Dixième opus pour ce combo Anglais de Hard Rock, né en 1989, et, originaire de Londres.
Formé autour du guitariste Luke Morley, et, du chanteur Danny Bowes, tous deux ex-Terraplane, le groupe se compose, aussi, du batteur Gary James, du clavier Ben Matthews, et, enfin, du bassiste Mark Luckhurst. Leur premier album, qui a pour titre Back Street Symphony, produit par Andy Taylor ( Duran, Duran), sort chez EMI, en 1990, et, permet au groupe d'effectuer une apparition remarquée au Monster Of Rock de Donnington, en Angleterre. Le deuxième opus, intitulé Laughing On Judgement Day, sort en 1992, et, atteindra la deuxième place des charts Anglais. 1993, départ du bassiste Mark Luckhurst, qui se fait remplacer par Mikael Hoglund. Le troisième épisode, Behind Close Doors, sorti en 1995, se classe à la cinquième place des hit-parades Britanniques. Après la sortie de The Thrill Of It All, en 1996, nouveau turn over concernant le bassiste Mikael Hoglund, remplacé par Chris Child en 1997. Le cinquième album, Giving The Game Away sort en 1999, et, le groupe décide de tout arreter. Il faut attendre 2002, avant de revoir Thunder, sur scène, à Donnington, et, 2003, pour leur retour discographique avec Shooting At The Sun. En 2005, le groupe entre dans le Top 30 des productions Hard Rock Internationnales, avec The Magnificent Seventh. En 2006, sort Robert Johnson's Tombstone, et, en 2007, le groupe se lance dans une vaste tournée Européenne. 2008, sortie de Bang, puis, le groupe décide, une deuxième fois, de stopper leurs activités, le 1er Aout 2009, après leur prestation au Sonisphère Festival de Knebworth.
2015, Thunder renait de ses cendres, et, nous revient avec ce Wonder Days.
Dès l'entame, le ton est donné avec Wonder Days, le morceau éponyme de l'album. Un titre Zeppelinien, façon Black Dog, qui permet à Danny Bowes de placer sa voix haute et puissante, et, à Luke Morley, de distiller un chorus en forme de hennissement de cheval. Meme approche Zeppelinienne sur Chasing Shadows, avec son coté The Océan, ainsi que sur le rapide I Love The Week End, aussi alerte que le Rock'n'Roll du Led Zeppelin IV. En tout aussi rapide, on se régale sur le riff galopant de The Prophet qui présente quelques similitudes avec le Barracuda du groupe Heart, mais, aussi, sur le boogie bluesy de Serpentine, avec son bon gimmick vocal, et, son refrain fédérateur. En un peu moins rapide, mais, tout aussi soutenu, on tape du pied sur The Thing I Want, à mi chemin entre AC/DC, et, les Who, avec son chorus torturé, mais, aussi, sur Black Water, mélange de Queen, et, Deep Purple, avec un excellent refrain, ou, encore, sur When The Music Played, avec son alternance de climat façon Black Sabs. En plus enlevé, on trouve, Resurrection Day, avec son coté Angel City, ainsi que Broken avec son chorus très aérien. Enfin, les Anglais nous gratifient d'une belle ballade intitulée The Rain, agrémentée d'un chorus de mandoline bien mélodique. Bref, vous l'aurez compris, voilà un disque très homogène, parfaitement produit, et, qui s'écoute très agréablement.
Retour gagnant, donc, pour ces talentueux Thunder, au style vintage qui apporte un petit vent de fraicheur, pas désagréable, sur la scène Old School internationale. Alors, si ,vous aussi, vous aimez les références citées précédemment, cet album est pour vous.
2015, Thunder renait de ses cendres, et, nous revient avec ce Wonder Days.
