L’Eurovision mène à tout à condition dans sortir ; comme le porno !
Si certains pensent que le plus dur c’est d’y rentrer … Ils pensent Eurovision, car avec les dames du second art … Mais fin de ce débat. Même si quand c’est dur, mais Non ! … fin de ce débat. Mea Culpa ! C’est à cause de la pochette elle parle de Wall Street, auquel j’y associe F.M.I. alors c’est plus fort que moi je cherche au milieu des billets de la pochette, les préservatifs qui flottent. Mais ; Non ! Ce groupe est Norvégien pas Français !
Bon j’avoue que le look parfois à la village People pourrait en détourner à torts quelques-uns. Désolé mais ça m’est arrivé de voir à travers Teeny (gratte) le cow-boy des Village People !!! Cependant … à contrario, je me demande si WIG WAM n’est pas la meilleure chose qui soit arrivé au Hard sur ces dix dernières années. Me poser la question c’est y répondre en partie. Ce groupe c’est une machine parfaitement huilée (Oui, je sais ; comme le cow-boy des Village People). Pour porter la voix WIG WAM, Glam (Åge Sten Nilsen) possède l’essentiel pour laisser une réelle empreinte dans la musique. Digne d’un Freddy Mercury, pour son côté théatral, associant à cette identité quelque chose d’un David Lee Roth, pour le côté mise en scène et maîtrise du personnage en show. Pas de grand groupe à quatre tête sans des musiciens hyper confirmés et talentueux, Teeny (Trond Holter) lui semble avoir tout compris de son art en plus d’être un parfait soliste je l’identifie à un Mick MARS le mec qui a su rester lui-même avoir (peut-être) le meilleur sens du riff, sans tomber dans la masturbation guitaristique, appuyé en cela par des sons venus dont ne sais où ; preuve en est avec le « Saints Of Los Angeles ». Même si Teeny sait lui donner beaucoup plus de sa personne sur l’aspect solistique, des solos mémorisables techniques à souhait quand il le faut. Après que ce soit Flash (Bernt Jansen) ou Sporty (Øystein Andersen) respectivement basse et batterie ils font claquer et entendre parfaitement et très justement leur instrument. Des diamantaires dans leur genre.
Bon j’avoue que le look parfois à la village People pourrait en détourner à torts quelques-uns. Désolé mais ça m’est arrivé de voir à travers Teeny (gratte) le cow-boy des Village People !!! Cependant … à contrario, je me demande si WIG WAM n’est pas la meilleure chose qui soit arrivé au Hard sur ces dix dernières années. Me poser la question c’est y répondre en partie. Ce groupe c’est une machine parfaitement huilée (Oui, je sais ; comme le cow-boy des Village People). Pour porter la voix WIG WAM, Glam (Åge Sten Nilsen) possède l’essentiel pour laisser une réelle empreinte dans la musique. Digne d’un Freddy Mercury, pour son côté théatral, associant à cette identité quelque chose d’un David Lee Roth, pour le côté mise en scène et maîtrise du personnage en show. Pas de grand groupe à quatre tête sans des musiciens hyper confirmés et talentueux, Teeny (Trond Holter) lui semble avoir tout compris de son art en plus d’être un parfait soliste je l’identifie à un Mick MARS le mec qui a su rester lui-même avoir (peut-être) le meilleur sens du riff, sans tomber dans la masturbation guitaristique, appuyé en cela par des sons venus dont ne sais où ; preuve en est avec le « Saints Of Los Angeles ». Même si Teeny sait lui donner beaucoup plus de sa personne sur l’aspect solistique, des solos mémorisables techniques à souhait quand il le faut. Après que ce soit Flash (Bernt Jansen) ou Sporty (Øystein Andersen) respectivement basse et batterie ils font claquer et entendre parfaitement et très justement leur instrument. Des diamantaires dans leur genre.
Sur les deux premières écoutes de ce nouvel opus ; j’avoue que l’album m’avait « comme » dérouté, fort des dernières livraisons des « Glamunition » d’Age Sten Nilsen (solo) ou du « Non Stop Rock'n'Roll » de groupe en l’an 2009. J’avais l’impression que cette fois, là … Les refrains tombaient comme un poil en fond de gorge, les mélodies semblaient me surprendre. Puis finalement miracle ! Toutes ces sensations ont disparu ; balayé (avalé le poil). Pour finalement me rendre compte que cet album était la parfaite synthèse de l’héritage passé. A savoir une continuité de l’ensemble des œuvres, un moyen d’aborder ce groupe pour les pauvres maheur/euses/eux qui auraient raté ce groupe inévitable. Ainsi que les chroniques Rock Meeting à changement de tête (hé oui, quatre albums et je suis le quatrième à m’essayer à l’exercice de la chronique). Leur style un Glam Popisant, avec des grattes parfois surpuissantes flirtant avec le Heavy, des changements de tons incessants. Avec une voix ô combien unique. C’est comme si dans un shaker on avait mis à la fois du Mötley Crüe, Meat Loaf, Alice Cooper et quelques onces de Queen, Buterfly Ball, Angel et du son post 2000. Un truc énorme ou imbuvable si mal dosé. Des refrains identifiables mais comme chaque son, chaque note le tout labellisé, estampillé WIG WAM pur jus ! De facto : obligation d’achat pour tout fan.
