Cinquième album studio pour Tarja Turunen, avec ce titre un peu mystérieux de "The Shadow Self".
Un avant-gout de cet album appelé The Brightest Void est sorti en juin, mais ce n’est pas le propos de cette chronique.
Innocence met la barre très haute, d’emblée, un début vraiment puissant avec son refrain accrocheur, ses échanges entre gros riffs et des lignes de piano classique, l’appellation de métal symphonique prend ici tout son sens et est à mon gout magnifiée. Demons In You met le cap sur le gros métal, de par les riffs très très heavy, et l’apport vocal agressif d’Alissa White-Gluz (d'Arch Enemy), contrebalancé par les vocalises mélodiques de Tarja, équilibre réussi ! Puis nous arrivons au premier single intitulé "No Bitter End", avec un autre refrain fédérateur, très bon choix de single, puis le plus mélancolique Love To Hate et ses beaux arrangements, un peu dans la continuité du premier titre. Supremacy enchaine, superbe titre de Muse qui prend ici une dimension supplémentaire, la reprise pour moi dépasse ici l’original, et constitue à mon gout le sommet de l’album !
Après une ballade toute en douceur et en mélodies, The Living End, et la parenthèse, agréable, de Diva et sa séquence un peu style musique de cirque, Eagle Eye nous offre un autre sommet dans l’album, très belle composition qui nous vaut en plus un beau duo avec Toni Turunen, (le petit frère de Tarja et par ailleurs chanteur de Celestyn depuis 2010), magnifique !
Excellent aussi Undertaker, Calling From The Wild, ce dernier avec ses structures métal et ses passages plus calmes.
Too Many est le dernier titre, a priori semblant offrir près de 13 mn de musique, en réalité le titre s’arrête au bout de 8mn, et après 3 mn de silence, un très court titre caché se dévoile, plus anecdotique qu’autre chose.
Mais au final l’ensemble amène la fusion du métal et du classique à un niveau très haut, pour un album que je place volontiers dans mon top 10 2016. Idem en live avec une très belle prestation au Hellfest (voir ici) et une conférence de presse touchante (voir ici).
Innocence met la barre très haute, d’emblée, un début vraiment puissant avec son refrain accrocheur, ses échanges entre gros riffs et des lignes de piano classique, l’appellation de métal symphonique prend ici tout son sens et est à mon gout magnifiée. Demons In You met le cap sur le gros métal, de par les riffs très très heavy, et l’apport vocal agressif d’Alissa White-Gluz (d'Arch Enemy), contrebalancé par les vocalises mélodiques de Tarja, équilibre réussi ! Puis nous arrivons au premier single intitulé "No Bitter End", avec un autre refrain fédérateur, très bon choix de single, puis le plus mélancolique Love To Hate et ses beaux arrangements, un peu dans la continuité du premier titre. Supremacy enchaine, superbe titre de Muse qui prend ici une dimension supplémentaire, la reprise pour moi dépasse ici l’original, et constitue à mon gout le sommet de l’album !
Après une ballade toute en douceur et en mélodies, The Living End, et la parenthèse, agréable, de Diva et sa séquence un peu style musique de cirque, Eagle Eye nous offre un autre sommet dans l’album, très belle composition qui nous vaut en plus un beau duo avec Toni Turunen, (le petit frère de Tarja et par ailleurs chanteur de Celestyn depuis 2010), magnifique !
Excellent aussi Undertaker, Calling From The Wild, ce dernier avec ses structures métal et ses passages plus calmes.
Too Many est le dernier titre, a priori semblant offrir près de 13 mn de musique, en réalité le titre s’arrête au bout de 8mn, et après 3 mn de silence, un très court titre caché se dévoile, plus anecdotique qu’autre chose.
Mais au final l’ensemble amène la fusion du métal et du classique à un niveau très haut, pour un album que je place volontiers dans mon top 10 2016. Idem en live avec une très belle prestation au Hellfest (voir ici) et une conférence de presse touchante (voir ici).
Label : | EarMUSIC |
Sortie : | 05/08/2016 |
Production : | James Dooley - orchestral and choir arrangements Bart Hendrickson - orchestral and choir arrangements Mel Wesson Tim Palmer - mixing |
Discographie : |
Henkäys Ikuisuudesta (2006) |
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