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Pour ce dernier jour, on arrive à se réveiller relativement tôt.

Suffisamment pour aller à la piscine municipale essayer les douches chaudes ! De toute façon, vu la météo et sachant qu'il y a eu des averses pendant la nuit, il n'était pas question d'aller à la douche glacée du camping. Le bus nous dépose donc devant cette fameuse piscine de Balingen dont j'ai tant entendu parler et pour laquelle je m'étais toujours levé trop tard pour y aller. Pour moins de 2€, on a donc accès aux douches et à la piscine. Malheureusement, je croyais que c'était des cabines individuelles et en fait non : c'est une douche collective, en mode tous à poil à la teutonne ! Au moins l'eau est chaude... Sinon la piscine en elle-même est grande, il y a aussi des tobogans, et ça peut être sympa d'y faire une ou deux longueurs pour bien commencer une journée de festival et éliminer les toxines. La prochaine fois, il faudra que je pense à ramener un maillot de bain !  Par contre après 10h les bus ne font plus le parcours piscine / camping d'en haut donc il nous faut aller vers le site du festival et reprendre un bus qui nous ramène dans les hauteurs. On avait de toute façon fait une croix sur les premiers groupes...

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, vieux groupe anglais du début des années 80 avec Chris Tsangarides dans ses rangs, ouvrait les débats. Ca avait été le premier groupe annoncé pour cette édition 2014. N'en connaissant qu'une chanson, ça ne me traumatise pas de les avoir loupés. Même chose pour les thrasheurs californiens de HIRAX. Il paraît que c'est un super groupe de scène (ce qui m'a été confirmé par tous ceux qui les ont vus au festival) mais sur album, je trouve ça largement surestimé. Donc je ne me suis pas pressé pour eux...

Par contre j'aurais bien aimé voir MAD MAX, même sans Mel Gibson :D J'aime beaucoup ce groupe de hard rock mélodique allemand, au style assez proche de celui de Bonfire. On aurait pu les voir si on était repartis directement après avoir déposé les affaires. En revenant, on croise Oso, Gaël et Christelle qui y vont direct. Nous par contre, on prend le petit déjeuner (indispensable en festival) avec le Fab, le Gasp et P'tit Nico donc tant pis pour le groupe. Du reste, on a essuyé une petite averse (on était cependant protégés sous une tonnelle) mais en bas, c'était une demi-heure de forte pluie qui a gâché le concert. Donc au final, on était mieux là où on était ! J'espère que j'aurai d'autres occasions de voir Mad Max dans pas trop longtemps...

Et comme ce sont les horribles EKTOMORF, sombre ersatz hongrois de Soulfly, qui enchaînent, on ne se presse pas non plus ! J'ai déjà subi deux fois ce groupe en live, pas la peine d'en rajouter une couche. Du reste, je ne vois pas vraiment ce qu'ils font à l'affiche de ce festival, et encore moins sur la Main Stage. Nous arrivons sur le site à la fin de leur prestation.


Bref, vous l'aurez compris, ce début de journée est dans la continuité de la veille : bien tranquille ! On est loin ici du rythme effréné du Hellfest où c'est la course en permanence pour voir les groupes. Là au moins, on a plein d'amis et on peut bien en profiter. Mais la suite va être top, musicalement parlant !

 

 

 

On commence en douceur sous le signe de la croix avec ROB ROCK. Lui je l'avais vu à Paris, au Trabendo, en 2005. J'avais surtout remarqué sa superbe coiffure en mode caniche. Sinon c'est aussi un grand chanteur, dont j'adore la voix. Ses albums solos que je connais sont pas mal mais pour moi, c'est surtout LE chanteur d'Impelliterri (au même titre que Graham Bonnet, mais Rob Rock me semble plus correspondre au style et surtout à la philosophie chrétienne de cet excellent et pourtant très sous-estimé guitariste). Par rapport à la dernière fois (ce qui remonte quand même à neuf ans), il a une coiffure moins improbable et il semble avoir perdu du bide. Et il a toujours sa superbe voix. Mais il manque quand même un peu de charisme. Comme quoi un excellent chanteur ne fait pas forcément un super frontman. Ses musiciens sont excellents, mais ne sont pas non plus particulièrement entraînants... Et les compos sont finalement assez bateau : du heavy classique avec des textes cathos, bien chanté, bien joué, mais rien d'extraordinaire. Par contre, on a droit à deux reprises d'Impelliterri et ça, c'est cool ! Au final, c'est un bon amuse-gueule... 


