Le metal se porte bien à Toulouse, mais l'actu live est quand même assez pauvre en matière de heavy metal traditionnel. Et comme je suis übertrue (ou pas) et que c'étaient deux bons groupes que je n'avais jamais vus, la perspective de voir Wizard et Lonewolf se partager une affiche à Colmar m'a incité à monter dans l'est lointain (bon je l'avoue, je n'y allais pas non plus que pour ça mais ça contribue quand même assez efficacement à faire passer un week-end top). N'empêche qu'il fait froid en Germanie française... euh en Alsace donc une fois arrivés, on ne s'attarde pas trop sur le parking, on entre direct dans la salle ! Et elle est très bien, cette salle 
Le Grillen est une petite salle d'une capacité d'environ 350 personnes, qui a été aménagée dans une ancienne usine. La déco est sympa, très metal, la scène assez haute avec une bonne visibilité, et le son est excellent. On s'y sent bien de suite, et quand en prime il y a pas mal de potes autour, c'est du pur bonheur. En plus, la bière y est plutôt bonne. Seule chose que je n'aime pas : il faut acheter des tickets pour les consos, et je ne suis pas trop fan du système... En tout cas, la salle est remplie aux trois quarts et est donc relativement bien garnie. ça fait toujours plaisir de voir 250 personnes pour ce style de musique : à Toulouse, ce genre d'affiche ne devrait pas attirer plus de 80 personnes !
Quand on entre dans la salle, c'est le groupe de première partie qui joue, les locaux d'ARMAGEDDON DEATHSQUAD. J'ai vu trois chansons, je n'ai pas grand chose à en dire en fait... C'est du death mâtiné de thrash, plutôt bien foutu mais pas d'une grande originalité a priori. Je n'ai pas accroché, mais je n'étais pas non plus dans l'esprit de voir un concert de ce style. Et puis ils ont vraiment les moyens d'un groupe qui fait l'ouverture et qui n'a que le droit de s'estimer heureux de jouer là, puisque le matos de Lonewolf ainsi que leur backdrop sont pré-installés et que les Alsaciens jouent avec la place et les moyens qu'ils ont. A revoir une autre fois, à l'occasion, sur une affiche où ils seraient à leur place...
Une grosse demi-heure s'ensuit et c'est donc au tour de LONEWOLF d'investir la scène. J'aime beaucoup les Grenoblois. Ils ne font absolument rien d'original, mais n'ont jamais non plus prétendu le faire. Ils aiment le heavy à l'allemande, et en premier lieu Running Wild, ils le clament haut et fort, avec passion et sincérité. Sans les écouter tous les jours en boucle, j'achète régulièrement leurs albums, à chaque sortie, et j'écoute ça avec un grand plaisir. C'est du bon heavy teuton, joué par des Français (dont deux membres sont certes d'origine allemande) qui le font mieux que beaucoup de groupes allemands. Ils sont par exemple largement meilleurs que le Running Wild des quinze dernières années, car eux ont toujours gardé la foi metallique ! J'ai toujours eu envie de les voir. Le fait qu'il soient français n'a pas une grande importance pour moi vu que je ne regarde pas la nationalité des groupes que j'écoute, mais je suis quand même bien content qu'un groupe de ce style existe aussi de ce côté du Rhin et soit vraiment bon. Ils ont une bonne activité live, mais limitée à la partie est de la France et à l'Allemagne. Je ne serais pas du tout opposé à l'idée qu'ils jouent plus au sud et plus à l'ouest en tout cas ! En live, ce groupe est d'une efficacité redoutable. Je n'en attendais pas moins, du reste: leurs chansons sont pour la plupart de véritables hymnes, avec des refrains à chanter tous en choeur le poing tendu même quand on ne connait pas les paroles à la base, et des riffs imparables. Pour moi, ça été du headbanging en pilote automatique quasiment du début à la fin et du cassage de cordes vocales. Des morceaux comme "Lonewolf" (parfait en ouverture, avec un refrain qui est à l'image de la philosophie du groupe), "Made in Hell" ou "Viktoria", ou les extraits du petit dernier "Cult of steel" tels que "Werewolf rebellion" sont absolument imparables. Et puis les mecs du groupe sont au taquet ! Leur musique est certes très basique, mais parfaitement exécutée et avec conviction. Lonewolf est une belle machine de guerre, parfaitement huilée, où rien ne dépasse. Il n'a pas dû y avoir un seul pain ou fausse note pendant leur concert. Jens n'en fait pas des tonnes comme frontman, il ne court pas partout, mais il en impose, en particulier par son gabarit impressionnant. Et vocalement, il chante avec une justesse remarquable. On sent en fait un feeling et une cohésion dans le groupe, et une force de conviction dans leur musique qui font plaisir. Ca s'en ressent sur l'ambiance qui est excellente, avec un public largement acquis à la cause des loups solitaires. Ceux-ci ont donc enchaîné les tubes pendant une bonne heure et quart, quasiment sans temps mort, sauf pendant un putain de solo de batterie inutile (pléonasme) qui a fait retomber l'adrénaline alors que le groupe aurait pu jouer un titre de plus à la place. Je HAIS les solos de batterie et je milite contre ! Sans cet interlude pénible, le concert était parfait ! Le groupe aurait dû jouer en tête d'affiche, en tout cas. Ca faisait quelques mois que je ne m'étais pas pris une bonne claque en live comme ça, et ça fait du bien par où ça passe.
Playlist de LONEWOLF :
Intro
Lonewolf
Cult Of Steel
Dragon Riders
Werewolf Rebellion
Hordes Of The Night
Army Of The Damned
The Grey Wolves
Solo batterie
SPQR
Hellenic Warriors
Warrior Priest
Made In Hell
Viktoria
La suite va en tout cas s'avérer tout aussi excellente avec WIZARD. Eux sont allemands et jouent du true metal bien allemand ! C'est bon, c'est pas fin et ça se mange sans fin. Cela fait vingt-cinq ans qu'ils existent et c'est sûrement l'un des groupes les plus sous-estimés du style. Ils n'ont jamais connu la renommée et ne la connaîtront sûrement jamais, mais ils continuent à tracer leur route contre vents et marées. Ils partagent avec Lonewolf la même passion pour le metal traditionnel avec la même conviction et la même sincérité, et la même capacité à composer des morceaux efficaces et immédiats parfaitement taillés pour le live. Je les suis assez régulièrement depuis qu'une amie me les a faits découvrir pendant l'after du dernier soir du Wacken 2004, où elle m'a tanné pour que j'écoute ça. Elle a passé "Bond by metal" à fond dans l'autoradio et j'ai adoré. Depuis, j'ai écouté un peu tous leurs albums sauf "Goochan" (qui n'est parait-il pas terrible). A part leurs deux premiers auxquels je n'accroche pas (trop mal joués, trop mal produits et pas franchement aboutis niveau compos, au point que le groupe ne tienne pas à les rééditer même s'il les met à disposition des fans en téléchargement gratuit sur le site officiel), ils ont vraiment fait de très bons morceaux et ils ont leur propre patte dans un style pourtant très basique et donc bien balisé. A mi-chemin entre Grave Digger et Manowar mais sans jamais sonner comme un clone, avec un chanteur qui a une voix assez personnelle, Wizard a le sens des hymnes et une vraie identité. Cette date à Colmar est seulement leur deuxième en France, et on ne peut pas dire que ce soit trop éloigné de l'Allemagne (par contre, curieusement, je n'ai pas croisé beaucoup d'Allemands dans la salle ce soir-là). La seule autre fois, c'était en 2013 à Dijon pour le Rising Fest (leur fan ultime française numéro 1 avait réussi à les faire venir). On peut donc légitimement savourer l'événement. Ce n'est par contre pas le cas de tout le monde. La majorité des gens présents ce soir étaient venus pour Lonewolf et une partie du public a déserté la salle après la prestation des Grenoblois. Je n'ai jamais aimé cette tendance, quand on vient pour la première partie, qui consiste à partir ou du moins à bien reculer après la prestation du groupe qu'on voulait voir. Par respect, je considère qu'il faut rester