Merci l’ami je te l’offre à toi et … aux lectrices et lecteurs du site Œuf course !
Petit aveu, avec ce groupe je débarque en terre inconnue. Achetant les albums par centaines chaque année, j’y laisse forcément des plumes. Ajoutons à cela que je suis tellement con que je ne télécharge pas !!! Désolé con ou honnête j’ai choisi mon camp. Fort inspiré par le look, le nom et les premiers extraits, j’ai voulu faire rentrer ce groupe dans mon univers. Avec un Ep et maintenant trois albums en sus, ce groupe se forge une réelle existence. Pourtant les chroniques de Prof « himself » aurait dû me convaincre mais le porte-monnaie a ses raisons que mon banquier ne connaît point.
Je pensais débarquer dans un univers à la croisée de Crashdiet et Reckless Love, pur délit de faciès. L’influence première serait à rechercher du côté d’un groupe comme KIX. Ça pulse par tous les pores de mes enceintes. D’ailleurs quand on y pense la musique c’est une affaire de … Trous.
Ne soyez pas perplexe, couchez les enfants ; je plaisante ! Je suis soft. Et je développe, la musique rentre pas les ouïes … Des trous et après selon l’accroche qu’on en a positive, elle ressort par vos pores (pleins de petits trous) et vous pouvez pérorer dessus (la bouche – un trou) ou au contraire c’est à gerber, à ch#er (encore des trous). Mais là c’est de Qualité avec un « Q » une lettre pas un trou !
Un album qui flatte très souvent ma platine, déjà parce que je ne peux pas écrire une chro’ si je ne suis pas totalement imprégner de la musique à développer et aussi parce qu’il développe un style et un genre que j’affectionne.
Autre détail de la musique, dans sa forme elle pourrait se résumer ainsi : à jeter (que je ne développerai pas) et de ,deux types : de salon ou de concerts ; je dirai (pour faire court) que Richard Marx est de salon et que Crazy Lixx est de concert, surtout en ce qui concerne cet album qui me donne envie en entendre plus ! L’arrivée de cette seconde guitare vient donner une puissance qui devait manquer cruellement pour mettre ce groupe dans le haut du panier, action prise ; écoutez !
Les titres défilent et l’album semble court au possible, les guitares jouent à l’unisson, le cœur poumon basse – batterie vous fait palpiter dans le rouge, une transe type Live. Le seul point noir pourrait être la voix, car pour ce genre de livraison il faut un braillard et c’est là aussi ou le point commun avec KIX, un pur clin d’œil. Pour le genre on se surprend à entendre l’essence des kangourous les plus connus du rock, des grattes jumelles ou tierces à la TESLA comme sur le Downtown, des titres d’une puissance atomique, on glisse le Cd dans la platine et si jamais vous aviez tendance à mettre un peu trop de son ; attention ! C’’est un tsunami qui va s’inviter dans votre salon. Petit rappel, le salon n’est pas un endroit de concert. In The Night le morceau parfait pour emmerder ses voisins. C’est dans des moments comme ça qu’on voudrait vivre en immeuble avecdes voisins cons et une sono digne de stade pour son petit salon afin d’envoyer les décibels et décoller le crépis. Dans ce style les titres font légions à commencer par l’ouverture d’album Whiskey Tango Foxtrot ou on appréciera les chœurs digne de l’école Def Lep, transformant tout méga rock pulsé en hymne. Le groupe navigue entre Hard U.S et Sleaze avec des réminiscences d’accents glamouilles ; mais … s’assoit dans le siège du bon gros Hard Rock qui tache sans laisser de trace, un fer de lance du genre. Bonne nouvelle pour les amateurs de concerts bières et perfecto graissé, ici pas de clavier pour transformer la zique en réunion de bien coiffé avec polo rose. Amateur de pop à deux balles.
L’album est livré avec sa dosette de testostérone, et son sachet de fausses burnes. De la musique à écouter avec ses tiaggs et autres chaussures fermées sans … trous (désolé !) même en plein été, ou ça « scrognotte » des pinceaux, pas de la musique pour porteurs de tongs et short à fleurs !
Quelques tempos plus retenus comme sur Fire It Up, Church Of Rock, Heatseeker mais avec leurs instrumentations et la voix de Danny on garde l’âme de Riot Avenue. Ces chœurs je ne vous dirait jamais assez ce qu’ils amènent comme puissance. Comme sur Sweet, Bad & Beautifull.
