On peut dire ce qu’on veut, The Darkness est pour moi un groupe à part.
Je sais bien que beaucoup les ont traités ou les traitent encore de guignols avec leur musique pompée de ci de là sur différents styles mais je n’en ai cure !! Moi j’aime The Darkness alors que pourtant parfois ca dépote grave au niveau grattes. Oui mais le groupe a toujours le cul entre deux chaises entre des bons gros riffs hard et des arrangements mélodiques proches de groupe comme Queen ou des combos comme Mott The Hoople ou Marc Bolan. Un mélange entre la pop, le glam, le hard, le rock. Et puis, quoi qu’on en dise aussi ils ont quand même un putain de vocaliste en la personne de Justin Hawkins qui pour certains est apparenté à la Castafiore et pour d’autres comme moi à un grand chanteur capable de moduler sa voix tranquilou mimilou !!!
Bref, moi je kiffe ce groupe qui a sorti un album excellent en 2012 avec Hot Cakes.
C’est donc avec joie que j’accueillis la nouvelle fournée des Anglais, Last Of Our Kind. Un changement de line up tout d’abord avec la présence d’une femme à la batterie en remplacement de Ed Graham, j’ai nommé Emily Dolan Davis qui a l’heure où j’écris ces lignes a déjà quitté le groupe depuis quelques mois et est remplacée par un dénommé Rufus Tiger ??? Tout le monde a suivi ??? Bon ok, alors maintenant l’album.
J’avoue qu’à la première écoute, j’ai été un peu décontenancé par rapport au précèdent que je trouvais plus pop. Celui-ci est nettement plus hard dans le sens ou les guitares sont archi présentes avec des riffs plombés comme il se doit par Dan Hawkins et puis les mélodies sont moins accessibles au premier abord. Les structures des titres sont complexes et on part parfois en free style total !!! L’album est scindé en deux faces qui sont un peu agencées de la même manière. D’un côté des titres à la Darkness comme Barbarians qui ouvre l’opus magistralement, des rocks bien rentre dedans comme Hammer And Tongs, des mids tempos plus FM comme Sarah o Sarah ou bien des balades comme Wheels Of The Machine. Tout n’est pas parfait et j’ai eu un peu de mal avec un morceau comme Mighty Wings qui est quand même assez hard, voir trop hard pour moi malgré un refrain plus mélodique.
J’ai préféré le précèdent mais ce Last Of Our Kind mérite quand même une attention particulière afin de saluer le particularisme de ce combo qui a une vraie identité.
Bref, moi je kiffe ce groupe qui a sorti un album excellent en 2012 avec Hot Cakes.
C’est donc avec joie que j’accueillis la nouvelle fournée des Anglais, Last Of Our Kind. Un changement de line up tout d’abord avec la présence d’une femme à la batterie en remplacement de Ed Graham, j’ai nommé Emily Dolan Davis qui a l’heure où j’écris ces lignes a déjà quitté le groupe depuis quelques mois et est remplacée par un dénommé Rufus Tiger ??? Tout le monde a suivi ??? Bon ok, alors maintenant l’album.
J’avoue qu’à la première écoute, j’ai été un peu décontenancé par rapport au précèdent que je trouvais plus pop. Celui-ci est nettement plus hard dans le sens ou les guitares sont archi présentes avec des riffs plombés comme il se doit par Dan Hawkins et puis les mélodies sont moins accessibles au premier abord. Les structures des titres sont complexes et on part parfois en free style total !!! L’album est scindé en deux faces qui sont un peu agencées de la même manière. D’un côté des titres à la Darkness comme Barbarians qui ouvre l’opus magistralement, des rocks bien rentre dedans comme Hammer And Tongs, des mids tempos plus FM comme Sarah o Sarah ou bien des balades comme Wheels Of The Machine. Tout n’est pas parfait et j’ai eu un peu de mal avec un morceau comme Mighty Wings qui est quand même assez hard, voir trop hard pour moi malgré un refrain plus mélodique.
J’ai préféré le précèdent mais ce Last Of Our Kind mérite quand même une attention particulière afin de saluer le particularisme de ce combo qui a une vraie identité.
Sortie : | 2015 |
Production : | Dan Hawkins |
Discographie : |
Permission to Land (2003) |
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