Que les guitares et claviers sont tenus par deux membres fondateurs de Stone Fury et Unruly Child ; que le batteur n’est nulle autre que le grand frère de Joseph (chanteur de Toto) qu’il a hérité par sa musicalité des gènes de son père. Que la liste des gens que ce dernier a accompagné au cours de sa carrière ferait passé le Barça pour un club de ligue 1. L’équipe de rugby des All-Blacks pour un gang de folles tordues.
On plante le décor. Pour bien comprendre la genèse musicale, je dirai qu’on est à la croisé d’IT BITES et YES, saupoudré d’un « je ne sais quoi » d’A.O.R. On alterne d’un style à l’autre ; mais en se disant : « Ne nous trompons pas sur qui a copié ! ». Un groupe identitaire à part entière !
Voilà le type même d’album qui prend pleinement sa place dans la case « Monument musical ». Après autant d’années, vous vous surprenez encore / étonnez sur les arrangements, sonorités, notes ajoutées, les ponts musicaux, lignes de chants. Autant de bon zicos, non bridés. La raison et les réponses sont simples un mec comme Keith OLSEN derrière les manettes.
Quand on se rappelle de grands noms de l’époque (pêle-mêle : BEAU HILL, DESMOND CHILD, DIETER DIERKS, MICHAEL WAGENER, BRUCE FAIRBAIRN et j’en omets) on se doit d’accorder une place de choix pour Keith OLSEN qui a produit (entre autres) : PAT BENATAR, RICK SPRINGFIELD, SCORPIONS, WHITESNAKE, HEART, KINGDOM COME, FOREIGNER, OZZY , FLEETWOOD MAC, EDDIE MONEY, SAMMY HAGAR, dans un style plus A.O.R. 707, PREVIEW, DARE, MAGNUM, SHADOW KING, FIONA, etc. Excusez du peu, c‘est comme si l’héritage de tous ces groupes prenait son sens sur cet album.
Donc à ce stade de ma chro’ vous êtes rassurés sur les qualités intrinsèques de l’album : des zicos et un son. Alors vous me direz : « Et les compos’ ? » Auquel je te répondrai : « Et ta sœur ? ».
Comment pouvez-vous douter qu’un album Eponym avec un tel pédigrée, ne puisse pas être un énorme scud celui-là même qui rangerait les : Eva Mendès, Megan FOX, Halle BERRY, Charlize THERON, Jessica Alba, Raymonde BOUCHERAU ; dans le rayons boudins innommables !!!
Pleinement conscient que très souvent un 1er album, concentre le travail de plusieurs années, l’essence d’une création. Que tout grand amateur de rock mélodique sait pertinemment, qu’on n’a jamais refait mieux que cette période ! Même un esprit limité a compris : Il me le faut.
L’album commence par une intro qui vous ouvre les portes sur un univers, nier qu’on flirte pleinement avec le rock progressif serait absurde ; mais il y a là la quintessence de ce courant. Sans son côté … Chiant ! Chaque morceau est en lui-même un voyage qu’il faut entreprendre. Sense Of Freedom à lui seul saura vous convaincre de l’importance de franchir le pas ou bien … De rester dans une parfaite ignorance. Dans une ère glaciaire musicale, vous rangeant dans l’origine de l’espèce humaine ; je me lève, je mange, je cague, je dors et bis repetita. Mais pas toi lectrice, lecteur ;-)
Mais surtout … Une fois encore, ne dites pas que Maënora ne vous avait pas prévenu !!!
Enfin, même si cette chronique est courte ; je me permettrai de rajouter que même la pochette … J’aime.
On plante le décor. Pour bien comprendre la genèse musicale, je dirai qu’on est à la croisé d’IT BITES et YES, saupoudré d’un « je ne sais quoi » d’A.O.R. On alterne d’un style à l’autre ; mais en se disant : « Ne nous trompons pas sur qui a copié ! ». Un groupe identitaire à part entière !
Voilà le type même d’album qui prend pleinement sa place dans la case « Monument musical ». Après autant d’années, vous vous surprenez encore / étonnez sur les arrangements, sonorités, notes ajoutées, les ponts musicaux, lignes de chants. Autant de bon zicos, non bridés. La raison et les réponses sont simples un mec comme Keith OLSEN derrière les manettes.
Quand on se rappelle de grands noms de l’époque (pêle-mêle : BEAU HILL, DESMOND CHILD, DIETER DIERKS, MICHAEL WAGENER, BRUCE FAIRBAIRN et j’en omets) on se doit d’accorder une place de choix pour Keith OLSEN qui a produit (entre autres) : PAT BENATAR, RICK SPRINGFIELD, SCORPIONS, WHITESNAKE, HEART, KINGDOM COME, FOREIGNER, OZZY , FLEETWOOD MAC, EDDIE MONEY, SAMMY HAGAR, dans un style plus A.O.R. 707, PREVIEW, DARE, MAGNUM, SHADOW KING, FIONA, etc. Excusez du peu, c‘est comme si l’héritage de tous ces groupes prenait son sens sur cet album.
Donc à ce stade de ma chro’ vous êtes rassurés sur les qualités intrinsèques de l’album : des zicos et un son. Alors vous me direz : « Et les compos’ ? » Auquel je te répondrai : « Et ta sœur ? ».
Comment pouvez-vous douter qu’un album Eponym avec un tel pédigrée, ne puisse pas être un énorme scud celui-là même qui rangerait les : Eva Mendès, Megan FOX, Halle BERRY, Charlize THERON, Jessica Alba, Raymonde BOUCHERAU ; dans le rayons boudins innommables !!!
Pleinement conscient que très souvent un 1er album, concentre le travail de plusieurs années, l’essence d’une création. Que tout grand amateur de rock mélodique sait pertinemment, qu’on n’a jamais refait mieux que cette période ! Même un esprit limité a compris : Il me le faut.
L’album commence par une intro qui vous ouvre les portes sur un univers, nier qu’on flirte pleinement avec le rock progressif serait absurde ; mais il y a là la quintessence de ce courant. Sans son côté … Chiant ! Chaque morceau est en lui-même un voyage qu’il faut entreprendre. Sense Of Freedom à lui seul saura vous convaincre de l’importance de franchir le pas ou bien … De rester dans une parfaite ignorance. Dans une ère glaciaire musicale, vous rangeant dans l’origine de l’espèce humaine ; je me lève, je mange, je cague, je dors et bis repetita. Mais pas toi lectrice, lecteur ;-)
Mais surtout … Une fois encore, ne dites pas que Maënora ne vous avait pas prévenu !!!
Enfin, même si cette chronique est courte ; je me permettrai de rajouter que même la pochette … J’aime.
Label : | PolyGram Records |
Sortie : | 1989 |
Production : | Keith OLSEN & World Trade |
Discographie : |
WORLD TRADE (1989) |
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