On reste sous la protection de Dieu avec un autre groupe chrétien, LE groupe de white metal par excellence: STRYPER ! D'ailleurs Dieu est clément avec ses meilleurs apôtres, car le ciel se dégage dès que les Américains investissent la scène. Ceux-ci sont également touchés par la grâce divine en ce milieu d'après-midi, car ils vont faire une énorme prestation dans une superbe ambiance. Le groupe a vingt-cinq ans de carrière à son actif, une belle expérience scénique, mais paradoxalement leur discographie est assez peu fournie. Du coup, je connaissais presque toutes les chansons... Et celles que je ne connaissais pas ont de toute façon des refrains suffisamment accrocheurs pour que ça rentre bien en tête, surtout quand on est dans l'ambiance avec tout le monde qui chante autour. A signaler aussi une très bonne reprise de "Shout it out loud" de Kiss.
Le groupe fait relativement sobre, ils ne balancent pas de Bibles dans le public (trop vieux pour ces conneries ?) et ils ont juste leurs instruments et leurs spandex en mode abeilles. Par contre, sans en faire des tonnes, ils envoient ! C 'est un groupe soudé, carré et charismatique qui vient réciter la grande messe de ce samedi après-midi. Michael Sweet a une excellente voix, qui n'a pas bougé avec le temps. Et surtout, c'est une magnifique ambiance dans le public, où le message de paix et d'amour universel se répand efficacement. Il y a des groupes qui auront beau tout essayer pour faire bouger les gens sans jamais parvenir à rien, d'autres comme Stryper, avec une musique simple, des paroles quand même bien nian-nian (désolé pour les chrétiens pratiquants qui me liraient) et un jeu de scène sans artifice, arrivent à soulever un enthousiasme général. Le talent et la classe, tout simplement !

Playlist de STRYPER :

Sing-Along Song
Loud 'N' Clear
Reach Out
Calling on You
Free
Shout It Out Loud
Marching Into Battle
All for One
Soldiers Under Command
To Hell With the Devil


Après l'illumination divine, c'est au tour du death old school d'OBITUARY, pour l'un des seuls concerts de metal extrême sur la Main Stage. Je n'y assisterai pas, et ce pour deux raisons : je ne suis pas trop fan d'Obituary à la base, d'une part, et d'autre part il se met à pleuvoir comme vache qui pisse ! Dieu a fait preuve de bonté pour ses disciples, mais une fois qu'ils partent, le mauvais temps revient. Donc direction la salle pour se poser tranquillement à l'abri ! 


