En 2011 sort What If le 7ème album de Mr Big qui pour le moins divisent les foules. D’un côté Andrew de Melodic Rock encense l’opus en lui donnant un 100. Il est suivi par John qui fait une chronique très positive et par Metalden qui le place dans son Top de l’année. Bien entendu, votre serviteur n’est pas du tout de cet avis et trouve que l’essai est bon à 50%, 6 titres sur 12. En effet, je trouve que ce What If sonne trop dur par rapport à ce que j’attends du groupe et que surtout ça manque de mélodie et qu’on est devant un déluge de parties techniques assez chiantes pour tout dire.
En cette année 2014 sort donc le 8ème opus du quartet The Stories We Could Tell toujours avec une pochette très réussie dans la lignée de What If qui proposait un cochon ailé là on a droit à un gros moustachu au yeux exorbités qui semblent sortir d’un vieux western. L’album sort avec une bien mauvaise nouvelle pour le groupe qui nous apprend que Pat Torpey le batteur est atteint de la maladie de Parkinson. Le premier qui me dit que pour un batteur c’est plutôt une bonne chose je le sors à coup de lattes !!!! Bref disais Pépin !!! Oublié What If, voici le grand retour du Big comme je l’aime. Un rock pas trop hard teinté de blues, très mélodique avec des musiciens inspirés et un Éric Martin au top ce qui n’était pas le cas sur le précèdent. Je pense que le passage de Sheehan dans The Winery Dogs a été très bénéfique car on retrouve ce même groove et ce même cote blues qu’il y avait sur des albums comme Get Over It et sur le projet avec Kotzen. On se régale aussi des balades et des mids tempos dans lesquels le groupe excelle. Au rayon des mids tempos à la Green Tinted Sixties Mind, les superbes Fragile et East West qui sont vraiment imparables. Sur le dernier morceau Martin retrouve sa voix d’antan avec ce grain si particulier. Que dire de Paul Gilbert qui pond des solos magiques. Les balades sont aussi de haute tenue comme toujours avec Just Let Your Heart Decide et The Man Who Has Everything. Quand le tempo doit s’accélérer la aussi le Big a du répondant comme sur Gotta Love The Ride ou bien Satisfied aux chœurs foisonnants. Je parlais de blues comme sonorité principale, la preuve avec le très bon What If We Were New que n’aurait pas renié un Aerosmith en grande forme. La fin du cd est moins enthousiasmante que le début mais cela reste quand même de qualité pour les amateurs du genre.
Une excellente sortie de chez Frontiers pour un combo mythique qui avait eu pour moi tendance à se perdre un peu. Ils reviennent aux fondamentaux et ça leur va comme un gant.
En cette année 2014 sort donc le 8ème opus du quartet The Stories We Could Tell toujours avec une pochette très réussie dans la lignée de What If qui proposait un cochon ailé là on a droit à un gros moustachu au yeux exorbités qui semblent sortir d’un vieux western. L’album sort avec une bien mauvaise nouvelle pour le groupe qui nous apprend que Pat Torpey le batteur est atteint de la maladie de Parkinson. Le premier qui me dit que pour un batteur c’est plutôt une bonne chose je le sors à coup de lattes !!!! Bref disais Pépin !!! Oublié What If, voici le grand retour du Big comme je l’aime. Un rock pas trop hard teinté de blues, très mélodique avec des musiciens inspirés et un Éric Martin au top ce qui n’était pas le cas sur le précèdent. Je pense que le passage de Sheehan dans The Winery Dogs a été très bénéfique car on retrouve ce même groove et ce même cote blues qu’il y avait sur des albums comme Get Over It et sur le projet avec Kotzen. On se régale aussi des balades et des mids tempos dans lesquels le groupe excelle. Au rayon des mids tempos à la Green Tinted Sixties Mind, les superbes Fragile et East West qui sont vraiment imparables. Sur le dernier morceau Martin retrouve sa voix d’antan avec ce grain si particulier. Que dire de Paul Gilbert qui pond des solos magiques. Les balades sont aussi de haute tenue comme toujours avec Just Let Your Heart Decide et The Man Who Has Everything. Quand le tempo doit s’accélérer la aussi le Big a du répondant comme sur Gotta Love The Ride ou bien Satisfied aux chœurs foisonnants. Je parlais de blues comme sonorité principale, la preuve avec le très bon What If We Were New que n’aurait pas renié un Aerosmith en grande forme. La fin du cd est moins enthousiasmante que le début mais cela reste quand même de qualité pour les amateurs du genre.
Une excellente sortie de chez Frontiers pour un combo mythique qui avait eu pour moi tendance à se perdre un peu. Ils reviennent aux fondamentaux et ça leur va comme un gant.
Label : | Frontiers Records |
Sortie : | 19/09/2014 |
Production : | Mr. Big |
Discographie : |
Mr. Big (1989)
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