire étoffé et ce, grâce au trio Airey/Glover/ Paice qui m'a véritablement impressionné beaucoup plus qu'en 2007, 2009 et 2010. Et puis, il y a ce retour vocal de Ian Gillan dont on parle déjà depuis quelques mois et là, ça me fait franchement plaisir d'avoir assisté à ce petit évènement.
Je me trouvais dans l'impatience de les voir enfin après les avoir malheureusement ratés au Plan à Evry courant 2015. En 7 salves, nos Californiens vont incendier le Zénith et ce grâce à des titres comme les percutants Electric Man, Keep On Swinging, Open My Eyes et Secret qui alternent avec des morceaux plus mid-tempos qui captent une certaine émotion comme Where I've Been. Bref, je kiffe ce groupe depuis fort longtemps qui, à mon humble avis, est appelé à franchir rapidement les étapes vers une reconnaissance internationale encore plus étendue. En tous les cas, ils en ont tous les atouts car là, ils nous ont proposés un excellent set teinté à la fois d'énergie et d'émotion. Seul, l'avenir nous le dira....
Setlist
Electric Man
Secret
Tell Me Something
Torture
Where I've Been
Open My Eyes
Drum Solo
Keep On Swinging
En ce qui me concerne, cela faisait 5 longues années que je n'avais pas vu Purple jour pour jour car je crois qu'ils étaient aussi passés en ce lieu le 11 novembre 2010. A tergiverser pendant des années à ne pas (vouloir ?) y aller pour diverses raisons que je n'exposerai pas sans doute dues à une lassitude ou plutôt à une réflexion selon laquelle on s'attend à ce que l'on va voir. Mais quoique j'ai pu dire jusqu'ici, ça reste LE groupe de hard rock que j'ai découvert en premier avec le double live Made In Japan.
Cessons-là toute nostalgie inutile et passons donc au concert lui-même.
En lieu et place d'Après Vous qui figurait en opener il n'y a pas encore si longtemps, le groupe débarque sur les planches avec ce bon vieux Highway Star toujours aussi efficace. Gillan est bien en voix et ça fait plaisir de l'entendre interpréter les parties aigües du morceau sans trop de difficultés. Avec Fab, étant des éternels grands enfants, nous nous déchainons comme des dératés en prenant soin de ne pas gêner les spectateurs qui se trouvent derrière nous. On continue sur Bloodsucker et Hard Lovin' Man délivrées ici dans des versions décapantes et ce, grâce à un Don Airey impérial. Sur l'énorme version de Strange Kind Of Woman, l'un de nos voisins aura la lumineuse idée de nous faire part de cette réflexion .............lumineuse : "Vous pourriez vous calmer sur ce morceau calme ???????????" Un mec "éclairé" sans doute.....Fab et moi avons préféré laisser tomber l'affaire.
Vincent Price de Now What ?! et son ambiance sombre à souhait à la Cooper résonnent dans ce Zénith archi-comble. J'aime bien, pour ma part, ce morceau où le tandem Paice/Glover fait des miracles, le tout enrobé par la chape en béton armé des synthés de Don Airey et les vocaux de Gillan qui sont parfaits. Versions surpuissantes que l'on retrouve également sur les deux récents live au Wacken et au Budokan.
Je pars aux gogues sur Contact Lost puis reviens non sans mal à ma place initiale pendant un Uncommon Man d'excellente facture car comme chacun sait "qui part à la ch(i)asse, perd sa place !!!!!". Le public français est loin d'avoir l'élégance du public anglais....
Même si je n'aime pas trop ce morceau, The Well-Dressed Guitar enfonce le clou avec un Steve Morse qui s'illustre de fort belle façon.
Ca débouche ensuite sur The Mule où notre Paicey, muni de baguettes lumineuses, nous démontre et ce, grâce à un solo inventif et jamais ennuyeux qu'il demeure un batteur d'exception.
Au tour de Lazy et Demon's Eye (qui remplace Mary Long..........) d'être interprétés dans des versions très sympas puis Hell To Pay, ci-devant single de Now What ?!, un titre qui ne m'a jamais emballé plus que cela, suivi du keyboard solo qui débute depuis des années sur les premières notes de Mr.Crowley et qui, pour une fois, n'est pas trop ennuyeux...Perfect Strangers, devenu depuis fort longtemps, un classique du groupe nous est proposés dans une version, somme toute, assez conventionnelle mais très efficace. Encore une fois, Gillan est très en voix à ce stade du concert. Fab et moi, nous nous en réjouissons mais aussi, Stormy que nous rejoignons sur Space Truckin' proposé dans une version écourtée.
Inutile de préciser que Smoke On The Water suscite toujours autant d'enthousiasme dans le public qui répond aux sollicitations de Ian Gillan. Le groupe sort de scène pour revenir quasi immédiatement sur Green Onions couplé à Hush pour conclure en beauté sur Black Night.
Un très bon concert du Pourpre de toute évidence même si l'on peut regretter ce côté figé de la setlist qui avait un minimum bougé sur les dates précédentes avec la réapparition-surprise de Mary Long. Je trouve également qu'avec les années, le son live du groupe s'est épaissi voire étoffé et ce, grâce au trio Airey/Glover/ Paice qui m'a véritablement impressionné beaucoup plus qu'en 2007, 2009 et 2010. Et puis, il y a ce retour vocal de Ian Gillan dont on parle déjà depuis quelques mois et là, ça me fait franchement plaisir d'avoir assisté à ce petit évènement.
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