Toujours à la barre Mark Sweeney (ex-Crystal Ball) et Michael Voss (Michael Schenker, Casanova, Mad Max) nous proposent le troisième épisode des aventures de WOLFPAKK avec ce Rise Of The Animal, après Wolfpakk (2011) et Cry Wolf (2013). Le principe reste le même, de nombreux musiciens de grande classe sont invités.
Cela commence par une tourmente et un rythme très soutenu à la hauteur de la bourrasque de Riders Of The Storm dans laquelle Andy Deris (de Helloween) ouvre les hostilités vocales, Mark et Michael lui donnent ensuite la réplique, une superbe ouverture vocale mais aussi instrumentale ! Sock It To Me ralentit un peu le rythme, ouvert ce coup ci par Voss, l’invité ici n’est autre que Marc Storace de Krokus et son timbre bien identifiable, en milieu de morceau. Mid tempo toujours avec l’entrainant Monkey On Your Back, ouvert par Marc et Michael, alors que Ted Poley (Danger Danger) entonne un refrain fédérateur.
On s’envole ensuite vers les Highlands et ses superbes paysages, à bord Mr Joe Lynn Turner himself qui se charge du refrain , alors que des mélopées celtiques apportent un beau côté festif Le côté sombre de Black Wolf sied à merveille à Rick Altzi (Masterplan) qui ouvre le titre puis prend le refrain. Sur le superbe Somewhere Beyond, un des titres les plus hymniques de la galette, David Reece (ex-Accept) ne fait que deux interventions, mais décisives, alors que la double pédale s’emballe. Don Dokken prend le relais sur le refrain très accrocheur de. Running Out Of Time, au rythme toujours soutenu.
Charlie Huhn (Foghat/, ex-Gary Moore) ouvre et joue le rôle du Grizzly Man ! Pas d’invité vocal sur les lignes vocals de High Roller, que Mark et Michael se partagent, tandis que Martin Rauber vient échanger un solo de guitare avec Michael.*
Autre point fort de l’album, l’éponyme Rise Of The Animal, titre épique de plus de 8mn, magnifié par l’éblouissant Michel Kiske, et de beaux échanges de soli guitares d’Axel Rudi Pell, Martin Rauber et claviers de Chris Ivo (Jaded Hear), superbe !
La galette se referme sur Universe, titre avec les seules et belles lignes vocales féminines de l’album, celles de Michaela Schober, et des chœurs très soignés aux accents queeniens.
Au final encore un album sans faute, rien à jeter, de l’excellence, sans surprises, mais très excitant, contribuant à un début d’année tonitruant
Cela commence par une tourmente et un rythme très soutenu à la hauteur de la bourrasque de Riders Of The Storm dans laquelle Andy Deris (de Helloween) ouvre les hostilités vocales, Mark et Michael lui donnent ensuite la réplique, une superbe ouverture vocale mais aussi instrumentale ! Sock It To Me ralentit un peu le rythme, ouvert ce coup ci par Voss, l’invité ici n’est autre que Marc Storace de Krokus et son timbre bien identifiable, en milieu de morceau. Mid tempo toujours avec l’entrainant Monkey On Your Back, ouvert par Marc et Michael, alors que Ted Poley (Danger Danger) entonne un refrain fédérateur.
On s’envole ensuite vers les Highlands et ses superbes paysages, à bord Mr Joe Lynn Turner himself qui se charge du refrain , alors que des mélopées celtiques apportent un beau côté festif Le côté sombre de Black Wolf sied à merveille à Rick Altzi (Masterplan) qui ouvre le titre puis prend le refrain. Sur le superbe Somewhere Beyond, un des titres les plus hymniques de la galette, David Reece (ex-Accept) ne fait que deux interventions, mais décisives, alors que la double pédale s’emballe. Don Dokken prend le relais sur le refrain très accrocheur de. Running Out Of Time, au rythme toujours soutenu.
Charlie Huhn (Foghat/, ex-Gary Moore) ouvre et joue le rôle du Grizzly Man ! Pas d’invité vocal sur les lignes vocals de High Roller, que Mark et Michael se partagent, tandis que Martin Rauber vient échanger un solo de guitare avec Michael.*
Autre point fort de l’album, l’éponyme Rise Of The Animal, titre épique de plus de 8mn, magnifié par l’éblouissant Michel Kiske, et de beaux échanges de soli guitares d’Axel Rudi Pell, Martin Rauber et claviers de Chris Ivo (Jaded Hear), superbe !
La galette se referme sur Universe, titre avec les seules et belles lignes vocales féminines de l’album, celles de Michaela Schober, et des chœurs très soignés aux accents queeniens.
Au final encore un album sans faute, rien à jeter, de l’excellence, sans surprises, mais très excitant, contribuant à un début d’année tonitruant
Label : | AFM |
Sortie : | 27/02/2015 |
Production : | Voss / Sweeney |
Discographie : |
Liens multimédia - videos | SITE OFFICIEL |
Notes des visiteurs : |
Comments:
Lire la suite...