Le moins que l’on puisse dire c’est que le père Mike est prolifique en ce moment…
Après l’acoustique Cobblestone Street en 2013, Museum en 2014 et Nomad en 2015, il revient début 2017 avec ce nouvel opus Maybe Tomorrow . D’emblée, il nous séduit avec le single, l’enlevé Coming Home , équilibré à souhait avec des guitares acoustiques et électriques. Couplet et refrain imparables, le mix est parfait et… sa voix qu’on aime ou déteste fait le job… et la magie opère. Vous l’aurez compris, je suis fan du bonhomme. Si certains de ses albums solos sont quelque peu irréguliers, ils recèlent toujours 3 ou 4 morceaux qui sortent du lot. Ceux qui avaient été rebutés par les ambiances trop acoustiques de Cobblestone Street seront sûrement séduits par ce nouveau cru : ambiance roots et mélodique à souhait avec des bonnes guitares bien rock. Bref, un album idéal à écouter en voiture en sillonnant les routes américaines…
Les bons titres s’enchainent avec le solide it’s not how we do it … où sa voix, là encore fait merveille ; le son, comme je le disais, est bien équilibré et varié : un peu d’orgue Hammond en fond par ci, des guitares acoustiques et électriques, par-là, et la basse pas trop en avant mais bien distincte… Spring qui suit, est superbe aussi avec un refrain comme lui seul a le secret. L’ambiance retombe légèrement avec Would i lie to you mais remonte avec l’énergique et excellent Rust and Dust . Sur la deuxième partie de l’album apparaissent enfin les balades dans lesquelles Mike excelle : quand Time and Place déboule, superbe, elle donne des frissons avec cet arrangement piano/voix où l’immense timbre de mike ressort : le tout agrémenté de quelques violons mais discrets pour ne pas alourdir…J’en ai les larmes aux yeux…suivi encore par un superbe titre, un de mes préférés de l’album : What more can i say. Le feu d’artifice continue avec When even worry at all et se termine en beauté par la ballade qui donne son nom à l’album.
Bref un excellent cru 2017 pour Mike Tramp, et je n’hésite pas à le dire, un de ses meilleurs albums solo (son, compos, variété, tout y est…). L’orientation est clairement orienté vers le Bon Jovi « springsteenien » des années90 et cela n’est pas pour me déplaire : peu de temps faibles, une fois n’est pas coutume, ce qui renforce l’impression d’homogénéité de cet album que je recommande chaudement.
Les bons titres s’enchainent avec le solide it’s not how we do it … où sa voix, là encore fait merveille ; le son, comme je le disais, est bien équilibré et varié : un peu d’orgue Hammond en fond par ci, des guitares acoustiques et électriques, par-là, et la basse pas trop en avant mais bien distincte… Spring qui suit, est superbe aussi avec un refrain comme lui seul a le secret. L’ambiance retombe légèrement avec Would i lie to you mais remonte avec l’énergique et excellent Rust and Dust . Sur la deuxième partie de l’album apparaissent enfin les balades dans lesquelles Mike excelle : quand Time and Place déboule, superbe, elle donne des frissons avec cet arrangement piano/voix où l’immense timbre de mike ressort : le tout agrémenté de quelques violons mais discrets pour ne pas alourdir…J’en ai les larmes aux yeux…suivi encore par un superbe titre, un de mes préférés de l’album : What more can i say. Le feu d’artifice continue avec When even worry at all et se termine en beauté par la ballade qui donne son nom à l’album.
Bref un excellent cru 2017 pour Mike Tramp, et je n’hésite pas à le dire, un de ses meilleurs albums solo (son, compos, variété, tout y est…). L’orientation est clairement orienté vers le Bon Jovi « springsteenien » des années90 et cela n’est pas pour me déplaire : peu de temps faibles, une fois n’est pas coutume, ce qui renforce l’impression d’homogénéité de cet album que je recommande chaudement.
Label : |
Mighty Music / Target Group |
Sortie : | 2017 |
Production : | Soren Andersen/Mike Tramp |
Discographie : |
Capricorn (1997) |
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