Après The Cage paru en 1999, puis The Cage 2 sorti en 2002, les voici de retour, en 2012, avec cette Troisième Cage.
Dés l'entame, avec Wicked World (rien à voir avec le titre du Sabs paru en 1970), on est happé par un essaim d'abeille qui bourdonne et qui se disperse avec l'arrivée d'un tempo heavy sur lequel Dario Mollo construit un riff bien plombé style Black Sabbath. La voix, d'abord, grave de Tony Martin vient se greffer dessus avant de s'envoler vers des notes plus hautes au moment du refrain. Même approche avec des titres tels que Cirque Du Freak avec son riff très British, ses effets spéciaux et son chorus efficace, ainsi que le très Oriental Still In Love With You qui sonne très Deep Purple, ou, enfin, Wardance avec son riff haché et son chorus incisif. En plus enlevé on trouve Can't Stay Here avec ses sonorités Funky et son coté Led Zep, mais aussi Blind Fury avec son riff très sidérurgique, son petit coté progressif et son chorus bien aiguisé.
Le duo nous propose également deux incartades FM, façon Van Halen, avec One Of The Few et son final bizarroïde ou encore Don't Know What It Is About You avec son riff tendu, ses chœurs aériens, et son chorus mélodique. Enfin, on a droit à deux ballades proches du Kashmir de Led Zep avec Oh My Soul et Violet Moon qui permettent à Tony Martin de mieux nuancer sa voix. Bref, voilà un album de Hard Rock somme toute classique, simple et carré bien servi par deux musiciens talentueux.
On pourrait dire, un simple album de plus à l'actif de notre tandem, car, malheureusement, la qualité des compositions semble, quelque peu, manquer de souffle. Tout au long de l'album, on attend désespérément ce refrain accrocheur qui nous prend aux tripes et qui ne nous lâche plus. En fait, c'est comme si, (et ce n'est qu'une supposition), au moment de composer ou d'enregistrer l'album, Dario aurait dit à Tony: " Vas-y Mollo, Martin! "
Dés l'entame, avec Wicked World (rien à voir avec le titre du Sabs paru en 1970), on est happé par un essaim d'abeille qui bourdonne et qui se disperse avec l'arrivée d'un tempo heavy sur lequel Dario Mollo construit un riff bien plombé style Black Sabbath. La voix, d'abord, grave de Tony Martin vient se greffer dessus avant de s'envoler vers des notes plus hautes au moment du refrain. Même approche avec des titres tels que Cirque Du Freak avec son riff très British, ses effets spéciaux et son chorus efficace, ainsi que le très Oriental Still In Love With You qui sonne très Deep Purple, ou, enfin, Wardance avec son riff haché et son chorus incisif. En plus enlevé on trouve Can't Stay Here avec ses sonorités Funky et son coté Led Zep, mais aussi Blind Fury avec son riff très sidérurgique, son petit coté progressif et son chorus bien aiguisé.
Le duo nous propose également deux incartades FM, façon Van Halen, avec One Of The Few et son final bizarroïde ou encore Don't Know What It Is About You avec son riff tendu, ses chœurs aériens, et son chorus mélodique. Enfin, on a droit à deux ballades proches du Kashmir de Led Zep avec Oh My Soul et Violet Moon qui permettent à Tony Martin de mieux nuancer sa voix. Bref, voilà un album de Hard Rock somme toute classique, simple et carré bien servi par deux musiciens talentueux.
On pourrait dire, un simple album de plus à l'actif de notre tandem, car, malheureusement, la qualité des compositions semble, quelque peu, manquer de souffle. Tout au long de l'album, on attend désespérément ce refrain accrocheur qui nous prend aux tripes et qui ne nous lâche plus. En fait, c'est comme si, (et ce n'est qu'une supposition), au moment de composer ou d'enregistrer l'album, Dario aurait dit à Tony: " Vas-y Mollo, Martin! "
Label : | Frontiers Records |
Sortie : | 01/2010 |
Production : | n/a |
Discographie : |
The Cage (1999) |
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Comments:
Commentaires
Plutôt d'accord avec vous, pas exceptionnel, mais de bons moments quand même, Martin reste au top, même s'il y va parfois mollo ! lol ! Et il y a quelques bon titres acrocheurs comme le One Of The Few de la video.
4/5 pour moi
Belle chronique qui résume bien l'album !
Tchuss
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