Retour dans le futur, tout nous ramène entre les deux albums : Native Sons & Walk The Fire ; le son, le style.
Pour moi, c’est la bouffée d’oxygène de cette année. On est dans l’album à offrir (certes) à belle maman ; mais j’ai parfois un petit côté fleur bleu … J’avoue ; plutôt côté tige. Mais fleur bleu.
Rien de révolutionnaire, juste l’impression que quelqu’un a ouvert la porte du congélo’ pour nous offrir cet album. Après avoir dépoussiéré Terry Brock en 2010, 2011 sonnait un peu la disette, pour (à mon avis) ce grand chanteur. Ô joie, Ô bonheur, Ô gazeuse, d’ouïr cette galette.
Si vous faites partis des boulimiques de la musique, le passage de ce « Age Of Reason » risque de sonner un peu vieillot. Mais si vous êtes nostalgiques des grandes années 80, il va y avoir de quoi combler vos ouïes qui devaient se sentir bien orphelines de ce type de produit. Petit conseil, privilégier tout de même le format Cd à vynil. Quoi, que les craquements, risque de vous manquer !!!
Je vous vois déjà faire vos plans de soirées : Pensez à faire le plein de la R6 ou R5 ; regarder à quelle heure passe Rocky au Pathé, pire des cas allez louer une cassette vidéo ; penser à nettoyer les têtes du magnétoscope ; aller au distributeur retirer 150 francs ... avec ça peinard ; un plein et des points pour compléter ma vaisselle à la station ; un repas en tête à tête à la crêperie … et je pourrai même laisser un pourboire à la Mme qui m’emmènera jusqu’à mon strapontin au cinoche.
Ah, oui penser à faire une copie, sur une K7 audio, pour écouter dans la voiture !
Première écoute, j’avais pas vraiment eu de grosse accroche, principale raison : le son et à la seconde … le coup de foudre, la raison : le son ? J’ai ressorti mon perfecto blanc JAPA, mes Américana en cuir, bon j’avoue, j’ai hésité avec mes bottes de Robin des bois. Mais j’ai tranché. Mon tee-shirt à lanières. Impossible de fermer le perfecto ! Non messieurs pas le bide, ouuuiii Mesdames ... Les épaules !!!
J’ai vachement gagné de temps dans la salle de bain pour me coiffer. Certains s’en sortiront, encore, mieux que moi ; je pense à ceux qu’on une raie de 20cm qui part du front et finis dans le coup, quand les poils reprennent de plus belle.
Pour les anciennes demoiselles, attention avec les petites robes moulantes et les bas résilles … Il ne faudrait pas que ça fasse pub’ cochonou !!! Car en sortant de la R5, on ne verra que ça.
Sinon, histoire de parler musique, pas de solo révolutionnaire ; des chorus mélodieux. Une voix qui semble se sublimer au fil du temps. Amoureux de la nostalgie, cet album sera celui de votre année. Du Strangeways pur jus ! La couleur, l’odeur, l’aspect tout y est.
Les titres s’enchainent dans un esprit plutôt mid-tempo. Idéal, pour vos soirées réveillons ! Et soirées tout court. Impossible de faire sortir un titre, tout est nectar. Si je parlais de la plus belle région du monde, je parlerai des Alpilles. Histoire de porter une critique, je dirai que la pochette est vendeuse comme peut l’être le camping-car de Mme tapin au fond du chemin, ou en bord de route. Mais, si tu n’oses pas tu ne sauras jamais. Si quelqu’un veut (& peut) expliquer la maison du bonheur De Mme Durex … On lui ouvrira une chronique spéciale !
Entre deux Judas Priest, ce Strangeways peut faire tâche … Mais après un Richard MARX, première période, aucun soucis ! Même un morceau qui dure plus de 6 minutes, passe tout seul ... mieux que du Tang ; vous savez cette boisson en poudre. Attention, je préviens ... C’est cool de chez cool. Un seul morceau qui pulse vraiment. Eventuellement, ne pas se passer l’album complet en voiture, c’est écrit sur la pochette, fort risque de somnolence. Mais hormis ça, il accompagnera très bien vos alcools légers, votre soirée câline canapé. Pour les célibataires, pensez à planquer les cordes, couper le gaz et planquer tout objet létal. Vous pourrez passer une bonne soirée en regardant un vieux cadre photo’. Mais pour cela … d’abord récupérer l’album, livré dans la naphtaline. Jene conseillerai même pas un gant de toilettes et des nouilles chaudes aux célibataires, non ; je ne le ferai pas !
Bien sur, ces quelques vers sont boutade ; à contrario ce flashback est hyper positif, dans cette période stéréotypée. Avec trois / quatre zicos que l'on retrouve sur trop de projets. Nous offrant une qualité flirtant trop prêt de la corde usure ... Don't act !
Petit aveu, j’avais totalement zappé son prédécesseur, sur et confiant après les propos de mes collègues chroniqueurs ; mais après celui-là je risque d’y jeter une oreille. Après tout ... C'est la période des soldes ????
Rien de révolutionnaire, juste l’impression que quelqu’un a ouvert la porte du congélo’ pour nous offrir cet album. Après avoir dépoussiéré Terry Brock en 2010, 2011 sonnait un peu la disette, pour (à mon avis) ce grand chanteur. Ô joie, Ô bonheur, Ô gazeuse, d’ouïr cette galette.
