C’est bon, t’es prêt ? Va laver tes mains, c’est parti ! Le chroniqueur décalé va te prendre la tête ! Des fois c’est long et ce n’est pas bon ;-) Mais ici, c’est RockMeeting !
Un samedi 21 janvier 2012. Soirée pâté dans un décor pathé. Tranche de vie et tranches de pains. La raison, un besoin de concert avant le départ en Australie pour mes jeunes amis (avant une petite escale chez nos rouquins aux oreilles décollées, les mangeurs de pudding ; oui c’est ça … les Anglais), Harmonic Generator va enfin enregistrer son premier album. Mais avant il faut répondre à un besoin. Une soif de rock à partager, un manque de scène. Il n’en fallait pas plus pour initier cette soirée et provoquer cet échange de chorus, avec une salle somme toute acquise avant le coup d’envoi.
Oui, la vraie richesse n’est pas matérielle, elle est faite de rencontres et de partages. D’ailleurs, envoyer vos dons et votre pognon à mon adresse … je vous présenterai des gens.
Et c’est pour ces moments que la vie vaut d’être vécue. Car vivre seul et se toucher les parties intimes … ce n’est pas vraiment la soirée rêvée, enfin pas pour moi. Alors quand l’occasion s’offre de partager des watts, je dis oui. Les ouates ? … faut d’abord que je demande à Mme Maënora.
Imaginez le bonheur … plutôt casanier, pantouflard, très amateur de rock et … Ô bonheur un petit festival dans les Alpilles, dans mon chez moi. Même pas besoin de m’habiller. C’est dans ces moments qu’on aimerait avoir des pyjamas, hélas je dors cul nu et j’ai des sièges en cuir ; alors au prix d’un gros effort, je me suis … habillé ! Trop habillé, mais pour un rendez-vous le jogging ce n’est pas très rock.
Je vous passe la route, ces moments où vous roulez entre les collines et paysages aux verdures provençales, avec ses diverses essences, ses oliviers ; son coucher de soleil « And I’m a poor lonesome … RockMeeting-Reporter and a long way from home ».
A l’initiative de Renaud SATRE, (Harmonic Generator) musicien ce soir et aussi gentil G-O, le rendez-vous est donné dans un cinéma de quartier (c’est pour cela le jeu de mots débiles du début ? soirée pâté dans un décor pathé ? Bah oui et c’est cadeau). Bienvenue à : « La dernière séance ». Le décor, petite salle, 90 âmes payantes ce soir (intimité, j’aurai pu venir cul nu ; tant pis) ; donc 90 bonnes âmes + les zicos, de la matière pour une bonne soirée « Rock ». Si vous ignoriez pourquoi, une séance de cinoche ne dure pas plus de trois plombes, pourquoi dans un cinéma, on s’assoit, on ne bouge pas et on ferme sa … sa … Oui ! sa gueule ; j’ai l’explication. Quand votre troisième groupe est en plein set il fait 60 °c, tu sues des genoux dans ton jean ; ça sent le rock & la sueur. Car une salle pleine qui perd ses eaux, j’y crois pas !
Dans ce cinéma, jamais la sono n’avait autant craché, même pendant les batailles violentes d’Optimus Prime dans « Transformer 3, la face caché de la lune », jamais ! Perso’ j’avais jamais autant sué, même quand on voit la face caché de la lune de l’actrice dans Transformer 3.
A ce rendez-vous (mini festival) était associé deux visiteurs : The Real Mc Coy et The Living Dead. Formule complète, fromage, plat & dessert. Nickel !
Un samedi 21 janvier 2012. Soirée pâté dans un décor pathé. Tranche de vie et tranches de pains. La raison, un besoin de concert avant le départ en Australie pour mes jeunes amis (avant une petite escale chez nos rouquins aux oreilles décollées, les mangeurs de pudding ; oui c’est ça … les Anglais), Harmonic Generator va enfin enregistrer son premier album. Mais avant il faut répondre à un besoin. Une soif de rock à partager, un manque de scène. Il n’en fallait pas plus pour initier cette soirée et provoquer cet échange de chorus, avec une salle somme toute acquise avant le coup d’envoi.
