Dans la série « je suis passé à côté, acte 56… », je voudrais Thierry Condor !!!
En effet, ce type est un aigle (sic) dans le sens où j’ai découvert un artiste Westcoast d’exception. J’en avais déjà entendu parler mais j’avoue n’avoir jeté qu’une oreille discrète sur son précèdent opus Stuff Like That. Attention, là on tient du lourd, du très lourd même. Condor n’est pas Français mais d’origine Allemande, Italienne et vit en Suisse. Il semble connaitre pas mal de monde dans le microcosme de la Westcoast Music Us et du coup il se sert de ses contacts pour ses albums solos dont le dernier So Close est sorti il y a peu. Je vous le dis tout de suite, il faut se faire la totale dans sa discographie de ce mec. Même son album de Noel n’est pas mal du tout pourtant c’est loin d’être mon truc.
Ce que j’aime chez Condor c’est qu’on semble avoir le même gout pour une certaine Westcoast. Un genre qui lorgnerait plus du côté de chez Kenny Loggins et David Foster que du côté de Steely Dan par exemple. On pense aussi à Chicago tellement les harmonies vocales sont soignées et que la voix de Thierry (assez particulière) est parfaite pour les compos proposées.
Déjà moi je dis que quand un opus s’ouvre sur le Heart To Heart de Loggins,McDonald, Foster, ça ne peut pas être un mauvais essai. D’autant plus que s’est parfaitement réussi avec un foisonnement de cuivres sublissime. Mais que dire également de Just Call avec l’apport de Jeff Lorber (un esthète du smooth jazz) qui la propose une Westcoast funkysante au groove chatoyant, j’adore ça. Après on se dit, tiens Chicago lui a refilé un vieux titre avec Love Will Rise And Fall mais pas du tout. On apprend que le compositeur Urs Wiesendanger a écrit le titre en hommage au 17 du combo de Robert Lamm et là on comprend mieux, que dire si ce n’est se délecter. Et puis on en reprend encore une dans la tronche avec Deeper Than The Night ou on retrouve la légende Tom Scott au sax. Le morceau est quand a lui MONSTRUEUX de classe. J’aurais pu évoquer le très David Fosterien, Hard to Say Goodbye en duo avec la compositrice Jery Lyne mais la ça serait peut-être un peu l’orgie. Et encore avec le magique Music Prayer For Peace qui m’a fait penser à du Sergio Mendes. Le seul tout petit mais tout petit bémol pourrait venir du fait qu’il y ait trop de balades sur la fin du cd même si au bout du compte elles sont quand même très réussies.
Franchement, cela m’arrive de la dire mais la si vous ne connaissez pas Thierry Condor, vous passez à coté de quelque chose de grand, de très grand musicalement parlant. Comme disais Simon and Garfunkel, tout du moins je crois, le chien aboie et El Condor passa…
Ps : la citation n’est pas véritablement vérifiée !!!!
Ce que j’aime chez Condor c’est qu’on semble avoir le même gout pour une certaine Westcoast. Un genre qui lorgnerait plus du côté de chez Kenny Loggins et David Foster que du côté de Steely Dan par exemple. On pense aussi à Chicago tellement les harmonies vocales sont soignées et que la voix de Thierry (assez particulière) est parfaite pour les compos proposées.
Déjà moi je dis que quand un opus s’ouvre sur le Heart To Heart de Loggins,McDonald, Foster, ça ne peut pas être un mauvais essai. D’autant plus que s’est parfaitement réussi avec un foisonnement de cuivres sublissime. Mais que dire également de Just Call avec l’apport de Jeff Lorber (un esthète du smooth jazz) qui la propose une Westcoast funkysante au groove chatoyant, j’adore ça. Après on se dit, tiens Chicago lui a refilé un vieux titre avec Love Will Rise And Fall mais pas du tout. On apprend que le compositeur Urs Wiesendanger a écrit le titre en hommage au 17 du combo de Robert Lamm et là on comprend mieux, que dire si ce n’est se délecter. Et puis on en reprend encore une dans la tronche avec Deeper Than The Night ou on retrouve la légende Tom Scott au sax. Le morceau est quand a lui MONSTRUEUX de classe. J’aurais pu évoquer le très David Fosterien, Hard to Say Goodbye en duo avec la compositrice Jery Lyne mais la ça serait peut-être un peu l’orgie. Et encore avec le magique Music Prayer For Peace qui m’a fait penser à du Sergio Mendes. Le seul tout petit mais tout petit bémol pourrait venir du fait qu’il y ait trop de balades sur la fin du cd même si au bout du compte elles sont quand même très réussies.
Franchement, cela m’arrive de la dire mais la si vous ne connaissez pas Thierry Condor, vous passez à coté de quelque chose de grand, de très grand musicalement parlant. Comme disais Simon and Garfunkel, tout du moins je crois, le chien aboie et El Condor passa…
Ps : la citation n’est pas véritablement vérifiée !!!!
Année:2016
Label:Niro Music
Production:Urs Wiesendange
Discographie : |
Tenderly (2007) Stuff Like That ( 2013) So Close (2016) |
Liens multimédia - videos | SITE OFFICIEL |
Notes des visiteurs : |
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