CHRONIQUE COURTE.
Ce qu'il faut retenir de 2020 : il est excellent, achetez !
Et vous pouvez avoir confiance en moi, j'ai des valeurs. Mon proctologue lui-même me l'a dit, j'ai le cul propre. Une marque de confiance.
CHRONIQUE LONGUE (tant pis pour vous).
Prologue.
Plus le potentiel est grand, plus le chemin est semé d'embûches
Cela pourrait résumer le temps qu’il a fallu pour que la distance kilométrique de nonante (comme disent nos amis Belges) entre Lazuli et mon chez moi fasse son chemin.
Et pourtant dans la chambre, mémo technique, il est rangé Là-SousLit. Je devrais avoir honte, mais je n’y arrive pas.
Maintenant, cela étant dit il est important et opportun de commencer cette chronique en différenciant le contenant du contenu. Pour cette singularité apporté à l’objet. L’objet est beau !
Prenons ces quelques secondes et arrêtons-nous sur l'assemblage et le contenant, faisant de cet objet rond de douze cm, sans odeur, le phénix de cette chronique. Tout paraît finement et tellement bien pensé. L'harmonie des couleurs, jusqu’à la fable, les ambiances musicales et LES textes. Un ramage donnant l’opportunité au regard d’un plumage ou d’un claquos magnifique.
L'artwork, le sérigraphié, la reliure posée, tout y est.
Nos sens sont sollicités, enfin au moins trois (chez moi) : le regard, le touché et l'écoute. Pour l'odorat et le goût, je vous laisse vaguer à vos pulsions.
Acte I
Circumcisio, voilà qui pourrait résumer mon style d'écriture (selon moi). À partir du moment où mon Webmaster me laisse carte blanche, j'écris sans frein. Donc comme un prépuce ayant subi sa posthectomie (circoncision, je précise pour ceux qui 'croivent’ [on se retrouve plus bas]).
Maintenant on va arrêter de parler de sexe masculin, à la limite d'amarrage et de ces grosses b#ttes, où on met les gros nœuds pour attacher les bateaux, non en fait noooon plus !
Intéressons-nous plutôt à la lithothérapie. Croyez-moi si certains scientifiques mettent en doute la guérison par les pierres, en parlant de pseudoscience, moi je vous affirme que je pourrais vous guérir de vos goûts foireux. Et ce en restant dans l'hexagone, comme ça on oublie l'attestation.
Lazuli est une pierre d'histoire. D'histoires également cette fois.
Alors, certes si ce n’est la pierre bleue qui a inspiré le nom, on y retrouve 'l’identité' dans ‘lapis-Lazuli’. Mot composé puisant ses racines dans le latin et le perse. Et qui a toutefois amené il y a une petite vingtaine d’années au nom. La racine de ce mot ‘bleu’ également dans grand nombre de langues (d’où l’universalité parlante aux membres) En français azur ; espagnol : azul ; italien : azzurro ; latin : lazur ; persan lāzward… Presque autant d’origines qu’on retrouve dans l’essence du groupe : Italienne, Arabe, Espagnole et Française. Un nom, un mot, pour une réunification, une mixité pour une seule identité. LAZULI c’est essentiellement un cocktail réussi la raison est simple : cinq protagonistes avec de réelles présences. Claude et Dominique LEONETTI, Gédéric BYAR, Romain THOREL & Vincent BARNAVOL ils sont LAZULI.
Acte II
Si ma culture musicale est aussi large que peuvent être vides les têtes de majorité de bipèdes terriens, il me plait d’écouter aux grès de mes envies. Et si possible, j’essaie de caresser le summum dans mes goûts. Foutue éducation qui me fait préférer le caviar et le foie gras au pâté et à la croute pelée.
Sur ces flots, je navigue parfois à l’aventure, parfois sur des conseils.
Le prog’ restant un de mes courants de cœurs, il offre cet éventail de richesse, de surprises, de talents… quand on sait s’affranchir des bonnes écoutes.
C’est d’ailleurs à ce titre (roulement de tambour) que je viens vous offrir, mieux qu’un masque et des gants, une protection auditive à l’ennui ; une ode hexagonale qui me flatte et me parle.
