John Markus avait à juste titre fait l’éloge du premier album éponyme Wolfpakk. Le duo allait il parvenir à retrouver l’inspiration ? Ils ont écrit à nouveau toutes les chansons ensemble (à l’exception de la reprise surprise et plutôt réussie de RAINBOW Run With The Wolf, avec la participation au clavier de l’emblématique Tony Carey ).
Ils se sont également chargés une fois de plus de la production et du mixage en plus de chanter, bien évidemment.
Ne laissons pas planer le suspense plus longtemps, c’est à nouveau un carton plein.
Cela commence rondement avec un Moonlight énergique avec Ralf Scheepers en pleine forme et un refrain calibré AOR. Le solide A Matter of Time continue dans la même veine en alliant puissance et mélodie, avec un superbe duo Sweeney et Johnny Gioeli au chant, alors que Brian Tichy donne le rythme à la batterie. Dark Revelation joue une carte plus heavy dans laquelle Voss se taille la part du lion au chant. Amanda Somerville vient donner une belle réplique sur la ballade de facture très classique Cold Winter.
Avec Palace of God, l’ambiance s’assombrit, Tony Mills vient donner la réplique au chant, tandis que le refrain s’appuie sur des chœurs multi- couche massifs, donnant une belle couleur symphonique.
Goran Edman s’invite sur un Beast In Me incisif presque speed avec les riffs percutants de Roland Grapow, après un fédérateur Wakken au faux air d’Hammerfall, tandis que Doogie White vient mettre la pression ou plutôt des aigus sur le hymnique Pressure Down ! Cry Wolf termine sur une touche épique de 10mn, mêlant nappes atmosphériques et phases intenses et heavy.
Au final du grand art, rien à jeter, d’ores et déjà un des albums marquants de 2013 pour moi, je ne mettrai pas 5 étoiles, partant du principe que la perfection n'est pas de ce monde, mais on en est pas bien loin en terme de plaisir !
Ils se sont également chargés une fois de plus de la production et du mixage en plus de chanter, bien évidemment.
Ne laissons pas planer le suspense plus longtemps, c’est à nouveau un carton plein.
Cela commence rondement avec un Moonlight énergique avec Ralf Scheepers en pleine forme et un refrain calibré AOR. Le solide A Matter of Time continue dans la même veine en alliant puissance et mélodie, avec un superbe duo Sweeney et Johnny Gioeli au chant, alors que Brian Tichy donne le rythme à la batterie. Dark Revelation joue une carte plus heavy dans laquelle Voss se taille la part du lion au chant. Amanda Somerville vient donner une belle réplique sur la ballade de facture très classique Cold Winter.
Avec Palace of God, l’ambiance s’assombrit, Tony Mills vient donner la réplique au chant, tandis que le refrain s’appuie sur des chœurs multi- couche massifs, donnant une belle couleur symphonique.
Goran Edman s’invite sur un Beast In Me incisif presque speed avec les riffs percutants de Roland Grapow, après un fédérateur Wakken au faux air d’Hammerfall, tandis que Doogie White vient mettre la pression ou plutôt des aigus sur le hymnique Pressure Down ! Cry Wolf termine sur une touche épique de 10mn, mêlant nappes atmosphériques et phases intenses et heavy.
Au final du grand art, rien à jeter, d’ores et déjà un des albums marquants de 2013 pour moi, je ne mettrai pas 5 étoiles, partant du principe que la perfection n'est pas de ce monde, mais on en est pas bien loin en terme de plaisir !
Label : | AFM |
Sortie : | 2013 |
Production : | Voss / Sweeney |
Discographie : |
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