dans la salle pour tous les groupes, quitte à partir s'ils sont vraiment mauvais, mais au moins y assister un minimum. Et là, je ne le comprends pas vraiment car les deux groupes s'adressent exactement au même public. Leurs styles sont proches, leur attitude scénique est la même, et leur passion pour le true metal aussi. Tant pis pour ceux qui ont déserté, ils ont loupé une belle prestation et l'occasion de découvrir un groupe dont ils pourraient devenir fans... Personnellement, j'ai adoré: comme pour Lonewolf, j'ai chanté et headbangué d'un bout à l'autre du concert. Comme pour Lonewolf, le groupe se fait plaisir sur scène et joue parfaitement et sans fausse note. Je les trouve d'ailleurs plus communicatifs que leurs co-headliners français. Sven d'Anna fait même très fort en terme de communication dans la mesure où il fait partager son whisky aux fans. Il a une bouteille de Jack Daniel's sur la scène, dont il se sert régulièrement des verres (sans que sa voix en soit altérée), et parfois il fait circuler les verres dans le public. Pour ce qui est des morceaux, ils prennent vraiment toute leur dimension en live. Des hymnes au titre éloquent comme “Midgard’s Guardian”, “Betrayer”, “Defenders of Metal” ou “Hammer, Bow, Axe and Sword”, ou encore l'excellent "We won't die for metal", sont absolument imparables. Même quand on ne connait pas bien les paroles, les refrains sont savamment composés pour qu'on puisse les chanter en choeur instantanément. Ca n'est pas très recherché, mais l'effet est immédiat !
Malgré la désaffection d'une partie de la salle, Wizard a donc parfaitement tenu son rang de tête d'affiche. Ils se sont en tout cas donnés à fond pour tous ceux qui étaient restés. Et quand un groupe donne tout, il a des retours du public à la hauteur, donc une superbe ambiance true et festive !
Playlist de WIZARD :
Midgards guardian
Betrayer
Bluotwarves
Return of the thunderwarriors
Hall of Odin
In the sign of the wizard
On dark wings
Circle of steel
We won't die for metal
Hammer, bow, axe and sword
Defenders of metal
C'était donc une superbe soirée, qui s'est prolongée bien au delà du concert avec une after bien arrosée sur le parking (malgré une température glaciale) en compagnie des membres des deux groupes, qui sont tous très sympas et accessibles. Que ce soit pour le concert en lui-même, la salle, les groupes, les potes ou l'after, je ne regrette vraiment pas d'être venu d'aussi loin. Des soirées comme ça, j'en redemande !
Pierre
Le Grillen est une petite salle d'une capacité d'environ 350 personnes, qui a été aménagée dans une ancienne usine. La déco est sympa, très metal, la scène assez haute avec une bonne visibilité, et le son est excellent. On s'y sent bien de suite, et quand en prime il y a pas mal de potes autour, c'est du pur bonheur. En plus, la bière y est plutôt bonne. Seule chose que je n'aime pas : il faut acheter des tickets pour les consos, et je ne suis pas trop fan du système... En tout cas, la salle est remplie aux trois quarts et est donc relativement bien garnie. ça fait toujours plaisir de voir 250 personnes pour ce style de musique : à Toulouse, ce genre d'affiche ne devrait pas attirer plus de 80 personnes !Quand on entre dans la salle, c'est le groupe de première partie qui joue, les locaux d'ARMAGEDDON DEATHSQUAD. J'ai vu trois chansons, je n'ai pas grand chose à en dire en fait... C'est du death mâtiné de thrash, plutôt bien foutu mais pas d'une grande originalité a priori. Je n'ai pas accroché, mais je n'étais pas non plus dans l'esprit de voir un concert de ce style. Et puis ils ont vraiment les moyens d'un groupe qui fait l'ouverture et qui n'a que le droit de s'estimer heureux de jouer là, puisque le matos de Lonewolf ainsi que leur backdrop sont pré-installés et que les Alsaciens jouent avec la place et les moyens qu'ils ont. A revoir une autre fois, à l'occasion, sur une affiche où ils seraient à leur place...
