Deuxième opus pour ce combo mixte, au style Groove Rock'n'Roll, né en 2013, et, originaire de Goteborg en Suède.
Composé de Jimi à la batterie, Cédric à la basse, d'Acid à la guitare, de Jenna, chant, et, guitare, le groupe sort, en 2014, un premier EP autoproduit, intitulé Fast Love. Un deuxième EP, baptisé Bellevue Groove, sortira en Juin 2015, et, leur permettra de signer avec le label Napalm Records, chez qui ils sortiront, en Novembre 2015, leur premier opus, intitulé The Transcendence. Après une tournée promotionnelle, le groupe décide, en 2016, de quitter Napalm Records, et, de signer avec le label The Sign Records, pour éditer leur deuxième opus. Donc, début 2017, premières séances d'enregistrement avec une escapade en Espagne, au Cuervo Recording Service de Madrid, puis, retour en Suède, au Studio Ganymeden de Linkoping, pour finaliser ce Part Human Mostly Beast, produit par Olaf Ersf Jord, et, qui sort en Octobre 2017.
Dès l'entame, sur le titre Doin' It Again, le ton est donné. La rythmique, pulsée par les deux garçons, Jimi et Cédric, est bien en place pour soutenir un riff de guitare enlevé, sur lequel la belle Jenna greffe sa voix chaude au timbre voilé, assénant un refrain très efficace, avant qu'Acid, sa consoeur, ne distille un bon chorus incisif et mélodique. Même approche sur Needle In Your Eye, avec son riff aérien, et, son refrain bien mélodique, ainsi que sur It's Allright, ou, encore, Only Thing Alive, deux titres possédant des ingrédients rappelant les grandes heures de Pat Bénatar. En plus rapide, on se régale, d'abord, sur Calling You, avec son chorus de guitare wah-wah, à la Uriah Heep, ensuite, sur Four Stroke Woman, à mi-chemin entre le "Suffragette City de Bowie, et, du Search'n'Destroy des Stooges, puis, enfin, sur Coal Burnin', assez proche du style AC/DC. En plus progressif, avec alternance de climats, on se régale, non seulement, sur Rymdvals, avec la voix bluesy de Jenna, et, le chorus d'Acid, à la Jimmy Page, mais, aussi, sur Night By Night, avec son refrain fédérateur, et sa guitare wah-wah. Enfin, en très rapide, on est, d'abord, happé par Tail Twister, avec son riff nasillard, son chant mélodique, et, son sax dynamique, ainsi que sur le très tonique Fly Bird, Fly High, avec sa couleur Rock'n'Roll à la Chuck Berry, ou, enfin, sur Electric Eel, avec sa voix Soul, son contre-chant harmonieux, et, son chorus chaud et incisif, façon Joe Bonamassa. Bref, vous l'aurez deviné, voilà un album aux compositions relativement groovy, au son vintage des 70's, assez bien équilibré, et, qui s'écoute plutôt agréablement. Nouveau coup gagnant, donc, pour les Honeymoon Disease qui confortent, ici, leur bonne réputation, déjà acquise en Suède, et, qui pourrait, bien, leur permettre d'afficher quelques ambitions plus Européennes au travers d'une future tournée promotionnelle.
Alors, si vous aimez les références citées ci-dessus, vous apprécierez, surement, "cette part humaine de la Bete", concrétisée par le savoir-faire mélodique des deux Belles, et, talentueuses: Acid et Jenna. Rafraichissant!
Dès l'entame, sur le titre Doin' It Again, le ton est donné. La rythmique, pulsée par les deux garçons, Jimi et Cédric, est bien en place pour soutenir un riff de guitare enlevé, sur lequel la belle Jenna greffe sa voix chaude au timbre voilé, assénant un refrain très efficace, avant qu'Acid, sa consoeur, ne distille un bon chorus incisif et mélodique. Même approche sur Needle In Your Eye, avec son riff aérien, et, son refrain bien mélodique, ainsi que sur It's Allright, ou, encore, Only Thing Alive, deux titres possédant des ingrédients rappelant les grandes heures de Pat Bénatar. En plus rapide, on se régale, d'abord, sur Calling You, avec son chorus de guitare wah-wah, à la Uriah Heep, ensuite, sur Four Stroke Woman, à mi-chemin entre le "Suffragette City de Bowie, et, du Search'n'Destroy des Stooges, puis, enfin, sur Coal Burnin', assez proche du style AC/DC. En plus progressif, avec alternance de climats, on se régale, non seulement, sur Rymdvals, avec la voix bluesy de Jenna, et, le chorus d'Acid, à la Jimmy Page, mais, aussi, sur Night By Night, avec son refrain fédérateur, et sa guitare wah-wah. Enfin, en très rapide, on est, d'abord, happé par Tail Twister, avec son riff nasillard, son chant mélodique, et, son sax dynamique, ainsi que sur le très tonique Fly Bird, Fly High, avec sa couleur Rock'n'Roll à la Chuck Berry, ou, enfin, sur Electric Eel, avec sa voix Soul, son contre-chant harmonieux, et, son chorus chaud et incisif, façon Joe Bonamassa. Bref, vous l'aurez deviné, voilà un album aux compositions relativement groovy, au son vintage des 70's, assez bien équilibré, et, qui s'écoute plutôt agréablement. Nouveau coup gagnant, donc, pour les Honeymoon Disease qui confortent, ici, leur bonne réputation, déjà acquise en Suède, et, qui pourrait, bien, leur permettre d'afficher quelques ambitions plus Européennes au travers d'une future tournée promotionnelle.
Alors, si vous aimez les références citées ci-dessus, vous apprécierez, surement, "cette part humaine de la Bete", concrétisée par le savoir-faire mélodique des deux Belles, et, talentueuses: Acid et Jenna. Rafraichissant!
Label : | The Sign Records |
Sortie : | Octobre 2017 |
Production : | Olaf Ersf Jord |
Discographie : |
The Transcendence (2015) |
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