Ces mecs possèdent une recette, qui en fait certainement le groupe le plus fun de la scène actuelle ! Ajoutant à cela que poser un album sur sa platine et y revenir fera de vous des éternels accro’ de ces Norvégiens. Impossible de ressortir un titre de la ballade instrumentale qui fera démonstration que le côté BarbieMâle habillé par Jean-Paul Gauthier (c’est là que ça fait mal et plus mâle) n’empêche pas de démontrer que ce groupe possède toute les cartes pour poursuivre longtemps sa carrière !
Dès l’entame de l’album l’éponyme Wall Street c’est le hit avec un jeu et un son de gratte désormais identifiable. WIG WAM maîtrise également les chœurs. Ajoutant à cela que chaque couplet donne une vraie puissance, alors quand vient le solo ou les solos c’est plus la cerise sur le gâteau, c’est de la garniture sans compter (je pourrai reparler porno ? Non on a dit fin de ce débat). OMG ! Ré initie l’intro basse-batterie, afin de nous faire apprécier plus encore l’utilisation des effets. Ensuite questions hits ça s’enchaine ou sa s’enfile comme dirait Jean-Paul.G. ce sans faiblir. Jusqu’à la fin !
Sur Victory Is Sweet intro violons et lin d’oeil vers le Glamunition ; en sus ces chœurs d’enfants d’une telle justesse, avec une telle fréquence d’utilisation que cela en devient une signature WIGWAMienne, même si au préalable on associait cela à du Jaded Heart, un plus qui aura fait ses preuves, sur les morceaux choisis. The Bigger The Better donne l’accent sur le mid sauce Glam et laisse la porte ouverte aux variantes de sonorités et changement de tempos. On en remet un coup sur le métronome, je pense que si les Beatles avaient donné dans le Hard et pareillement pour Abba et qu’ils s’étaient télescopés chez les T-Rex on parlerait de la définition du style WIG WAM ?
Tides Will Turn la ballade sirupeuse, pour certains mais toute en émotion et en sensibilité pour moi. Je suis un être de sensibilité je n’y peux rien et si je dois m’essuyer les pieds sur quelques faciès pour exprimer cette sensibilité je le ferai. Je pourrais aussi vous dire que Teeny à plus d’une corde à son arc ??? Mais de vous à moi qu’est-ce qu’il en ferait et qu’est-ce qu’on s’en tamponne de son arc, par compte des six cordes sur ses multiples guitares, électriques acoustiques là oui et c’est tant mieux ! Wrong Can Feel So Right et on retourne dans l’univers d’un Rocky Horror Picture Show, que dis-je !!! Dans le monde des Wig Wam et ses sonorités. One Million Enemies on change le son on y met de la puissance et on vous confirme que les claviers font partie intégrante du groupe. Try My Body On on se la joue Hard fin 80 début 90, le titre qui pourrait dénoter sur cet opus mais permet d’offrir une variante à Wall Street. Un hommage aux ainés. Natural High amène sa dose de variantes vocales sur des rythmiques limites folk en gardant cette identité Glam. Une des force de cet album ; offrir un panel de sons de grattes, de rythmes changeant. Il pourra dérouter les esprits les plus Heavy et les plus étroits, par ce léger virage amorcé ; ce clou enfoncé. Mais dans mon cas il conforte WIG WAM comme futur grand groupe de demain ; aux modestes oreilles du chroniqueur que je suis (& qui t’emmerde si tu penses que tes gouts sont meilleurs que les miens ;-D). Things Money Can’t Buy sans donner dans la démonstration lénifiante permet de confirmer le fort potentiel de zicos de chacun des membres du groupe et assoir Teeny dans son siège du Lead qu’il est.
Encore une fois, je vous sers sur un plateau un autre coup de cœur 2012. En chroniquant dans l’esprit des premières lignes j’aurai pu parler d’un « autre coup » ; après tout je suis Français. Mon emblème c’est le coq cet animal GroNiqueur qui se ballade avec son service trois pièces jamais caché. C’est décidé je change mon avatar Maënora CroNiqueur sera désormais fier et droit avec seulement un gilet en haut et photo en format … portrait. Lectrice, lecteur j’espère t’avoir donner envie …………… d’écouter. Ma prochaine plume sera pour un Live Report sauce Maënora. See you soon !
Ces mecs possèdent une recette, qui en fait certainement le groupe le plus fun de la scène actuelle ! Ajoutant à cela que poser un album sur sa platine et y revenir fera de vous des éternels accro’ de ces Norvégiens. Impossible de ressortir un titre de la ballade instrumentale qui fera démonstration que le côté BarbieMâle habillé par Jean-Paul Gauthier (c’est là que ça fait mal et plus mâle) n’empêche pas de démontrer que ce groupe possède toute les cartes pour poursuivre longtemps sa carrière !
