Ne nous voilons pas la face, beaucoup attendait le messie !
Perso’, j’ai renoncé à chanter ; NON ! Pas que je chante comme une merde, mais je n’ai pas la volonté de faire du tort à un certain Jon, avec qui je partage déjà un tatouage !
Alors … Ouvrons grand la trappe à chat à pour : Lee Petit.
Pas terrible, essayons : Ouvrons grand la porte pour : Lee SMALL ! Yes ! Mieux.
Le nouveau Messie, avec un « e », et un micro ; pas le sans « e » avec les chaussures de foot ; enfin ... un chanteur digne de ce nom, une voix d’une énorme puissance, parfois (très souvent), très proche de Glenn HUGHES d’autrefois ; ajoutons à cela que sa voix se GoranEdmanise par moment.
Ce mec est, certainement, le GRAND chanteur de demain. Oui, aussi d’aujourd’hui ... puisque je le chronique. Souhaitons-lui, pour le futur, des musiciens et compositions à hauteur de son talent ; et dans ce cas je vous garantis que dans 20 ans et plus on parlera encore de lui. Que le nouvel étalon vocal, pourrait bien être ce type ! Lee SMALL. Auquel cas, nous serions les gagnants !
D’entrée, dès les premières notes on entend et s’attend à un album rempli d’émotions ; des lignes d’instruments plutôt épurées. Laissant la part belle à la partie chant. Ouvrant la route pour la voix (la formule, inverse veut rien dire : Ouvrant la voie pour la route ! Non rien !). Les instruments sont la parure ; l’écrin d’un bijou qui se veut avant tout solo. Le style se définirait comme un Heavy Rock SOFT mélodique avec GROSSE pincée de blues. Je ne parlerai pas de son précédent opus solo, que j’ai acquis depuis peu, nécessité fait loi. Et temps fait chronique. Mais temps et Maënora ? … Incompatibilité !Pour preuve, hier je portais des couches et à l’allure où ça va, demain il faudra en acheter des 70- 80 kg.
J’ai envie d’entendre dans ces compos et interprétations, un hommage à un grand guitariste compositeur, disparu cette même année. Pour vous aider je dirais que l’album de ce cher disparu … s’appelle SHY et le nom du groupe est éponyme. Un de mes GROS coups de cœur 2011.
Voire même …
Le solo acoustique sur The Captains Quarters, poursuivi par la gratte électrique ; s'il n’est pas le plus technique se veut parfaitement mélodique. A mon oreille, la guitare manque de silences, bends, prébends ; etc. ; un style qui collerait beaucoup mieux à cet œuvre. Mais pour cette analyse il faudra être, à mon image ; fouille m.rd. ! Et vouloir un album de groupe, plus qu’un album solo. Martin est un soliste semblant plus d'un héritage rock que blues, excellent dans l'heavy preuve en est avec sa carrière, mais pas dans le vrai registre de cet opus.
Shine A Light ; de forte empreinte bluesy, influence majeure qui se détache d’ailleurs de ce Jamaica Inn. Pour le solo, comme pour The Captains Quarters on alterne savamment les guitares. Un album qui se veut plaisir, sans fausses notes.
Mon morceau fétiche de cet opus, VOYAGER. La ballade blues, appris très jeune à l’école de papa : la ballade blouse ; c’est avec ce genre de morceau qu’on emballe tout ce qui bouge. Voire même ce qui ne bouge pas. Dans mon cas, je fais gaffe où je l’écoute … Le boulot j’évite totalement, pas que je travaille dans une morgue même si parfois la compagnie sied mieux (j’déconne). En fait à part chez moi ou seul, la problématique ne se pose pas vraiment. Surtout quand on a la malchance, comme moi, d’avoir un physique avantageux !
C’est cadeau, mon psy’ m’a dit d’assumer.
Pour poursuivre dans mon côté « à la recherche des bousins perdus », j’affirmerai qu’un gratteux se revendiquant plus de l’école bluesy, aurait mis au paroxysme ce titre. Qui en soit, est une chanson qui pourrait être aisément nominée aux césars de RockMeeting, dans la catégorie : « meilleure chanson de l’année ». Confidence, j’aurai, vraiment, aimé plus de feeling … plus de cris dans les notes. Le même solo, mais joué les yeux fermés, à la manière d’un Gary MOORE.
Sur ce titre Lee y va de son petit solo vocal, vas-y garçon lâche toi ! Avec ton organe, je ne me gratterai pas. Perso’ j’adore, rien que ce morceau justifie 100 fois l’acquisition de ce petit objet rond et brillant.
I Am The Sea, dès fois que vous seriez trop cons, et que vous ignorerez que « Sea » veut dire « Mer » ; on nous a glorifié de bruits de glouglous en intro’, 2mn30 de cool de chez coule ; ouais, je sais … même pas honte !
Smugglers Blues, il restait quelques bruits de vagues en magasin, alors on en remet un peu en intro’.
Sur ce titre, c’est Lee que j’aurai voulu « entendre » prendre plus de risques ; encore quelques années et sa voix sortira toujours LA note comme si il s’agissait de la dernière. A la manière du grand Glenn. Par exemple. Voir même de Beth Hart, sur son album avec Joe Bonamassa (parenthèse ouverte & ... fermée).