Oui, la vraie richesse n’est pas matérielle, elle est faite de rencontres et de partages. D’ailleurs, envoyer vos dons et votre pognon à mon adresse … je vous présenterai des gens.
Et c’est pour ces moments que la vie vaut d’être vécue. Car vivre seul et se toucher les parties intimes … ce n’est pas vraiment la soirée rêvée, enfin pas pour moi. Alors quand l’occasion s’offre de partager des watts, je dis oui. Les ouates ? … faut d’abord que je demande à Mme Maënora.
Imaginez le bonheur … plutôt casanier, pantouflard, très amateur de rock et … Ô bonheur un petit festival dans les Alpilles, dans mon chez moi. Même pas besoin de m’habiller. C’est dans ces moments qu’on aimerait avoir des pyjamas, hélas je dors cul nu et j’ai des sièges en cuir ; alors au prix d’un gros effort, je me suis … habillé ! Trop habillé, mais pour un rendez-vous le jogging ce n’est pas très rock.
Je vous passe la route, ces moments où vous roulez entre les collines et paysages aux verdures provençales, avec ses diverses essences, ses oliviers ; son coucher de soleil « And I’m a poor lonesome … RockMeeting-Reporter and a long way from home ».
A l’initiative de Renaud SATRE, (Harmonic Generator) musicien ce soir et aussi gentil G-O, le rendez-vous est donné dans un cinéma de quartier (c’est pour cela le jeu de mots débiles du début ? soirée pâté dans un décor pathé ? Bah oui et c’est cadeau). Bienvenue à : « La dernière séance ». Le décor, petite salle, 90 âmes payantes ce soir (intimité, j’aurai pu venir cul nu ; tant pis) ; donc 90 bonnes âmes + les zicos, de la matière pour une bonne soirée « Rock ». Si vous ignoriez pourquoi, une séance de cinoche ne dure pas plus de trois plombes, pourquoi dans un cinéma, on s’assoit, on ne bouge pas et on ferme sa … sa … Oui ! sa gueule ; j’ai l’explication. Quand votre troisième groupe est en plein set il fait 60 °c, tu sues des genoux dans ton jean ; ça sent le rock & la sueur. Car une salle pleine qui perd ses eaux, j’y crois pas !
Dans ce cinéma, jamais la sono n’avait autant craché, même pendant les batailles violentes d’Optimus Prime dans « Transformer 3, la face caché de la lune », jamais ! Perso’ j’avais jamais autant sué, même quand on voit la face caché de la lune de l’actrice dans Transformer 3.
A ce rendez-vous (mini festival) était associé deux visiteurs : The Real Mc Coy et The Living Dead. Formule complète, fromage, plat & dessert. Nickel !