S'il vous fallait une raison de vous souvenir de 2020, je vous l'apporte sur un plateau. Que dis-je sur une palette. Celle d'un artiste, où multitudes de couleurs croulent sous une cascade de notes. Un déluge musical pour la réalisation d'une toile unique.
Lazuli c'est de la poésie dans le texte, mais également dans la musique et c'est bien la somme de ces deux composantes qui rendent l'unicité et l’identité au groupe.
Acte III
Depuis 1990, j'attendais le groupe et l'album qui pourrait succéder à Arrakeen et son Patchwork. Du prog à la française, sans que cela soit péjoratif, bien au contraire. Alors certes, les années se sont écoulées, quelques décennies également et de fait, j'ai perdu beaucoup de temps. Egaré dans divers courants musicaux et face au manque crucial de visibilité pour ce fleuron prog, Made in chez nous. J'espère contribuer à apporter une once supplémentaire de lumière à cet indispensable de 2020 et des années passées et à venir.
Mais attention, nous sommes face à un VERITABLE quelque chose. Dans les mains de Dieter, il y a cette 'fragrance' d'un Marillion Easter. Rien que ça. La structure d’un Operation Mindcrime pour son schéma et son intégralité.
Ce qui, pour moi, est le summum du mieux et ici en ambiance soft prog.
Alors, bien sûr Lazuli, certains connaissent déjà, petits veinards ! Pour les autres, ça ne va plus tarder. Enfin, façon de par..., oups, d'écrire.
Beaucoup se plaisent à dire que l'anglais est la langue du rock. Alors pour celles et ceux qui pensent cela, je suis désolé ! Vous faites partie des gens qui 'croivent'. Oui vous êtes un peu moins futés que celles et ceux qui savent. Le français est la langue des érudits, de la poésie, la forme d'expression qui permet d'apposer le verbe, le nom, le qualificatif précis.
Pour certains se persuader que le fait de moins comprendre permet de mieux capter ???
Sincèrement, ce n’est que moi, où ça sent le grand vide sidéral ? Cet écho sans fin de la profonde absence ?
Ce bruit de vide absolu qui résonne pendant l’échographie Trumpienne de cerveau.
Je réitère, désolé tonton Fernand et tata Gudule, mais en français les possibilités sont colossales : le pathétique, tragique, comique, la forme ironique (la bibitte à Dudule, dans le port de Phion), le lyrique, l’homérique, l’épique, le fantastique (charge ou pas), le fantasmagorique et le tout dans la bonne tonalité. Pas de clé de sol, d'ut, de fa. Non les clés sont celles de la justesse. Celles de la nuances et du subtil. On s’assoit, on prend un verre et on écoute. Je ramasse les copies !
Si possible une profondeur de texte et un sens pour ce dernier.
Sur cette trame construite, envisagée ; de vous à moi : Quoi de mieux que : Le Fantastique Envol de Dieter Böhm ? Subtil, le Maënora !
Un tel titre et je commence à voyager, avec la pochette, c’est mon esprit qui chemine, les paysages et les personnages se dessinent. Bon, j'avoue dans un univers légèrement Monthy Python. En Absurdie, mais j’y suis chez moi, je circule au travers d’un univers conçu au fil des mots sur la portée des notes.
Tout un art.
Savoir faire voyager, apporter des idées, en maintenant un style et quelques figures rhétoriques.
Le français, notre langue permet cela, de créer ces paysages écrits, des fables factices et leur donner un réel parfum d'authenticité.
Alors, c'est vrai que cela demande plus de talent. Savoir définir la richesse des mots percutants, le sens du phrasé, parfois de la rime, du clin d'œil. Apporter une tonalité et une justesse dans le verbe.
Pour installer mon décor je puise sans effort à créer cette palette de nuances, de couleurs et des fonds qui vont correspondre. Je me revois très facilement enfant avec ma Bd de Stevenson, l'île aux trésors. Enfoui dans mon lit.
La Bd est aussi grande que mon plastron et j’espère qu’il n’y a rien derrière. Courageux mais pas téméraire, mais je suis cet enfant. Le soir dans une chambre plongée dans le noir et le silence, avec juste un éclairage de lampe sur les dessins de mon évasion.