Dès l’entame de l’album l’éponyme Wall Street c’est le hit avec un jeu et un son de gratte désormais identifiable. WIG WAM maîtrise également les chœurs. Ajoutant à cela que chaque couplet donne une vraie puissance, alors quand vient le solo ou les solos c’est plus la cerise sur le gâteau, c’est de la garniture sans compter (je pourrai reparler porno ? Non on a dit fin de ce débat). OMG ! Ré initie l’intro basse-batterie, afin de nous faire apprécier plus encore l’utilisation des effets. Ensuite questions hits ça s’enchaine ou sa s’enfile comme dirait Jean-Paul.G. ce sans faiblir. Jusqu’à la fin !
Sur Victory Is Sweet intro violons et lin d’oeil vers le Glamunition ; en sus ces chœurs d’enfants d’une telle justesse, avec une telle fréquence d’utilisation que cela en devient une signature WIGWAMienne, même si au préalable on associait cela à du Jaded Heart, un plus qui aura fait ses preuves, sur les morceaux choisis. The Bigger The Better donne l’accent sur le mid sauce Glam et laisse la porte ouverte aux variantes de sonorités et changement de tempos. On en remet un coup sur le métronome, je pense que si les Beatles avaient donné dans le Hard et pareillement pour Abba et qu’ils s’étaient télescopés chez les T-Rex on parlerait de la définition du style WIG WAM ?
Tides Will Turn la ballade sirupeuse, pour certains mais toute en émotion et en sensibilité pour moi. Je suis un être de sensibilité je n’y peux rien et si je dois m’essuyer les pieds sur quelques faciès pour exprimer cette sensibilité je le ferai. Je pourrais aussi vous dire que Teeny à plus d’une corde à son arc ??? Mais de vous à moi qu’est-ce qu’il en ferait et qu’est-ce qu’on s’en tamponne de son arc, par compte des six cordes sur ses multiples guitares, électriques acoustiques là oui et c’est tant mieux ! Wrong Can Feel So Right et on retourne dans l’univers d’un Rocky Horror Picture Show, que dis-je !!! Dans le monde des Wig Wam et ses sonorités. One Million Enemies on change le son on y met de la puissance et on vous confirme que les claviers font partie intégrante du groupe. Try My Body On on se la joue Hard fin 80 début 90, le titre qui pourrait dénoter sur cet opus mais permet d’offrir une variante à Wall Street. Un hommage aux ainés. Natural High amène sa dose de variantes vocales sur des rythmiques limites folk en gardant cette identité Glam. Une des force de cet album ; offrir un panel de sons de grattes, de rythmes changeant. Il pourra dérouter les esprits les plus Heavy et les plus étroits, par ce léger virage amorcé ; ce clou enfoncé. Mais dans mon cas il conforte WIG WAM comme futur grand groupe de demain ; aux modestes oreilles du chroniqueur que je suis (& qui t’emmerde si tu penses que tes gouts sont meilleurs que les miens ;-D). Things Money Can’t Buy sans donner dans la démonstration lénifiante permet de confirmer le fort potentiel de zicos de chacun des membres du groupe et assoir Teeny dans son siège du Lead qu’il est.
Encore une fois, je vous sers sur un plateau un autre coup de cœur 2012. En chroniquant dans l’esprit des premières lignes j’aurai pu parler d’un « autre coup » ; après tout je suis Français. Mon emblème c’est le coq cet animal GroNiqueur qui se ballade avec son service trois pièces jamais caché. C’est décidé je change mon avatar Maënora CroNiqueur sera désormais fier et droit avec seulement un gilet en haut et photo en format … portrait. Lectrice, lecteur j’espère t’avoir donner envie …………… d’écouter. Ma prochaine plume sera pour un Live Report sauce Maënora. See you soon !
Label : | Frontiers Records |
Sortie : | 18/05/2012 |
Production : | n/a |
Discographie : |
667... The Neighbour Of The Beast (2004) |
Liens multimédia - videos | SITE OFFICIEL | MYSPACE |
Notes des visiteurs : |
Comments:
Commentaires
Wall Street et OMG les deux premiers morceaux nous ouvre l'univers de Wig Wam bien dans l'esprit des albums précédents.
Ensuite arrive la ballade d'usage bien insipide qui ralenti le rythme ,s'ensuit Wrong can feel so,One million enemies,Try my body on, et là on s'ennuie ferme, Natural high nous sort de notre torpeur, une petite étincelle qui va vite s'éteindre pour nous imposer un instrumental bof, puis une reprise de School's Out d'Alice Cooper sans intérêt.
Si vous devez écouter ce groupe préférez Wig Wamania beaucoup plus inspiré et dynamique que celui ci .
S’abonner au flux RSS pour les commentaires de cet article.