Concernant The Living Dead, j’y allais vierge de toute ouïe, petite rencontre en loge, quelques échanges sur le parcours et ma curiosité était assez en émoi, pour attendre le set. Un premier set qui aura duré un peu plus d’1/2 heure, sept morceaux dont trois reprises. On est jeune et on ose tout (10 dates au compteur et on fait monter l’aiguille, bien les garçons !), on se frotte au répertoire des Deep Purp’, Stepenwolf, Led Zep’ et on s’en sort avec mention bien. Un groupe jeune en tout, ensemble depuis mai 2011, 20 ans de moyenne d’âge, une culture rock très récente, il y a du mérite à vouloir reproduire un schéma qui n’est plus de mode, du hard seventies. Mais la seule manière de parler fort, avec de la puissance et sans haine ; que ce soit : hier, aujourd’hui ou demain, ça reste … la voix du rock. Dans leur empreinte on perçoit des groupes dont ils ignorent certainement l’existence. Quand j’écoute un « lonely is the night » de Billy SQUIER, j’y entends le trait d’union entre leur univers et celui d’un Led Zep’. Il reste beaucoup d’évolution possible chez The Living Dead, car ils ont les outils en main, je pense par exemple, au passé de Romain (guitariste) ; 20 ans, quatre ans d’instruments et des connaissances en violon à ne pas perdre (donc à utiliser, parenthèse ouverte et fermée). Bonne maîtrise de l’instrument pour une expérience si courte, physiquement ce garçon c’est un clone filiforme de Phil Lynott mais … avec une six cordes (petit conseil : enrichi ta culture musicale ! Par exemple chez les King’s X (tu comprendras en écoutant). Olivier le vieux (22 ans, désolé on est toujours le vieux de quelqu’un), à la batterie, assure également tous les backings vocaux, il cogne fort, une bonne frappe de bucheron, une expérience forgée par une, presque, moitié de vie derrière les fûts. Pour l’aider à la rythmique, Luc ; le garçon que j’aurai le plus plaint de la soirée. Pensez-y, il s’était enfourné un castor sur la tête (voir les photos, d’une personne que je remercierai comme il le faut à la fin de ce Live Report). Pour rappel « 45°c» (pendant leur set, la température va encore monter) ; si il avait dû jouer un album à la fin il sortait avec comme surnom : « tsantzas », la conséquence d’un séjour chez les Jivaros. Mais t’es un sacré maso’ Luc ! À contrario, tu auras bien fait sonner ton instrument (pareil 20 (petits printemps) et 9 ans de pratique). Pour le chant, le groupe a trouvé le chanteur qui saura les faire évoluer et tenir sa place de lead, Yoan est le benjamin du groupe (18 ans) mais il possède (grâce à « sa » maman) une bonne technique vocale, en sus un vrai grain, car la technique sans un talent, c’est comme être seul sur une île avec quatre bombes lesbiennes, toutes plus fortes que toi ; allez à une première rencontre avec une haleine à faire tomber les mouches ; passer sa visite médicale en slip, avec la méga auréole, devant l’infirmière que tu voudrais brancher. Je dois faire un aveu, seul sur une île avec une nympho’, très moche (si, si ça existe) et plus forte que toi … ça doit être assez horrible, même si plus moche que certains … ce n’est pas gagné !!! Donc, après avoir parlé entre autre avec Yoan, j’ignore pour ses sous-vêtements, je pense qu’il n’a pas de problèmes majeurs dentaires ; mais ce dont je suis certain : il possède une ressemblance avec Mike TRAMP, ça … faut le cultiver ! Et l’utiliser. Maintenant, je pourrai ne pas faire mon boulot de critique et oublier la chose essentielle … leur rendre service. Alors, conscient de leur qualité je leur donnerai ces petits conseils (qu’ils suivront ou pas ?) il va falloir apprendre à créer une osmose de groupe (mais votre formation est jeune, la scène vous aguerrira), regarder ensemble quelques DVD de Live, ou aller voir des groupes à fortes expériences et … décortiquer. Étudier les positionnements, les attitudes, savoir à tout moment ou sont les autres membres, jouer, pour offrir une prestation de groupe, le meilleur est à venir. Un