Si vous faites partis des boulimiques de la musique, le passage de ce « Age Of Reason » risque de sonner un peu vieillot. Mais si vous êtes nostalgiques des grandes années 80, il va y avoir de quoi combler vos ouïes qui devaient se sentir bien orphelines de ce type de produit. Petit conseil, privilégier tout de même le format Cd à vynil. Quoi, que les craquements, risque de vous manquer !!!
Je vous vois déjà faire vos plans de soirées : Pensez à faire le plein de la R6 ou R5 ; regarder à quelle heure passe Rocky au Pathé, pire des cas allez louer une cassette vidéo ; penser à nettoyer les têtes du magnétoscope ; aller au distributeur retirer 150 francs ... avec ça peinard ; un plein et des points pour compléter ma vaisselle à la station ; un repas en tête à tête à la crêperie … et je pourrai même laisser un pourboire à la Mme qui m’emmènera jusqu’à mon strapontin au cinoche.
Ah, oui penser à faire une copie, sur une K7 audio, pour écouter dans la voiture !
Première écoute, j’avais pas vraiment eu de grosse accroche, principale raison : le son et à la seconde … le coup de foudre, la raison : le son ? J’ai ressorti mon perfecto blanc JAPA, mes Américana en cuir, bon j’avoue, j’ai hésité avec mes bottes de Robin des bois. Mais j’ai tranché. Mon tee-shirt à lanières. Impossible de fermer le perfecto ! Non messieurs pas le bide, ouuuiii Mesdames ... Les épaules !!!
J’ai vachement gagné de temps dans la salle de bain pour me coiffer. Certains s’en sortiront, encore, mieux que moi ; je pense à ceux qu’on une raie de 20cm qui part du front et finis dans le coup, quand les poils reprennent de plus belle.
Pour les anciennes demoiselles, attention avec les petites robes moulantes et les bas résilles … Il ne faudrait pas que ça fasse pub’ cochonou !!! Car en sortant de la R5, on ne verra que ça.
Sinon, histoire de parler musique, pas de solo révolutionnaire ; des chorus mélodieux. Une voix qui semble se sublimer au fil du temps. Amoureux de la nostalgie, cet album sera celui de votre année. Du Strangeways pur jus ! La couleur, l’odeur, l’aspect tout y est.
Les titres s’enchainent dans un esprit plutôt mid-tempo. Idéal, pour vos soirées réveillons ! Et soirées tout court. Impossible de faire sortir un titre, tout est nectar. Si je parlais de la plus belle région du monde, je parlerai des Alpilles. Histoire de porter une critique, je dirai que la pochette est vendeuse comme peut l’être le camping-car de Mme tapin au fond du chemin, ou en bord de route. Mais, si tu n’oses pas tu ne sauras jamais. Si quelqu’un veut (& peut) expliquer la maison du bonheur De Mme Durex … On lui ouvrira une chronique spéciale !
Entre deux Judas Priest, ce Strangeways peut faire tâche … Mais après un Richard MARX, première période, aucun soucis ! Même un morceau qui dure plus de 6 minutes, passe tout seul ... mieux que du Tang ; vous savez cette boisson en poudre. Attention, je préviens ... C’est cool de chez cool. Un seul morceau qui pulse vraiment. Eventuellement, ne pas se passer l’album complet en voiture, c’est écrit sur la pochette, fort risque de somnolence. Mais hormis ça, il accompagnera très bien vos alcools légers, votre soirée câline canapé. Pour les célibataires, pensez à planquer les cordes, couper le gaz et planquer tout objet létal. Vous pourrez passer une bonne soirée en regardant un vieux cadre photo’. Mais pour cela … d’abord récupérer l’album, livré dans la naphtaline. Jene conseillerai même pas un gant de toilettes et des nouilles chaudes aux célibataires, non ; je ne le ferai pas !
Bien sur, ces quelques vers sont boutade ; à contrario ce flashback est hyper positif, dans cette période stéréotypée. Avec trois / quatre zicos que l'on retrouve sur trop de projets. Nous offrant une qualité flirtant trop prêt de la corde usure ... Don't act !
Petit aveu, j’avais totalement zappé son prédécesseur, sur et confiant après les propos de mes collègues chroniqueurs ; mais après celui-là je risque d’y jeter une oreille. Après tout ... C'est la période des soldes ????
Label : | Frontiers Records |
Sortie : | 2011 |
Production : | Ian James Stewart |
Discographie : |
Strangeways (1984) |
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Comments:
Commentaires
Je ne lis (j'avoue) jamais les critiques avant de chroniquer.
Je me fais une dose massive de l'album ; si je pense que c'est une daube ... j'en parle même pas, je passe à autre chose. Je le redonne à un collègue ! Si l'album est bon, mais juste pas à la hauteur ... j'y vais de mon commentaire.
Alors, curieux ... après coup ; je me suis demandé quel ressenti pour cet opus ??? Après un tour international, pas si purge que ça (même si loin du niveau d'un Walk The Wire, comme pratiquement tout ce qui sort depuis quelques années) :
- Stormbringer
- lordsofmetal
- festivalphoto
- powerofmetal
Et petit conseil, parfois même pas besoin de descendre dans la rue ... Internet - panier & boite aux lettres - maison !
Car : "En toute objectivité les compos tiennent la route et sont très mélodieuses" & : "Terry Brock reste un grand chanteur". Assez d'accord avec cette analyse ! Pour ne pas dire ... très
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