La guitare s’exprime parfaitement et clôture de fort belle manière avant de basculer sur Waiting For The Hangman, un morceau qui s’approcherait de l’esprit gospel, un genre qu'il aurait fallu développer plus en profondeur, en l'occurence sur ce titre.
Le même album avec un certain Joe Bonamassa et on tenait « THE » album ! « THE » référence ultime ! Voir un guest comme Lucky Peterson ou autre. Sans porter ombrage aux zicos. Et surtout pas à Martin Kronlund que j'adore sur les Salute et Starbreaker ; pour ne citer que ces groupes
Mais peut-être, qu’une autre production aurait mieux fait parler les musiciens en place ??? Martin produit par Martin ?
End Of The Road, esprit ballade pour un titre encore fortement empreint de blues ; et cette voix qui illumine chaque compo’. Après moultes écoutes, ma principale critique / analyse et tort sur ce Jamaica Inn : vouloir rendre aussi clair et donc ... lisse les lignes de guitares pour chercher l'accord parfait avec la voix. Vouloir le rendre trop soft, contentera un maximum de monde ; mais pourrait en frustrer quelques-uns. Je vois déjà Fab qui jubile (sur cette reprise de Boyz II Men) et MetalDen qui trépigne. Et moi ? Perso' le cul entre deux chaises ; il y a un potentiel énorme et produit, sans doûte trop aseptisé. Attention, qu'on ne me fasse pas mentir ; c'est un très bon album !
Renegade Acordion Player, QUOI encore des bruits de vague en stock ? Allez fais péter les mouettes et fais … Pause, Stop ! Le titre qui donnera l’érection finale aux bretons et humidifiera (sans doute) les Bretonnes. Lee SMALL, passerait ses vacances à Quimper et on m’a rien dit. Encore un qui doit avoir une belle collec’ de cirés fluo !
Alors … mon bilan, un album que vous n’aurez aucun mal à faire tourner dans la platine. Aucune difficulté non plus à le remettre en lecture, une fois que les mouettes auront lâché leurs guanos (excréments, fientes).
Un album qui vous faudra poser pas loin du SHY 2011, car ce mec est, sans doute, la star de demain. Cela sans être passé par un concours à la noix. Mais en traversant les joies et galères du rockeur inné ; celui qui ce sera construit dans le temps. Lectrice, lecteur si tu as foi en Maënora ; Achète ! Ou envoie moi 100€ avec tes cordonnées je ferai suivre !
Alors … Ouvrons grand la trappe à chat à pour : Lee Petit.
Pas terrible, essayons : Ouvrons grand la porte pour : Lee SMALL ! Yes ! Mieux.
Le nouveau Messie, avec un « e », et un micro ; pas le sans « e » avec les chaussures de foot ; enfin ... un chanteur digne de ce nom, une voix d’une énorme puissance, parfois (très souvent), très proche de Glenn HUGHES d’autrefois ; ajoutons à cela que sa voix se GoranEdmanise par moment.
Ce mec est, certainement, le GRAND chanteur de demain. Oui, aussi d’aujourd’hui ... puisque je le chronique. Souhaitons-lui, pour le futur, des musiciens et compositions à hauteur de son talent ; et dans ce cas je vous garantis que dans 20 ans et plus on parlera encore de lui. Que le nouvel étalon vocal, pourrait bien être ce type ! Lee SMALL. Auquel cas, nous serions les gagnants !
D’entrée, dès les premières notes on entend et s’attend à un album rempli d’émotions ; des lignes d’instruments plutôt épurées. Laissant la part belle à la partie chant. Ouvrant la route pour la voix (la formule, inverse veut rien dire : Ouvrant la voie pour la route ! Non rien !). Les instruments sont la parure ; l’écrin d’un bijou qui se veut avant tout solo. Le style se définirait comme un Heavy Rock SOFT mélodique avec GROSSE pincée de blues. Je ne parlerai pas de son précédent opus solo, que j’ai acquis depuis peu, nécessité fait loi. Et temps fait chronique. Mais temps et Maënora ? … Incompatibilité !Pour preuve, hier je portais des couches et à l’allure où ça va, demain il faudra en acheter des 70- 80 kg.
J’ai envie d’entendre dans ces compos et interprétations, un hommage à un grand guitariste compositeur, disparu cette même année. Pour vous aider je dirais que l’album de ce cher disparu … s’appelle SHY et le nom du groupe est éponyme. Un de mes GROS coups de cœur 2011.
Voire même …
Le solo acoustique sur The Captains Quarters, poursuivi par la gratte électrique ; s'il n’est pas le plus technique se veut parfaitement mélodique. A mon oreille, la guitare manque de silences, bends, prébends ; etc. ; un style qui collerait beaucoup mieux à cet œuvre. Mais pour cette analyse il faudra être, à mon image ; fouille m.rd. ! Et vouloir un album de groupe, plus qu’un album solo. Martin est un soliste semblant plus d'un héritage rock que blues, excellent dans l'heavy preuve en est avec sa carrière, mais pas dans le vrai registre de cet opus.