La pluie se calme, comme par hasard dès que le show d'Obituary se termine ! On va donc assister à un groupe à voir au moins pour voir des zicos mythiques ensemble sur scène. La présence de ce groupe a d'ailleurs bien pesé dans ma décision de revenir à Balingen cette année. Ce groupe, c'est UNISONIC. Parce que pour un vieux fan de Helloween comme moi, voir Kai Hansen et Michael Kiske ensemble, ça représente vraiment quelque chose. Et aussi le fait de ne pas subir tout un concert d'Avantasia pour voir Kiske sur scène, ça fait un bien fou (je précise que je n'aime pas du tout Avantasia, le super groupe le plus surfait du monde selon moi) ! Après ça, les compos de Unisonic en elles-mêmes... Du premier album, je n'avais vraiment retenu que "Unisonic" (la chanson, donc, pas le groupe !). Par contre j'aime beaucoup l'EP "For the kingdom", sorti il y a un mois en attendant le deuxième album dans le courant de l'été. C'est avec "Unisoniiiiiiiic" que le groupe introduit son show. Même s'il a maintenant 46 ans et plus un poil sur le crâne, voir Michael Kiske sur scène (en veste en cuir moulante bordeaux ! ) a toujours un côté irréel. Il a beau être resté en retrait de la scène pendant plus de quinze ans, il sait toujours tenir une scène et est très à l'aise. Et surtout, vocalement, il demeure parfait. Sa voix n'a absolument pas bougé. Kai Hansen faisait également le show de son côté, comme à son habitude. Lui, de toute façon, il a toujours pris son pied en live de manière manifeste. Après, le reste du groupe, ce sont juste des mercenaires. Et pour la musique de Unisonic, même si c'est sympa, ça n'en demeure pas moins convenu au possible. Kai Hansen et Michael Kiske refont un projet ensemble, avec les compos dans le style pour faire plaisir aux fans, tout ça fait toujours très télécommandé. Et Kiske parle un peu trop systématiquement de la sortie imminente du nouvel album à chacune de ses interventions pour que ça ne paraisse pas intéressé... Mais c'est toujours plaisant à écouter, le tout agrémenté de deux chansons de Helloween (la fabuleuse "March of time" et la quasi-obligatoire mais beaucoup trop entendue "I want out"). Sans que ce soit le concert de l'année, je suis tout à fait satisfait de la prestation de Unisonic, tout en étant bien conscient du côté convenu et commercial de ce projet...

Playlist de UNISONIC :

Unisonic
Never Too Late
For the Kingdom
Star Rider
My Sanctuary
King for a Day
Exceptional
March of Time
We Rise
I Want Out


Les choses vont maintenant monter en puissance avec ANTHRAX. Par rapport à la dernière fois où je les avais vus, au Sonisphere Barcelone en 2013, c'est à peu près la même setlist, et aussi la même patate. Charlie Benante revient après plusieurs semaines d'absence pour cause de blessure (il avait été remplacé à la batterie par John Dette, qui a tendance à devenir le batteur intérimaire officiel de tous les gros groupes de thrash américains). La plupart des chansons sont donc extraites de "Among the living" (dont j'avais cru que le groupe jouerait l'intégralité... en fait ça ne s'est fait que pour le Sonisphere anglais le week-end précédent, les organisateurs ayant versé un cachet en conséquence) et du dernier et excellent "Worship the music", plus les reprises indispensables de "Got the time" de Joe Jackson et de "Antisocial" de vous savez qui. Que dire de plus ? Une playlist efficace, un groupe chaud patate (Scott Ian un peu retrait pour une fois, mais c'était compensé par un Joey Belladonna au top), un public qui suit bien (même si peu de pogos et pas de circle pit)... Anthrax en live, c'est du plaisir en barre ! 

Playlist d'ANTHRAX :

Among the Living
Caught in a Mosh
Got the Time
Indians
Hymn 1
In the End
Madhouse
Fight 'Em 'Til You Can't
I Am the Law
Antisocial