musicien, c’est souvent un vrai schizo’. Quelqu’un qui devient un autre personnage dès que la lumière s’éteint ; un être qui prend son oxygène sur la scène. Il est facile aujourd’hui de se faire filmer pendant un concert, le regarder en y posant sur soi un regard très critique, enregistrer un morceau en répèt’ et penser « show ». Ce sont sur ces détails, que l’on s’impose en Live. Je vous souhaite une bonne route, la région n’est pas sans limite, au plaisir d’une prochaine rencontre. Et pour l’écoute de l’EP 5 titres en projet. The Living Dead : Yoan – chant ; Romain – guitare ; Luc – basse ; Olivier – batterie et choeurs. Set- List : Black Night, That’s Allright, Stone Riders, You Gonna Get What You Want, Psychobility, Born To Be Wild, Whole Lotta Love. | |
Vient le moment de l’entracte, de courte durée, on remplace les M&M’s et les glaces par la bière, pas encore de trois boules aux céréales maltés en rayon frais, mais des deux boules pleines de bières, c’est à foison dans les concerts de rock. Qui a dit qu’un concert de Rock, c’est un endroit ou le son est fort et, parfois, les types ont les doigts qui sentent ? Mea culpa, sans doute moi fidèles lectrices et lecteurs. Le rideau se tire et la tribu se pointe. Pas complètement en terre inconnue sur la marque de Whisky : « The Real Mc Coy ». Quoi ? The Real Mc Coy ? Ce n’est pas un mélange d’orge, d’eau et de sucre, savamment mélangé, distillé et vieilli et un tantinet frelaté dans la grange ; un liquide qui se boit ? Bah, non ; c’est le nom du combo’ ! Stéphane, chanteur m’ayant envoyé leur album quelques jours avant ce set ; l’occasion m’était donné de voir la différence entre la galette dorée et la réalité sonore … Le test Live. (Fais une pause, lectrice, lecteur … Bois une bière ; à ce stade il reste deux groupes). Premier bilan, un Cd qui m’avait déjà globalement satisfait après ses deux premières écoutes, (difficile de faire plus, la semaine a été dure, une quinzaine de colis dans la boite aux lettres) j’entendais par ci, par là des justesses vocales, provoquées par le besoin d’envoyer toujours du bois à tout va, un besoin de poser des lignes différentes. Un grain particulier … c’est comme écouter un mec comme Tony Joe White, toujours l’impression que le type sort des clous, mais il flirte sans arrêt, avec sa ligne de chant et les lignes habituelles ; dû à sa voix unique. En résumé, je dirai que leur album à un côté Hard-Rock Stoner et que la prestation de ce soir aura été plus métal, que sous le format Live ; Stéphane aura effacé toutes mes appréhensions vocales. Tu as assuré ta place de lead. Malgré votre « ancienneté » je pense … que vous n’êtes pas encore au firmament de votre rencontre de style. Et des mecs pas bouffons, hyper abordables. Bonne rencontre. Je vous souhaite une route très longue, un schéma pas trop sinueux, avec la signalisation au vert. Amusant de voir que JR (l’homme aux fûts), sur l’album remercie ses comparses pour « sa médiocrité dont ils s’accommodent » ; alors que moi, j’aurai entendu une très forte musicalité. La batterie est un instrument avec lequel je suis très exigeant, voire chiant ! J’assume. Te rends-tu compte que tu joues « pour » le groupe. Ce n’est pas rien ! C’est vraiment ce qui en ressort, tu te mets au service de la compo’ et tu le fais très bien. Dans votre cas, j’aimerais vous conseiller de vous pencher sur un groupe comme Porcupine Tree, il y a un univers qui pourrait vous plaire (dans son schéma plus métal) et des ingrédients que vous pourriez, qui sait ?, Ajouter à votre univers ? Car je parle du groupe qui joue certainement avec le meilleur batteur, une musicalité ... Exceptionnelle. The Real Mc Coy ce sont des lignes de grattes très métal. Une composition qui offre une âme à ces titres, un vécu chez ces mecs et une culture qui se perçoit. Très agréable en Live. J’ai vraiment apprécié ; auquel cas je poserai moins de mots sur ce Live ! Mirek, à la basse le compagnon de rythmique de JR est « THE » bassiste. Très