Le génial guitariste m’avait enthousiasmé tant sur sur le dernier album Mr BIG que dans sa prestation au HELLFEST 2011.
Paul, qui est aussi connu pour sa participation dans RACER X, nous revient ici avec un nouvel album solo, le douzième en 2012, et je n’attendrai pas le 21/12 pour le chroniquer, pour des raisons que d’aucun comprendront !
Pour l’accompagner quelques pros : Tony Spinner au chant, Jeff Bowders à la batterie et Craig Martini à la basse. Sur les trois titres live qui cloturent la galette, ce sont Jeff Bowders (batterie) et Craig Martini (basse) qui assurent une rythmique impeccable. Les trois versions live ont été jouées lors d’un concert en hommage à Jim Marshall, avec Roundabout (Yes), I Want To Be Loved (Muddy Waters), et une étonnante version de Go Down (AC/DC) .
Autre reprise, mais cette fois ci en studio, Blue Rondo A La Turk, un classique Jazz des années 60 du pianiste Dave Brubeck, dans lequel la guitare se substitue astucieusement au saxophone d’origine. Dans les compositions originales, la deuxième partie est plutôt orientée jazz – fusion, comme The Pronghorn ou Roundabout (Yes), autant dire que cette partie là, un peu trop technique à mon gout, m’accroche moins que la première, dans laquelle je retiens surtout le flamboyant Enemies (In Jail) en entrée, et le formidable blues Bivalve Blues.
Ce douzième opus solo permet à Paul Gilbert de montrer l’étendue de sa culture musicale, très large, sans toutefois dérouter l’auditeur, la mélodie reste le fil conducteur qui embarquera sans problème les fans du maestro les plus ouverts aux styles abordés.
Pour l’accompagner quelques pros : Tony Spinner au chant, Jeff Bowders à la batterie et Craig Martini à la basse. Sur les trois titres live qui cloturent la galette, ce sont Jeff Bowders (batterie) et Craig Martini (basse) qui assurent une rythmique impeccable. Les trois versions live ont été jouées lors d’un concert en hommage à Jim Marshall, avec Roundabout (Yes), I Want To Be Loved (Muddy Waters), et une étonnante version de Go Down (AC/DC) .
Autre reprise, mais cette fois ci en studio, Blue Rondo A La Turk, un classique Jazz des années 60 du pianiste Dave Brubeck, dans lequel la guitare se substitue astucieusement au saxophone d’origine. Dans les compositions originales, la deuxième partie est plutôt orientée jazz – fusion, comme The Pronghorn ou Roundabout (Yes), autant dire que cette partie là, un peu trop technique à mon gout, m’accroche moins que la première, dans laquelle je retiens surtout le flamboyant Enemies (In Jail) en entrée, et le formidable blues Bivalve Blues.
Ce douzième opus solo permet à Paul Gilbert de montrer l’étendue de sa culture musicale, très large, sans toutefois dérouter l’auditeur, la mélodie reste le fil conducteur qui embarquera sans problème les fans du maestro les plus ouverts aux styles abordés.
Label : | Mascot Records |
Sortie : | 15/12/2012 |
Production : | Paul Gilbert |
Discographie : |
King of Clubs (1998) |
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Comments:
Commentaires
Un album de covers live aurait été mieux choisi pour ma part...et donc quelques compositions de plus dans le style de l'album appréciées. Belle chro !
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