Et on continue avec les top groupes avec l'arrivée du la Main Stage de EUROPE. Les organisateurs ont eu la mauvaise idée de faire jouer en même temps dans la salle un excellent groupe que je voulais vraiment voir, ATLANTEAN KODEX. Certes, leur doom épique n'a pas grand chose à voir avec le hard rock mélodique de Europe, mais c'est quand même pas très cool de les faire jouer pendant une tête d'affiche. En plus c'est un groupe allemand, les organisateurs qui soutiennent habituellement bien leur scène locale auraient pu faire un petit effort. J'aurais bien aimé les voir, mais Europe reste Europe !
Le concert des Suédois au Hellfest de l'année dernière avait été sympa sans être extraordinaire, en milieu d'après-midi sous un soleil de plomb et avec un temps de jeu à la Hellfest, c'est à dire trop court. Joey Tempest nous avait gratifié de sourires ultra bright mettant bien en valeur son dentifrice, mais le groupe n'y était pas complètement. Et quand on voit le DVD du concert anniversaire qu'ils avaient fait au Sweden Rock deux semaines avant, il y a de quoi être frustré. Alors la perspective de revoir Europe au Bang Your Head en tête d'affiche, c'était l'un des éléments qui m'ont décidé à revenir ! La setlist est grosso modo la même que sur le reste de la tournée, avec "Wasted time" de "Wings of tomorrow" en bonus. En fait un mini-best of où chaque album de Europe est représenté sauf le premier album éponyme, "Start from the dark" et "Secret society". Ce qui est du reste bien dommage, j'adore les albums récents du groupe... et aussi les vieux ! En fait j'aime toute leur carrière, tout simplement. Mais ils ne jouent qu'une heure et demie et pas les presque trois heures du Sweden Rock 2013. Et finalement, même s'il y a peu de surprises, la playlist me plait bien. En tant que fan, je pourrais faire la liste de toutes les chansons que j'aurais aimé entendre, mais ça ferait une deuxième setlist voire une troisième !
Ce qui change beaucoup par rapport au Hellfest de l'année dernière, ce sont d'une part les conditions (le groupe est co-headliner de la journée avec Twisted Sister) et surtout l'envie. On les sent tous concernés et heureux d'être là, et pas seulement Joakim Larsson aka Joey Tempest qui fait le show tout seul. En tout cas, son dentifrice est toujours aussi efficace, et son pied de micro tout blanc avec lequel il va beaucoup jouer est merveilleusement assorti à ses dents. Le concert se conclut comme toujours dans la liesse générale sur l'intemporel et intergalactique "The final countdown", le tube qui leur a assuré la gloire et un train de vie confortable jusqu'à la fin de leurs jours. Ce morceau est un peu obligatoire pour eux, mais ça fait toujours son petit effet. Au final, les Suédois délivrent une très bonne prestation, conforme à leur statut de tête d'affiche.

Playlist de EUROPE :

Riches to Rags
Firebox
Superstitious
Scream of Anger
No Stone Unturned
Wasted Time
Girl From Lebanon
Sign of the Times
Demon Head
Love Is Not the Enemy
Let the Good Times Rock
The Beast
Rock the Night

Last Look at Eden
The Final Countdown


Et on enchaîne sur le deuxième tête d'affiche, en fait le véritable headliner du festival. TWISTED SISTER est traditionnellement LE groupe du Bang Your Head. C'est ici que les Américains ont fait leur concert de reformation en 2003, Dee Snider y avait aussi joué des concerts d'anthologie en solo au début des années 2000 qui sont restés dans les mémoires des grands anciens. Et même à la Ballroom, quand "We're not gonna take it" passe, ça a un effet particulier. Bref, Twisted Sister en tête d'affiche ici a quelque chose de presque normal. Et je tenais à les voir, après leur prestation au Hellfest 2013 très bonne mais sur laquelle j'étais tombé presque par hasard vu le manque de communication des organisateurs sur leur intervertion avec Whitesnake dans le running order, et dont je n'avais donc pu profiter qu'en partie.
"It's a long way to the top (if you wanna rock'n'roll)" d'AC/DC résonne et Dee Snider et ses camarades de jeu viennent investir la Main Stage pour une petite heure et demie de bon gros hard rock qui fait taper du pied. Si Joey Tempest avait un pied de micro tout blanc juste avant, le frontman de Twisted en a un tout rose fluo tout aussi flashy, avec lequel il jouera de la même manière :tata: Il y a un petit côté déjà vu chez Twisted Sister. La manière d'enchaîner sans temps mort, les blagues de Dee Snider et ses speeches démago, toujours savamment placés. C'est la quatrième fois que je les vois, et donc l'effet de surprise s'estompe. D'ailleurs Alex les avait vus une semaine plus tôt à Barcelone, au Rockfest BCN, et avait confirmé que c'étaient exactement les mêmes gimmicks et les mêmes enchaînements, avec juste un set plus long ici. Mais ça fonctionne toujours. Il y a une ambiance de folie, un public qui reprend tous les hits à l'unisson (mention spéciale pour "We're not gonna take it" et la ballade "The price"), un groupe toujours au top. A l'approche de la soixantaine, Dee Snider reste bien le meilleur frontman du monde (par contre le reste du groupe n'est pas spécialement charismatique). Même s'il y a un côté un peu convenu dans cette prestation, Twisted Sister est quand même une machine à tubes impressionnante, au sens de l'efficacité assez exceptionnel.