Evidemment je suis Jim Hawkins et malheureusement j’entends cette jambe de bois. Celle de Long John Silver et son chant de pirate sous les sifflets d’accompagnement de son perroquet. Au moment où il passe au-dessus du petit pont sous lequel je suis terré, à quelques pas de l’auberge d’où je viens et réside. Pour la suite, blablabla…
Et en fait le bruit de la jambe de bois, c’est la canette de papa qui cogne dans les pièges que j’ai laissés dans le couloir.
Car, quoi qu’on en pense, ce sont bien dans les détails que nous créons les plus belles histoires et nos souvenirs, plus important que l'histoire : la trame, après les détails hissent le contenant. Toujours les détails qui différencient les diverses entités et le talent... et encore... uniquement pour celles et ceux qui sauraient écrire, chanter ces nuances de subtilités. Lazuli sait faire.
Oui le voyage s’effectue aisément avec : Le Fantastique Envol de Dieter Böhm.
Bienvenue dans la fable, celle d’une histoire qui prend son envol, son nid, avec un musicien semant sa note, sur une île déserte.
Celle-ci deviendra une chanson confiée à l’onde et blablabla.
Mais pour cela il faudra s’affranchir d’un prologue sortie du Sol. Soutenu en harmonie par des portées ou la clé est homonyme de la terre. Pourquoi cette approche ? Car Lazuli est une référence à la poésie, tellement de mots, de clins d’œil qu’il faut savoir s’attarder sur leurs textes.
Mais la beauté est aussi dans la parabole et la genèse d’une réalité.
Voici en deux mot la genèse : un concert, un gars repéré au milieu de la foule. Yeux fermés et transporté par l’univers Lazuli. Une anecdote dans un coin de tête (celle de Domi’). Ajoutant à cela que ‘ce gars’ était présent à chacun de leurs concerts et cela où qu’ils soient en Europe.
Dieter Böhm, puisque c’est son nom, a fait l’aveu d’avoir été sauvé par leur musique ; la résonnance d’un rôle inversé. Il n’en fallait pas plus.
De facto, aujourd’hui nous voilà nombreux à jalouser Dieter, mais paradoxe, également, à le remercier d’avoir tant inspiré.
J’affirme que c’est typiquement le genre d’albums qu’il faut savourer en s’imprégnant autant de ses mots que de ses notes. Faire revenir son âme d’enfant, et se laisser porter.
Si une bouteille à la mer nous met l'eau à la bouche, les mers lacrymales me donnent ce goût salin...
On rentre dans un album de Lazuli comme dans une série, chaque titre est un épisode et chaque album une saison, et à chaque fois la peur est dans la fin.
Il y a cette continuité et cette envie de franchir tous les paliers.
Une preuve, une seule : Les chansons sont des bouteilles à la mer, est un des plus beaux titres de cette année et un des plus beaux au sens LARGE. J'adore ce titre, il y a tout ce que j'affectionne dans la musique et... il y a les paroles. Pour moi c’est minimum chair de poule et émotion lacrymale.
On réinvente un courant en créant une identité forte. On quitte parfois le rock progressif, pour créer un folklore progressif.
L'impression d'une invitation à une dégustation, que des aliments nobles innocents et pourtant si naturels.
ATTENTION ! Il est temps de PLONGER au cœur de l’album, alors au choix :
Rendez-vous en bas de la chronique pour les liens, composition, titres, discographie et tout le toutim, UNE FOIS encore j’essaie de vous épargnez. Ou bien…
Le SAUCISSONAGE made by MOI (oui, Maënora) :
LAZULI - Le Fantastique Envol de Dieter Böhm – acte 2
Prologue pour Icare, qui non satisfait de découvrir par l'expérience que non contente de nous attirer, la terre pour la plupart viendra à nous ensevelir, et même aplatir dans son cas. Découvrons maintenant l'essence de cet opus...
Sol
Les premières notes sont le reflux des vagues. Très facile de poser des images.
Imaginez-vous une mer couverte de drakkars, à l'envol du métronome le déferlement de la houle frappant, inlassablement, les coques, pendant que les quilles fendent les fonds.
