Attention gros coup de cœur de cette fin d'année, et comme VanVelzen et Born Crain, grosse decouverte.
Ce jeune Américain en est pourtant à son quatrième album si on compte un EP sorti en 2005, mais j'avoue être totalement passé à côté de cet artiste. Je ne sais pas ce que donnent les précedents mais celui-ci vaut son pesant de cacahouètes. Quelle classe, quel brio, quel talent...Tant d'adjectif qui ne sont franchement pas galvaudés à l'écoute de cet opus qui frole la perfection. Attention, pas de grosse gratte électrique ici mais plutôt une pop aérée, acoustique en majorité mais sans tomber dans la mièvrerie ni dans une boite de Lexomil. Ce Under Summer Sun est une sorte de compilation qui reprend quelques titres des précédents albums agrémentés de 4 nouvelles chansons. Peu importe, je dirais, comme je ne connais pas les précédents... En tout cas le garçon nous délivre au long de ces 12 titres, un style folk avec des touches de soul à quoi je rajouterais une pointe de Westcoast à la EAGLES. La voix n'est d'ailleurs pas sans rappeller la grâce de DON HENLEY. Un mélange détonnant qui se traduit par des bombes atomiques comme Everything's Right, 5:19, Carolina, Marianne et Summer Sun pour ne citer que ceux-ci. Encore un artiste à mettre dans son panier à chaque fois qu'il va sortir un cd. Ca commence à faire beaucoup. Arretez les Ricains, mon porte monnaie ne vous a rien fait ! Je ne fais pas partie du scandale des sub prime et je n'ai pas voté Mc Cain aux dernières élections...
Si vous aimez la grâce de JADON LAVIK avec le talent de GAVIN DeGRAW, ce cd est pour vous.
Si vous aimez la grâce de JADON LAVIK avec le talent de GAVIN DeGRAW, ce cd est pour vous.
Label : | Republic |
Sortie : | 16/09/2008 |
Production : | Ed Cash |
Discographie : |
Somedays (2001) |
Liens multimédia - videos | SITE OFFICIEL | MYSPACE |
Notes des visiteurs :
Comments:
Commentaires
J'avais découvert à sa sortie son précédent opus, "Everything In Between". Donc, j'ai sauté sur le suivant. Idem, c'est le côté Jadon qui m'a attiré, un esprit que l'on pourrait retrouvé chez (le dernier) Matt White croisant la route du (dernier) Tyronne WELLS (pendant qu'on est dans les "W"). Ici, pas de surenchères d'instruments, des lignes d'instruments éthérées.
Gustativement on parlerait d'onctuosité. Pas de prises de tête et des mélodies accrocheuses, servies par une qualité d'interprétation et sonore comme j'aime. Donc, +1
Mais aussi je découvre que je commente une ancienne chronique, une toute moisie, un truc déterré. Pas grave, en fait je dis la même chose que mon ami Fab, album à posséder.
S’abonner au flux RSS pour les commentaires de cet article.