Shine A Light ; de forte empreinte bluesy, influence majeure qui se détache d’ailleurs de ce Jamaica Inn. Pour le solo, comme pour The Captains Quarters on alterne savamment les guitares. Un album qui se veut plaisir, sans fausses notes.
Mon morceau fétiche de cet opus, VOYAGER. La ballade blues, appris très jeune à l’école de papa : la ballade blouse ; c’est avec ce genre de morceau qu’on emballe tout ce qui bouge. Voire même ce qui ne bouge pas. Dans mon cas, je fais gaffe où je l’écoute … Le boulot j’évite totalement, pas que je travaille dans une morgue même si parfois la compagnie sied mieux (j’déconne). En fait à part chez moi ou seul, la problématique ne se pose pas vraiment. Surtout quand on a la malchance, comme moi, d’avoir un physique avantageux !
C’est cadeau, mon psy’ m’a dit d’assumer.
Pour poursuivre dans mon côté « à la recherche des bousins perdus », j’affirmerai qu’un gratteux se revendiquant plus de l’école bluesy, aurait mis au paroxysme ce titre. Qui en soit, est une chanson qui pourrait être aisément nominée aux césars de RockMeeting, dans la catégorie : « meilleure chanson de l’année ». Confidence, j’aurai, vraiment, aimé plus de feeling … plus de cris dans les notes. Le même solo, mais joué les yeux fermés, à la manière d’un Gary MOORE.
Sur ce titre Lee y va de son petit solo vocal, vas-y garçon lâche toi ! Avec ton organe, je ne me gratterai pas. Perso’ j’adore, rien que ce morceau justifie 100 fois l’acquisition de ce petit objet rond et brillant.
I Am The Sea, dès fois que vous seriez trop cons, et que vous ignorerez que « Sea » veut dire « Mer » ; on nous a glorifié de bruits de glouglous en intro’, 2mn30 de cool de chez coule ; ouais, je sais … même pas honte !
Smugglers Blues, il restait quelques bruits de vagues en magasin, alors on en remet un peu en intro’.
Sur ce titre, c’est Lee que j’aurai voulu « entendre » prendre plus de risques ; encore quelques années et sa voix sortira toujours LA note comme si il s’agissait de la dernière. A la manière du grand Glenn. Par exemple. Voir même de Beth Hart, sur son album avec Joe Bonamassa (parenthèse ouverte & ... fermée).
La guitare s’exprime parfaitement et clôture de fort belle manière avant de basculer sur Waiting For The Hangman, un morceau qui s’approcherait de l’esprit gospel, un genre qu'il aurait fallu développer plus en profondeur, en l'occurence sur ce titre.
Le même album avec un certain Joe Bonamassa et on tenait « THE » album ! « THE » référence ultime ! Voir un guest comme Lucky Peterson ou autre. Sans porter ombrage aux zicos. Et surtout pas à Martin Kronlund que j'adore sur les Salute et Starbreaker ; pour ne citer que ces groupes
Mais peut-être, qu’une autre production aurait mieux fait parler les musiciens en place ??? Martin produit par Martin ?
End Of The Road, esprit ballade pour un titre encore fortement empreint de blues ; et cette voix qui illumine chaque compo’. Après moultes écoutes, ma principale critique / analyse et tort sur ce Jamaica Inn : vouloir rendre aussi clair et donc ... lisse les lignes de guitares pour chercher l'accord parfait avec la voix. Vouloir le rendre trop soft, contentera un maximum de monde ; mais pourrait en frustrer quelques-uns. Je vois déjà Fab qui jubile (sur cette reprise de Boyz II Men) et MetalDen qui trépigne. Et moi ? Perso' le cul entre deux chaises ; il y a un potentiel énorme et produit, sans doûte trop aseptisé. Attention, qu'on ne me fasse pas mentir ; c'est un très bon album !
Renegade Acordion Player, QUOI encore des bruits de vague en stock ? Allez fais péter les mouettes et fais … Pause, Stop ! Le titre qui donnera l’érection finale aux bretons et humidifiera (sans doute) les Bretonnes. Lee SMALL, passerait ses vacances à Quimper et on m’a rien dit. Encore un qui doit avoir une belle collec’ de cirés fluo !
Alors … mon bilan, un album que vous n’aurez aucun mal à faire tourner dans la platine. Aucune difficulté non plus à le remettre en lecture, une fois que les mouettes auront lâché leurs guanos (excréments, fientes).
Un album qui vous faudra poser pas loin du SHY 2011, car ce mec est, sans doute, la star de demain. Cela sans être passé par un concours à la noix. Mais en traversant les joies et galères du rockeur inné ; celui qui ce sera construit dans le temps. Lectrice, lecteur si tu as foi en Maënora ; Achète ! Ou envoie moi 100€ avec tes cordonnées je ferai suivre !
Label : | Escape Music |
Sortie : | 20 /01/2012 |
Production : | Martin Kronlund |
Discographie : |
Through The eyes Of Robert Lees (2008) |
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