Dès l'entame, le ton est donné avec Wonder Days, le morceau éponyme de l'album. Un titre Zeppelinien, façon Black Dog, qui permet à Danny Bowes de placer sa voix haute et puissante, et, à Luke Morley, de distiller un chorus en forme de hennissement de cheval. Meme approche Zeppelinienne sur Chasing Shadows, avec son coté The Océan, ainsi que sur le rapide I Love The Week End, aussi alerte que le Rock'n'Roll du Led Zeppelin IV. En tout aussi rapide, on se régale sur le riff galopant de The Prophet qui présente quelques similitudes avec le Barracuda du groupe Heart, mais, aussi, sur le boogie bluesy de Serpentine, avec son bon gimmick vocal, et, son refrain fédérateur. En un peu moins rapide, mais, tout aussi soutenu, on tape du pied sur The Thing I Want, à mi chemin entre AC/DC, et, les Who, avec son chorus torturé, mais, aussi, sur Black Water, mélange de Queen, et, Deep Purple, avec un excellent refrain, ou, encore, sur When The Music Played, avec son alternance de climat façon Black Sabs. En plus enlevé, on trouve, Resurrection Day, avec son coté Angel City, ainsi que Broken avec son chorus très aérien. Enfin, les Anglais nous gratifient d'une belle ballade intitulée The Rain, agrémentée d'un chorus de mandoline bien mélodique. Bref, vous l'aurez compris, voilà un disque très homogène, parfaitement produit, et, qui s'écoute très agréablement.
Retour gagnant, donc, pour ces talentueux Thunder, au style vintage qui apporte un petit vent de fraicheur, pas désagréable, sur la scène Old School internationale. Alors, si ,vous aussi, vous aimez les références citées précédemment, cet album est pour vous.
Label : | earMUSIC |
Sortie : | 2015 |
Production : | n/a |
Discographie - bibliographie |
Liens multimédia - videos | SITE OFFICIEL |
Notes des visiteurs : |
Comments:
Commentaires
Danny Bowes, le chanteur du groupe Thunder, ayant contracté une infection virale, il n’est pas en mesure de chanter ce soir.
C’est donc avec regret que le groupe se voit dans l’obligation d’annuler le concert de ce soir au Divan du Monde, Paris.
Thunder présente ses excuses à tous ceux et celles qui ont acheté des billets et espère pourvoir reprogrammer le concert bientôt. Vous pouvez vous faire rembourser vos billets auprès du point de vente dans lequel l’achat a été effectué, ou le conserver, il restera valable en cas de nouvelle date.
A l’heure actuelle, le groupe maintient les autres concerts prévus ce mois-ci, et publiera un communiqué mis à jour demain.
Quelle surprise de revoir dans les bacs un nouvel album de Thunder! Je les avais presque oubliés.
Mon dernier souvenir remonte à Robert Johnston’s Tombstone sorti en 2006. J’avais complètement zappé leur dernier sorti en en 2008 intitulé Bang.
Alors d’abord, la pochette est à l’image des musiciens remplis de sincérité et de simplicité. Un petit côté seventies qui n’est pas sans me déplaire et ne trompera personne dans son contenu.
Ce groupe dans la pure tradition des fameux British Hard rock band comme Bad Co, Led Zep, UFO, Deep Purple et bien d’autres, sait encore proposer des superbes chansons de qualité. Ils sentent bon le Hard rock tenté de blues.
D’ailleurs dès les premières secondes de Wonder Days, on est tout de suite conquis. J’ai toujours adoré l’association Morley/Bowes qui est comme Page/Plant indissociable. Des harmonies magiques et entrainantes avec des bons riffs bien emmenés. Thunder remet le couvert sur un deuxième titre avec un bon rock qui passe très bien. C’est simple et efficace. Après on a Rain, la première ballade de l’album. Elle a un petit côté folk et cela donne un effet intéressant. Black water sonne superbement bien avec un mid tempo qui sied bien à Thunder, enchainant avec Résurrection Day proche du U2 des années 80.
Laissons de côté Chasing windows qui est une chanson moyenne pour parler de Broken. Une belle ballade comme on les aime, avec plein de feeling et d’émotion. When the music played me fait penser à UFO période No place to run. Et quelle superbe fin, inattendue, et cela donne un effet bien ciselé. Quel talent. Autre facette des Thunder avec Serpentine ce titre est plus country Rock sudiste avec une petite accélération à la ZZ top, musclé à la sauce Blackfoot, qui est fort bien exécuté.
Le dernier titre I love the week-end, très rock n’ roll me fait penser au rock ‘n roll de Led zep, ou à Triumph. Idéal si vous avez des notions de danse et envie de faire bouger votre moitié.
Pour ceux qui ne connaissent pas Thunder je leur recommande chaudement cet album.
Il est vitalisant pour les oreilles et donne de bonnes vibrations. Pour les amoureux du Bon Hard Rock Bluesy, n’hésitez pas… foncez l’acheter.
S’abonner au flux RSS pour les commentaires de cet article.