Voila un type qui sort albums sur albums mais dont tout le monde se fout ou presque.
A l’instar d’un Jesse Damon, il semble que notre ami Joey Summer soit vraiment catégorisé Underground d’un mouvement qui l’est déjà. Pourtant en 2010, son premier album Written In Horizon avait laissé entrevoir de belles choses. Des reprises de Jaded Heart et de Street Talk pour un mix musical qui oscillait justement entre le coté hard FM des Allemands et le coté soft des Suédois. Un gros son, une voix assez passe partout mais qui ne rebutait pas non plus, bref un premier album de qualité.
Puis, notre ami Brésilien s’est fait jeter de chez Avenue Of Allies et a atterri chez Perris Records pour le second opus en 2012, One Bite From Paradise dont personne n’a parlé et que je n’ai personnellement pas écouté. Les rares échos qui me sont remontés, c’est que cette seconde galette était nettement moins bonne que la première. Cette année toujours chez Perris sort le troisième essai, Even The Saitns Are Sinners. Force est de constater qu’effectivement, Joey Summers n’est plus aussi performant que sur son premier opus. Plusieurs choses choquent mes oreilles : la première c’est la qualité du mixage et du son qui est vraiment moyenne. La seconde c’est la qualité du chant de Summer qui frôle la cata par moment surtout quand il cherche à pousser un peu. Pourtant, les compos sont plutôt agréables et on retrouve toujours ce mix entre titres hard FM et soft rock. Il s’en sort quand même mieux sur les titres calmes et les mids tempos que sur les morceaux plus rentre dedans. La reprise du Happy Children de P Lion qui a fait les beaux jours du générique du Top 50 est pas mal vu sur le papier mais à l’arrivée ca tombe un peu à plat à cause des problèmes mentionnés précédemment et qui plombent le tout. Je dirais que ceci se retrouve sur la totalité du CD. Quand Summer nous pond de bons titres comme Lucky One, le son merdique et la voix pas terrible nous ramènent à la dure réalité.
Au moins j’aurais parlé de cet album qui est passé inaperçu pour tout le monde, comme le second. Ca par contre, ça m’énerve profondément que des sites dits spécialisés zappent complètement certains artistes. Par contre, si je peux donner un conseil à Joey c’est d’essayer de revenir à l’essence de son premier album. L’esprit est toujours là mais la réalisation plus du tout !!!
Puis, notre ami Brésilien s’est fait jeter de chez Avenue Of Allies et a atterri chez Perris Records pour le second opus en 2012, One Bite From Paradise dont personne n’a parlé et que je n’ai personnellement pas écouté. Les rares échos qui me sont remontés, c’est que cette seconde galette était nettement moins bonne que la première. Cette année toujours chez Perris sort le troisième essai, Even The Saitns Are Sinners. Force est de constater qu’effectivement, Joey Summers n’est plus aussi performant que sur son premier opus. Plusieurs choses choquent mes oreilles : la première c’est la qualité du mixage et du son qui est vraiment moyenne. La seconde c’est la qualité du chant de Summer qui frôle la cata par moment surtout quand il cherche à pousser un peu. Pourtant, les compos sont plutôt agréables et on retrouve toujours ce mix entre titres hard FM et soft rock. Il s’en sort quand même mieux sur les titres calmes et les mids tempos que sur les morceaux plus rentre dedans. La reprise du Happy Children de P Lion qui a fait les beaux jours du générique du Top 50 est pas mal vu sur le papier mais à l’arrivée ca tombe un peu à plat à cause des problèmes mentionnés précédemment et qui plombent le tout. Je dirais que ceci se retrouve sur la totalité du CD. Quand Summer nous pond de bons titres comme Lucky One, le son merdique et la voix pas terrible nous ramènent à la dure réalité.
Au moins j’aurais parlé de cet album qui est passé inaperçu pour tout le monde, comme le second. Ca par contre, ça m’énerve profondément que des sites dits spécialisés zappent complètement certains artistes. Par contre, si je peux donner un conseil à Joey c’est d’essayer de revenir à l’essence de son premier album. L’esprit est toujours là mais la réalisation plus du tout !!!
Line up:Joey Summer (chant,guitares,tous les instruments)
Année:2013
Label:Perris Records
Discographie : |
Written In Horizon (2010) |
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