forte connaissance et très bonne utilisation de son instrument. Le Rocco S du manche à grosses cordes. Tandis que l’autre c’est plutôt le gros manche et les poils petites cordes (plus guitare que basse) … Pardon, je m’égare. Mirek, Merci d’avoir régalé un auditoire fan de cet instrument, trop souvent mis dans l’ombre et ô combien indispensable. Je sais que tu souffrais d’une rage de dents, mais imagines-toi avec Pollux sur la tête, comme ton prédécesseur bassiste. Tu choisis quoi ? La petite tête en fin de set ? Ou la grosse gueule en fin de soirée ? Tu peux prendre ton temps pour répondre, appeler un ami. Christophe (guitare) ; que dire de Christophe ? Quand j’ai écouté l’album, je n’ai pas pu ignorer l’importance de l’instrument guitare dans vos compos, tu m’as expliqué que tu ne te voyais pas faire les chœurs, qui m’ont parfois manqué sur le format CD, à quelques moments sporadiques ; mais aucunement en Live. Tu as assuré une très bonne prestation, très belle gymnastique des doigts, si tu es loin dans le style d’un Mick Mars, tu partages avec lui une philosophie (le sais-tu ?) rien ne vaut un chorus qui reste en tête, un riff est 100 fois plus efficace qu’un déluge masturbatoire de notes, qui voudrait dire : T’as entendu ? J’ai fait un solo ! ». Une trentaine de dates au compteur cela s’entend. A toi, je pourrais proposer d’écouter la gratte chez les Cross Canadian Ragweed, des sonorités et riffs qui pourraient te plaire ? The Real Mac Coy, voilà un groupe, que je vois bien jouer derrière une grille dans un bar, en pleine campagne profonde à un meeting sur la bière ; lors d’une réunion de bikers. Ambiance « Roadhouse », ou « Bandes de sauvages », Ce sera avec grand plaisir que je vous réécouterai au détour d’un Live. Ou pour boire le produit du distillat de la grange … The Real Mc Coy : Stéphane – chant ; Christophe – guitar ; Mirek – basse ; J.R. – batterie. Set List : Faster Than A Bullet, Nothing To Lose, Kiss The Sky, Pride, Flow, Dead Man Walking, Mr Hunchback. | |
| Un feu d’artifice, sans bouquet final … Ce n’est que du bruit et une soirée ratée (le : « désolé pas ce soir j’ai la migraine » quand ta boussole indique le Nord et pointe les étoiles) ; fort heureusement Harmonic Generator, seul groupe au parfum de kangourou de Provence, tient son rang. Certaines, certains se demandent : ça sent quoi un kangourou au parfum de Provence ? Je vous répondrai, c’est une allégorie, un exercice de style. Mais si le cœur vous en dit, vous louez un costume avec toit ouvrant sur le tiroir à boudins, vous vous plantez quelques essences provençales, quelques bonds sur quelques kilomètres et vous aurez un aperçu de ce que ça pourrait donner ;-). Merci d’envoyer vos vidéos pour alimenter ce Live Report ! Devant son public, Eyguyères, la ville des « brothers » (Alex et Charles), le groupe aura tout donné. A l’image de son lead chant, Quentin exemplaire encore ce soir ; ce garçon progresse continuellement au-devant de la scène et là … aucune économie vocale ; bon jeu avec le public, beaucoup de naturel dans cette relation. De superbes placements sur scène, de liens avec ses comparses. Chaque membre du groupe possède, son charisme, sans aura sans que cela ne nuise à l’identité du groupe ; une forte belle symbiose ressort de l’ensemble. Alex à la batterie, cogne comme peu savent et peuvent le faire. Il est à son âge au sommet possible pouvant lui être accordé, bien sûr qu’il évoluera encore ; mais pour cela il faudra attendre : plus de concerts, d’autres compos’. J’espère pouvoir prendre toujours autant de plaisir à nos rencontres. Nicolas, dit le blond, nous a assuré de son intervention à l’harmonica, merci de l’avoir prolongée. Quand on en parle en famille, on s’accorde d’un plaisir commun partagé de ce moment. Ce soir c’était parfait ! A la basse ça reste un sans-faute ; mais … il doit y avoir moyen de t’entendre plus ; de porter plus haut ton instrument. Pas en jouant plus fort mais en imposant plus de lignes. Un