La musique est puissante, la voix une mélopée celle qui nous guide.
Doucereuse, mais tellement adaptée.
Les textes sont toujours ce compromis entre l'essentiel et la forme poétique.
Quant au solo, il est ce chant mélodique.
Acte I, parfois on confie à la vague et parfois à l'âme.
Les chansons sont des bouteilles à la mer.
Si ce titre était :
- Un vin, il serait un nectar, débordant de parfums s'adaptant à son goûteur. À la couleur désirée de sa préférence.
- Un reflet, celui de vos rêves ou espoirs pour ceux qui ne sont pas que dans l'utopie et qui penseraient que bouger son c#l c’est moins jouissif et imagineraient que le bulot est aussi beau que bon. Allez à vos squats !
- Un papier toilette, du huit épaisseurs de douceur, restant propre avant de faire son canyoning dans la tubulure à vortex.
Plus sérieusement... ce morceau est un cri, un appel. Pour moi l'expression lacrymal de mon amour inconsidéré à la musique.
Plus que le morceau de l'année, il est de l'essence d'un Easter de Marillion. La définition d'un art quand il est auditif. La LEODE de Claude, cet instrument unique apporte aussi sa pierre à l’édifice pour sublimer ce titre. Hâte de découvrir en Live !
Mers lacrymales.
L'enchaînement, non la symbiose, des mots et des notes, les choix de chaque élément sont la base et la construction de chaque pièce de ce Dieter Böhm.
Quand le morceau monte en puissance je reste dans l'émotion, absorbé, aspiré, par ces musiciens auteurs inspirés.
Quelle finesse dans l'entièreté, comme dans la plus infime parcelle.
Quand je perçois les sanglots, je me sens suffocant voire blême, à cet instant où sonne l'heure, alors je me souviens des jours anciens et je pleure." Blessent ou bercent ? Blesse mon cœur ! Non atteint mon cœur. MERCI !
Acte II, sur le pourtour d'une autre berge. (Désolé, ce n'est pas un gros mot j'ai dit 'berge' nom d'une pipe, en bois.)
Dieter Böhm.
S'il y a un mec qu'il faut jalouser c'est bien lui. Un album à son nom on pourrait s'en tamponner, mais de cet acabit je préfère bouder. Cet homme qui respire par et à travers la musique, au rythme d'une mélopée revisitée.
Baume.
Ce morceau est une pièce, construite comme un titre de musique classique. Sur lequel s'ente (se greffe pour ceux qui trouverait que mon premier synonyme pût) des envolés. Pour l'allégorie, imaginez-vous seul au milieu d'un champ fleuri avec des lignes horizons lointaines, le souffle que vous ressentez est une brise, elle se voit comme les fleurs, autour de vous des portées sur lesquels les notes glissent et se posent. La couleur et l'odeur de ce baume. La ligne de piano est magnifique.
Acte III, dirigé, mené par l'empreinte d'une lueur.
Un visage lunaire.
Un tempo en retenue, pour exprimer une lecture de musicalité.
Un solo qui vient déchirer et enlever ce côté 'retenu'. Voilà la lumière qui appelle le mélomane.
Un Visage Lunaire c’est aussi le rappel qu'il n'y a pas de grands groupes sans un excellent guitariste, sachant apporter la tonalité, la mélodie au moment propice avec des interventions apportant toujours un plus. Mais pour s’exprimer il faut savoir s’entourer.
Acte IV
L'Envol.
Un tempo enlevé, relevé. L’occasion pour moi de saluer la justesse de la rythmique, excellente batterie tout au fil de l’album.
Dans cette fable, c'est le point de fusion entre Dieter et le groupe.
L'homme Volant.
On exprime, les possibilités de voyages offertes à Dieter, son intégration au monde Lazuléen.
À ce stade, les seuls jaloux restant seront celles et ceux qui ne parviennent pas à ouvrir leur cœur à la musique.
Épilogue.
Dans les mains de Dieter.
La conception même de ce dernier titre à la même symbolique qu'un épilogue venant achever un roman.