Playlist de TWISTED SISTER :

Stay Hungry
Shoot 'Em Down
You Can't Stop Rock 'n' Roll
Horror-Teria (The Beginning)
Captain Howdy
Street Justice
We're Not Gonna Take It
The Kids are Back
I Believe in Rock 'n' Roll
Born to Raise Hell
The Fire Still Burns
The Price
Burn in Hell
I Wanna Rock

Come Out and Play
S.M.F.


A la fin de la prestation, les organisateurs viennent faire un speech, en allemand, dont je comprends l'essentiel. Outre les remerciements d'usage, ils annoncent que l'année prochaine, ce sera la vingtième édition du festival et que ça aura lieu sur trois jours (en fait trois jours pleins plus la warm up, donc quatre jours !), et que les premiers groupes annoncés sont Y&T, Primordial, WASP, Pretty Maids, Exciter et Morgana Lefay, et qu'ils vont voir aussi la possibilité de faire jouer King Diamond.: Voilà qui est bien prometteur !

On se dirige ensuite vers la salle pour voir le dernier groupe, en l'occurrence OMEN dont nous voyons les dernières chansons. C'est pas mal, et le chanteur en armure a un certain style :D On arrive sur une chanson que je connais, l'excellente "Battle cry", et ça enchaîne sur "Teth of the Hydra", un morceau épique que je ne connaissais pas mais qui m'a bien fait tripper. Puis les Américains cloturent sur "Die by the blade", qui sera donc le dernier morceau live joué à ce festival. J'ai bien aimé le peu que j'ai vu d'Omen. En plus le surlendemain du festival, j'ai appris qu'ils étaient reconfirmés pour l'année prochaine, comme Hirax. Je les reverrais en entier avec plaisir.

Après ça, il s'agit de finir les derniers tickets de boissons, ou de se les faire rembourser (car contrairement au Hellfest, et ce que j'ignorais l'année dernière, c'est possible en allant à la caisse et en disant "zurück" !). Puis bus et Ballroom dans la gadoue, et longues discussions philosophiques sur le metal avant d'aller se coucher ! Le réveil et le retour le lendemain se feront en toute tranquillité, après avoir viré les limaces des tentes ! Ca circule en tout cas parfaitement jusqu'à Strasbourg, et nous sommes donc tout à fait dans les temps pour avoir notre avion.

Bilan de ce Bang Your Head 2014 : une fois de plus un super festival !  L'affiche était certes déséquilibrée, pour ne pas dire bancale. Je ne comprends toujours pas le pourquoi du comment de ces 3h20 d'Axel Rudi Pell comme tête d'affiche, et en plus avec une prestation pas du tout à la hauteur des attentes qu'avaient fait naître la présence de tous ces guests prestigieux. Mais les groupes du samedi ont bien rattrapé ceux de la veille. Et puis le Bang Your Head, c'est surtout sur le plan humain et pour le cadre que c'est top. Comme ce n'est pas un très gros festival, on peut tout à fait profiter de très bons moments avec les potes. Et entre mes amis toulousains avec qui je fais tous mes concerts dans l'année, mes amis parisiens (et ex-parisiens comme moi, tels Oso et Eklipse) avec qui j'ai fait tous les concerts de la capitale pendant huit ans, les potes dijonnais, les Alsaciens rencontrés ici cette année ou l'année dernière, ça m'a fait de belles retrouvailles. J'espère donc bien en être l'année prochaine pour les vingt ans et le passage à quatre jours !
 
Pierre 

RIOT V publiera "Unleash the Fire" le 20 Août 2014 via Steamhammer/SPV.


Tracklist de "Unleash the Fire" de RIOT V :

01. Ride Hard Live Free
02. Metal Warrior
03. Fall from the Sky
04. Bring the Hammer Down
05. Unleash the Fire
06. Land of the Rising Sun
07. Kill to Survive
08. Return of the Outlaw
09. Immortal
10. Take Me Back
11. Fight Fight Fight
12. Until the Meet Again
13. Thundersteel (live)  
 

 

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