aveu ? Je vous préfère dans le groove que dans la puissance avant tout. S.V.P. essayez de rester dans le schéma actuel de répartition (fun, groove, puissance). Pour moi c’est là que se situe votre véritable identité. Un groove, qui pourrait s’inspirer des WigWam, Reckless Love et consorts. Pour ceux qui connaissent on retrouve du Junkyard chez eux. Venons-en à nos deux gratteux, Charles est un prodige de son instrument. Il associe à cela comme ses comparses un look et sa guitare, personnalisée, est le symbole du groupe. Très jeune, mais déjà très aguerri sur scène. En Live ces mecs sont dans leur jardin. Ils vivent, ils respirent, s’amusent et forcément offrent au public. Ajoutons à cela que les harmonies vocales sont d’une très grande justesse. Quand vous avez Quentin qui assure le lead et que Renaud et Charles vous appuient les chœurs, c’est du très haut niveau. Scéniquement comme vocalement. Regrettable de savoir que la probabilité de les voir est - et sera 10 fois plus élevé en parlant anglais. Car nos garçons partent pour trois dates en Angleterre avant l’enregistrement de l’album en Australie suivi de sa tournée de 30 dates qui en découlera. Informations recueillis par Renaud, qui a assuré pour moi sa toute meilleure prestation depuis notre rencontre. Des interventions beaucoup plus fluides sur son manche. Deux guitaristes et deux personnages. Renaud porte plus l’image du travailleur forcené et look dandy, quand Charles porte plus celle du surdoué, avec la désinvolture d’un Slash. Mais la complémentarité offerte se délaie parfaitement dans la finalité. Leur leitmotiv : le plaisir ! Belle paire de gratteux. Des lignes de solos différentes, un plus pour le groupe. Si vous cherchez un groupe pouvant porter une tête d’affiche, un groupe en devenir. Harmonic Generator est à mettre sur votre liste de course. Mais chaque groupe qui aura joué ce soir a son public, chacun mérite une scène et des dates. Lectrice, lecteur, votre mission que … « je vous conseille de l’accepter » ; le week-end, oubliez la télé et aller puiser des décibels. Il y a toujours un terrain de rencontres, toujours une ambiance saine. En plus, vous aurez très souvent la possibilité de repartir avec albums et démos des groupes, pour des prix dérisoires. A nous de faire en sorte que la France, devienne un pays ou le Marshall pourrait porter la bonne parole. C’était Maënora pour RockMeeting. Lectrices, lecteurs vous pouvez vaquer à vos occupations. Et merci, à celles et ceux qui auront tenu jusqu’à ……………………………………………………………….. Là ! Comment vous faites ? Merci aux musiciens qui ont offert ce spectacle, au public qui s’est déplacé et à toi lectrice, lecteur ; pour supporter mes divagations. Mais avant de vous mettre les compositions de groupes et les sets-List jouées ; je tiens particulièrement à remercier, ma charmante collaboratrice du soir : Melle Manon BACQUIAT, qui pour la 2ème fois vient appuyer un de mes Live Report avec ses photos. Elle a le talent d’une photographe pro’, elle aura donné de sa personne en traversant en long en large la salle et la scène, pour me permettre d’avoir la chance d’y apposer une qualité de moments graver pour la postérité. Ces images qui pourront s’accorder espérons, prochainement avec une … célébrité reconnue, pour nos vedettes du soir. Merci d’être venu avec ton sourire, de m’avoir donné de ton temps. J’ai une dette ;-) et de belles photos, prise dans des conditions … pas évidentes (salle de ciné). Manon, dernier point … Si tu veux encore me vouvoyer appelle moi : « Ta majesté » ou « Maître » ! Restons simple. Harmonic Generator : Quentin – chant ; Renaud – Guitare et chœurs ; Charles - Guitare et chœurs ; Nico’ – basse (et … chœur sur le dernier titre) ; Alex – batterie (et lunettes noires). Set List : Fire, Dead On The Ground, Rollin’ Free, Get Away, Shake, Let The Bunny Dance, D’Blues, On My Knees, Nobody Guy, Rising Star, Marseilles, My Generation |
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