Nous avions vu que cet InDependence en question avait mis la barre très haut pour un premier album. Notre équipe de musiciens a du coup pris le temps, trois ans, pour nous concocter cet Extra … Balls avec le challenge de faire aussi bien ! Le line-up s’est un peu allégé puisque Bady, le 2eme guitariste s’en est allé, laissant Carvin assurer seul et comme un grand la six cordes, ce dernier ayant plus de temps à consacrer au groupe suite à l’arrêt d'Aesthesia.: Butcho (Watcha, Hellectrokuters) est toujours là au chant, et la rythmique est encore assurée par Pamyz (High-School Motherfuckers) et Stuffy (High-School Motherfuckers, Highlight Enemies), bref on ne change pas une équipe qui gagne, elle est simplement plus resserrée.
C'est le label Shotgun Generation qui concrétise à nouveau ce nouvel opus, dont la production.est impeccable.
Don’t let me down ouvre l’album en fanfare avec le son caractéristique du groupe, intact, et cette ambiance festive très glam. L’intensité monte d’un cran avec le hit Can’t stant the heartache qui en d’autres temps aurait fait le bonheur de MTV, ces quatre-là se font plaisir, et nous font plaisir en même temps. Les hits s’enchainent, Count 1.2.3 et son intro à la Telephone, ou le mid tempo Hey boy, Light & Wonders et Starlight queen avec son chouette solo sont autant d’hymnes en puissance. Une seule ballade au programme, Heaven & hell, qui ne dépareille pas !
Bref vous l’aurez compris, ce hard rock que l’on aurait en d’autres temps qualifié de US mais qui est bien made in France porte très haut l’étendard du glam sleaze, un album festif, véritable remède contre la morosité !
C'est le label Shotgun Generation qui concrétise à nouveau ce nouvel opus, dont la production.est impeccable.
Don’t let me down ouvre l’album en fanfare avec le son caractéristique du groupe, intact, et cette ambiance festive très glam. L’intensité monte d’un cran avec le hit Can’t stant the heartache qui en d’autres temps aurait fait le bonheur de MTV, ces quatre-là se font plaisir, et nous font plaisir en même temps. Les hits s’enchainent, Count 1.2.3 et son intro à la Telephone, ou le mid tempo Hey boy, Light & Wonders et Starlight queen avec son chouette solo sont autant d’hymnes en puissance. Une seule ballade au programme, Heaven & hell, qui ne dépareille pas !
Bref vous l’aurez compris, ce hard rock que l’on aurait en d’autres temps qualifié de US mais qui est bien made in France porte très haut l’étendard du glam sleaze, un album festif, véritable remède contre la morosité !
Label : | Shotgun Generation Records |
Sortie : | 2015 |
Production : | n/a |
Discographie : |
InDependence (2012) |
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