Une grosse demi-heure s'ensuit et c'est donc au tour de LONEWOLF d'investir la scène. J'aime beaucoup les Grenoblois. Ils ne font absolument rien d'original, mais n'ont jamais non plus prétendu le faire. Ils aiment le heavy à l'allemande, et en premier lieu Running Wild, ils le clament haut et fort, avec passion et sincérité. Sans les écouter tous les jours en boucle, j'achète régulièrement leurs albums, à chaque sortie, et j'écoute ça avec un grand plaisir. C'est du bon heavy teuton, joué par des Français (dont deux membres sont certes d'origine allemande) qui le font mieux que beaucoup de groupes allemands. Ils sont par exemple largement meilleurs que le Running Wild des quinze dernières années, car eux ont toujours gardé la foi metallique ! J'ai toujours eu envie de les voir. Le fait qu'il soient français n'a pas une grande importance pour moi vu que je ne regarde pas la nationalité des groupes que j'écoute, mais je suis quand même bien content qu'un groupe de ce style existe aussi de ce côté du Rhin et soit vraiment bon. Ils ont une bonne activité live, mais limitée à la partie est de la France et à l'Allemagne. Je ne serais pas du tout opposé à l'idée qu'ils jouent plus au sud et plus à l'ouest en tout cas ! En live, ce groupe est d'une efficacité redoutable. Je n'en attendais pas moins, du reste: leurs chansons sont pour la plupart de véritables hymnes, avec des refrains à chanter tous en choeur le poing tendu même quand on ne connait pas les paroles à la base, et des riffs imparables. Pour moi, ça été du headbanging en pilote automatique quasiment du début à la fin et du cassage de cordes vocales. Des morceaux comme "Lonewolf" (parfait en ouverture, avec un refrain qui est à l'image de la philosophie du groupe), "Made in Hell" ou "Viktoria", ou les extraits du petit dernier "Cult of steel" tels que "Werewolf rebellion" sont absolument imparables. Et puis les mecs du groupe sont au taquet ! Leur musique est certes très basique, mais parfaitement exécutée et avec conviction. Lonewolf est une belle machine de guerre, parfaitement huilée, où rien ne dépasse. Il n'a pas dû y avoir un seul pain ou fausse note pendant leur concert. Jens n'en fait pas des tonnes comme frontman, il ne court pas partout, mais il en impose, en particulier par son gabarit impressionnant. Et vocalement, il chante avec une justesse remarquable. On sent en fait un feeling et une cohésion dans le groupe, et une force de conviction dans leur musique qui font plaisir. Ca s'en ressent sur l'ambiance qui est excellente, avec un public largement acquis à la cause des loups solitaires. Ceux-ci ont donc enchaîné les tubes pendant une bonne heure et quart, quasiment sans temps mort, sauf pendant un putain de solo de batterie inutile (pléonasme) qui a fait retomber l'adrénaline alors que le groupe aurait pu jouer un titre de plus à la place. Je HAIS les solos de batterie et je milite contre ! Sans cet interlude pénible, le concert était parfait ! Le groupe aurait dû jouer en tête d'affiche, en tout cas. Ca faisait quelques mois que je ne m'étais pas pris une bonne claque en live comme ça, et ça fait du bien par où ça passe.