On se retrouve dans les couleurs d'un Jules Verne. Cette fable est un voyage ?
où on ressort avec la volonté de retrouver et retourner très vite au prologue. Plus encore à la discographie complète de nos Gardois.
Lazuli est un fleuron de la musique hexagonal, ils ont leur propre identité dans un courant soft prog.
Au-delà de la découverte, c'est une rencontre, une entrée dans leur univers qui m'a déjà donné des dizaines et des dizaines d'heures d'écoutes, et en très peu de temps, si ce n’est déjà le cas, je pourrais changer d'unité et vous parler de mes centaines d'heures.
Pour terminer je vous laisse à cette conclusion :
Foncez, il y a du monde au balcon !
Oui, LAZULI - Le Fantastique Envol de Dieter Böhm Il y a du monde au balcon, voilà qui résume tout. Tout, tout partout.
Pourquoi ? Parce qu'après avoir traversé un millénaire, une connerie non plus exponentielle mais en réinvention permanente, nous le SACHONS, il y a aujourd'hui trois nouvelles périodes générées par la Covid.19. L'avant, le pendant et l'après.
Avant... Il y a du monde au balcon !
On le disait pour un appel mammaire développé qui appelait un regard ou plus si affinités.
Pendant... Il y a du monde au balcon !
Pour des gens qui non contents de sauver le monde par la procrastination du quotidien, récompensaient TRÈS généreusement en se décollant la crasse récalcitrante ongulaire ce que la douche d'il y a quelques jours n'avait pas retiré, à coups d'entrechocs et de secousses palmaires partagées, appelées : applaudissement de personnes éreintées, surtout par le surcroît de co##erie des #MôaJeNoeudRiskRiiiien.
Et enfin --> L'après... Il y a du monde au balcon !
Pour les Cholroquinistes (la récompense ultime), pour tous ceux qui auront réussi à répondre à : Quel était l'âge moyen d'un réchappé de 55 ans, ignorant comment on appelle les pyramides en Égypte ? Oui vous savez celles en forme de pyramide.
Et les conspirationnistes du "oui Jésus c'est un suicide à la Houdini" et je sais comment il s'est auto-cloué pour : (taper 1) inventer, (taper 2) amener, (taper 3)
breveter, un message de paix pour que vous foutiez sur la gueule pendant des millénaires. Pour qu'au final les ours constitués de chair et de sang, ouiiiiii comme la viande que certains ils font en saucisses, et comme nous à l'intérieur, ils meurent sur la glace fabriquée d'eau dans l'eau fabriquée de gouttelettes. Alors qu’eux les rhinocéros qui sont que de boues, même à l'intérieur, ils continuent de vivre dans la boue qu'on fabrique, c'est trop cruel !
Vous aurez toutes les réponses, y compris aux questions que vous ne vous posez pas dans et tout ça dans :
Le Fantastique Envol de Dieter Böhm.
Pour la posologie, je conseillerai trois prises par jour et AUCUNE par voie sombre et mal odorante.
Bisous chez vous.
C'était Maënora pour Rockmeeting.
Tracklist :
Sol ;
Les chansons sont des bouteilles à la mer ;
Mers lacrymales ;
Dieter Böhm ;
Baume ;
Un visage lunaire ;
L'Envol ;
L’homme volant ;
Dans les mains de Dieter.
Line Up :
Chant, Guitares 6 & 12 cordes : Dominique LEONETTI
Guitare : Gédéric BYAR
LEODE : Claude LEONETTI
Clavier & Cor : Romain THOREL
Batterie : Vincent BARNAVOL
Label : L’Abeille Rôde
Sortie : 2020
Production : LAZULI
Discographie :
- Le fantastique envol de Dieter Böhm (2020) - CD/Book & LP
- Saison 8 (2018) - CD
- Live 2016 Nos âmes saoules (2017) - DVD/Book
- Nos âmes saoules (2016) - CD
- Tant que l’herbe est grasse (2014) - CD
- Live @ l'Abeille rôde (2013) - DVD
- 4603 battements (2011) - CD
- Live at Paradiso (2009) - DVD
- Réponse incongrue à l’inéluctable (2009) - CD
- En avant doute (2006) - CD
- Amnésie (2003) - CD
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