Je ne reviens pas sur l’historique du groupe, consultez les deux chroniques des précédents efforts, notamment celle de John Markus qui retrace leur déjà longue carrière. Le digipack est classieux, avec un beau graphisme dans des couleurs sombres avec une part de mystère qui encourage à glisser le CD dans le lecteur.
L’album s’ouvre sur un instrumental, Concealed, avec une intro à base de musique classique orchestrale, des notes électro viennent ensuite se greffer, conduisant à un mélange à la fois habile et surprenant. Mais c’est avec Outcast que l’on rentre dans le vif du sujet, où ‘on retrouve avec plaisir le chant de Marjolaine, qui contribue à l’originalité du son du groupe. La production n’a pas l’ampleur cinématographique d’un Nightwish, cela pourra gêner les amateurs de prod alambiquée, j’y trouve pour ma part mon compte, moins de moyens est ici synonyme de plus de spontanéité, mais ceci est évidemment une question de gouts, à chacun de voir si cela lui correspond ou pas.
Le rythme est moins speed que dans les précédents albums, encore que ça frappe sévère sur Ignited solo, qui nous vaut par ailleurs un solo de guitare très efficace. Après le riff agressif de Petrichor, Confined nous offre le titre le plus festif et enjoué de l’album, avec un refrain entêtant, mais aussi son lot de breaks, puisque c’est l’autre caractéristique du combo, une structure progressive qu’il faut savoir apprivoiser sur quelques écoutes pour en dompter toutes les subtilités, on devine un gros travail de composition derrière ces structures.
Dans la deuxième partie de l’album, le chant masculin de Nicolas le bassiste vient rehausser le chant féminin sur Delusion ou Hollow, le résultat est excellent, voilà une veine à si possible exploiter un peu plus sur les prochaines productions ! Le titre éponyme, le plus long des onze titres, Disclosure, clôture en beauté l’album avec un certain souffle épique.
L’album s’ouvre sur un instrumental, Concealed, avec une intro à base de musique classique orchestrale, des notes électro viennent ensuite se greffer, conduisant à un mélange à la fois habile et surprenant. Mais c’est avec Outcast que l’on rentre dans le vif du sujet, où ‘on retrouve avec plaisir le chant de Marjolaine, qui contribue à l’originalité du son du groupe. La production n’a pas l’ampleur cinématographique d’un Nightwish, cela pourra gêner les amateurs de prod alambiquée, j’y trouve pour ma part mon compte, moins de moyens est ici synonyme de plus de spontanéité, mais ceci est évidemment une question de gouts, à chacun de voir si cela lui correspond ou pas.
Le rythme est moins speed que dans les précédents albums, encore que ça frappe sévère sur Ignited solo, qui nous vaut par ailleurs un solo de guitare très efficace. Après le riff agressif de Petrichor, Confined nous offre le titre le plus festif et enjoué de l’album, avec un refrain entêtant, mais aussi son lot de breaks, puisque c’est l’autre caractéristique du combo, une structure progressive qu’il faut savoir apprivoiser sur quelques écoutes pour en dompter toutes les subtilités, on devine un gros travail de composition derrière ces structures.
Dans la deuxième partie de l’album, le chant masculin de Nicolas le bassiste vient rehausser le chant féminin sur Delusion ou Hollow, le résultat est excellent, voilà une veine à si possible exploiter un peu plus sur les prochaines productions ! Le titre éponyme, le plus long des onze titres, Disclosure, clôture en beauté l’album avec un certain souffle épique.
L’album de la maturité pour nos six musiciens, ce Disclosure trouvera très certainement son public chez les amateurs de métal power symphonique un brin progressif, c’est le message à divulguer !!
Label : | Brennus Music |
Sortie : | 02/02/2015 |
Production : | n/a |
Discographie : |
Nyx Secrets (2006) Non Omnis Moriar (2009) Underneath (2011) Disclosure (2015)
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