Playlist de LONEWOLF :
Intro
Lonewolf
Cult Of Steel
Dragon Riders
Werewolf Rebellion
Hordes Of The Night
Army Of The Damned
The Grey Wolves
Solo batterie
SPQR
Hellenic Warriors
Warrior Priest
Made In Hell
Viktoria
La suite va en tout cas s'avérer tout aussi excellente avec WIZARD. Eux sont allemands et jouent du true metal bien allemand ! C'est bon, c'est pas fin et ça se mange sans fin. Cela fait vingt-cinq ans qu'ils existent et c'est sûrement l'un des groupes les plus sous-estimés du style. Ils n'ont jamais connu la renommée et ne la connaîtront sûrement jamais, mais ils continuent à tracer leur route contre vents et marées. Ils partagent avec Lonewolf la même passion pour le metal traditionnel avec la même conviction et la même sincérité, et la même capacité à composer des morceaux efficaces et immédiats parfaitement taillés pour le live. Je les suis assez régulièrement depuis qu'une amie me les a faits découvrir pendant l'after du dernier soir du Wacken 2004, où elle m'a tanné pour que j'écoute ça. Elle a passé "Bond by metal" à fond dans l'autoradio et j'ai adoré. Depuis, j'ai écouté un peu tous leurs albums sauf "Goochan" (qui n'est parait-il pas terrible). A part leurs deux premiers auxquels je n'accroche pas (trop mal joués, trop mal produits et pas franchement aboutis niveau compos, au point que le groupe ne tienne pas à les rééditer même s'il les met à disposition des fans en téléchargement gratuit sur le site officiel), ils ont vraiment fait de très bons morceaux et ils ont leur propre patte dans un style pourtant très basique et donc bien balisé. A mi-chemin entre Grave Digger et Manowar mais sans jamais sonner comme un clone, avec un chanteur qui a une voix assez personnelle, Wizard a le sens des hymnes et une vraie identité. Cette date à Colmar est seulement leur deuxième en France, et on ne peut pas dire que ce soit trop éloigné de l'Allemagne (par contre, curieusement, je n'ai pas croisé beaucoup d'Allemands dans la salle ce soir-là). La seule autre fois, c'était en 2013 à Dijon pour le Rising Fest (leur fan ultime française numéro 1 avait réussi à les faire venir). On peut donc légitimement savourer l'événement. Ce n'est par contre pas le cas de tout le monde. La majorité des gens présents ce soir étaient venus pour Lonewolf et une partie du public a déserté la salle après la prestation des Grenoblois. Je n'ai jamais aimé cette tendance, quand on vient pour la première partie, qui consiste à partir ou du moins à bien reculer après la prestation du groupe qu'on voulait voir. Par respect, je considère qu'il faut rester dans la salle pour tous les groupes, quitte à partir s'ils sont vraiment mauvais, mais au moins y assister un minimum. Et là, je ne le comprends pas vraiment car les deux groupes s'adressent exactement au même public. Leurs styles sont proches, leur attitude scénique est la même, et leur passion pour le true metal aussi. Tant pis pour ceux qui ont déserté, ils ont loupé une belle prestation et l'occasion de découvrir un groupe dont ils pourraient devenir fans... Personnellement, j'ai adoré: comme pour Lonewolf, j'ai chanté et headbangué d'un bout à l'autre du concert. Comme pour Lonewolf, le groupe se fait plaisir sur scène et joue parfaitement et sans fausse note. Je les trouve d'ailleurs plus communicatifs que leurs co-headliners français. Sven d'Anna fait même très fort en terme de communication dans la mesure où il fait partager son whisky aux fans. Il a une bouteille de Jack Daniel's sur la scène, dont il se sert régulièrement des verres (sans que sa voix en soit altérée), et parfois il fait circuler les verres dans le public. Pour ce qui est des morceaux, ils prennent vraiment toute leur dimension en live. Des hymnes au titre éloquent comme “Midgard’s Guardian”, “Betrayer”, “Defenders of Metal” ou “Hammer, Bow, Axe and Sword”, ou encore l'excellent "We won't die for metal", sont absolument imparables. Même quand on ne connait pas bien les paroles, les refrains sont savamment composés pour qu'on puisse les chanter en choeur instantanément. Ca n'est pas très recherché, mais l'effet est immédiat !
Malgré la désaffection d'une partie de la salle, Wizard a donc parfaitement tenu son rang de tête d'affiche. Ils se sont en tout cas donnés à fond pour tous ceux qui étaient restés. Et quand un groupe donne tout, il a des retours du public à la hauteur, donc une superbe ambiance true et festive !
Playlist de WIZARD :
Midgards guardian
Betrayer
Bluotwarves
Return of the thunderwarriors
Hall of Odin
In the sign of the wizard
On dark wings
Circle of steel
We won't die for metal
Hammer, bow, axe and sword
Defenders of metal
C'était donc une superbe soirée, qui s'est prolongée bien au delà du concert avec une after bien arrosée sur le parking (malgré une température glaciale) en compagnie des membres des deux groupes, qui sont tous très sympas et accessibles. Que ce soit pour le concert en lui-même, la salle, les groupes, les potes ou l'after, je ne regrette vraiment pas d'être venu d'aussi loin. Des soirées comme ça, j'en redemande !
Pierre
Comments:
Facebook
Lire la suite...