Chaque morceau mériterait sa dose de louange et sa diatribe associée ; le saucissonnage made by Maënora. Un groupe qui me fait penser également à mes amis d’Harmonic Generator. Vous verrez bientôt de quoi je parle ;-)
Sur chaque morceau il y a ces changements de rythmes, de ponts vous permettant de ne jamais zapper le titre, des enchainements rapides avec un énorme travail sur chaque refrain. Un côté Twisted Sister ?
Only The Dead Know, la ballade pour clôturer l’album qui a un double avantage, démontrer que ses mecs savent composer sans remplissage et que Danny à une palette vocale qu’il pourra et devra plus travailler dans le temps, car si il y a par moments les grattes à la TESLA, il y a aussi du Keith dans sa voix.
2012, le groupe est encore jeune, très prometteur, déjà très performant et avec encore de bien belles années devant lui. ? Mais maintenant son destin passe aussi par vos trous, Ouvrez vos trous … Maënora arrive. Lecteur … Tu sors ! Lectrice je viens t’en mettre pleins les oreilles. Merci qui ?
Je tiens à ce jour mon album Hard Rock 2012 ! Ainsi qu’une des pochettes de l’année, vous ne trouvez pas ? Pour finir, si la reine des chroniqueuses me lit … ;-) entends-tu les notes à travers ses lignes ;-D ?
Petit aveu, avec ce groupe je débarque en terre inconnue. Achetant les albums par centaines chaque année, j’y laisse forcément des plumes. Ajoutons à cela que je suis tellement con que je ne télécharge pas !!! Désolé con ou honnête j’ai choisi mon camp. Fort inspiré par le look, le nom et les premiers extraits, j’ai voulu faire rentrer ce groupe dans mon univers. Avec un Ep et maintenant trois albums en sus, ce groupe se forge une réelle existence. Pourtant les chroniques de Prof « himself » aurait dû me convaincre mais le porte-monnaie a ses raisons que mon banquier ne connaît point.
Je pensais débarquer dans un univers à la croisée de Crashdiet et Reckless Love, pur délit de faciès. L’influence première serait à rechercher du côté d’un groupe comme KIX. Ça pulse par tous les pores de mes enceintes. D’ailleurs quand on y pense la musique c’est une affaire de … Trous.
Ne soyez pas perplexe, couchez les enfants ; je plaisante ! Je suis soft. Et je développe, la musique rentre pas les ouïes … Des trous et après selon l’accroche qu’on en a positive, elle ressort par vos pores (pleins de petits trous) et vous pouvez pérorer dessus (la bouche – un trou) ou au contraire c’est à gerber, à ch#er (encore des trous). Mais là c’est de Qualité avec un « Q » une lettre pas un trou !
Un album qui flatte très souvent ma platine, déjà parce que je ne peux pas écrire une chro’ si je ne suis pas totalement imprégner de la musique à développer et aussi parce qu’il développe un style et un genre que j’affectionne.
Autre détail de la musique, dans sa forme elle pourrait se résumer ainsi : à jeter (que je ne développerai pas) et de ,deux types : de salon ou de concerts ; je dirai (pour faire court) que Richard Marx est de salon et que Crazy Lixx est de concert, surtout en ce qui concerne cet album qui me donne envie en entendre plus ! L’arrivée de cette seconde guitare vient donner une puissance qui devait manquer cruellement pour mettre ce groupe dans le haut du panier, action prise ; écoutez !
Les titres défilent et l’album semble court au possible, les guitares jouent à l’unisson, le cœur poumon basse – batterie vous fait palpiter dans le rouge, une transe type Live. Le seul point noir pourrait être la voix, car pour ce genre de livraison il faut un braillard et c’est là aussi ou le point commun avec KIX, un pur clin d’œil. Pour le genre on se surprend à entendre l’essence des kangourous les plus connus du rock, des grattes jumelles ou tierces à la TESLA comme sur le Downtown, des titres d’une puissance atomique, on glisse le Cd dans la platine et si jamais vous aviez tendance à mettre un peu trop de son ; attention ! C’’est un tsunami qui va s’inviter dans votre salon. Petit rappel, le salon n’est pas un endroit de concert. In The Night le morceau parfait pour emmerder ses voisins. C’est dans des moments comme ça qu’on voudrait vivre en immeuble avecdes voisins cons et une sono digne de stade pour son petit salon afin d’envoyer les décibels et décoller le crépis. Dans ce style les titres font légions à commencer par l’ouverture d’album Whiskey Tango Foxtrot ou on appréciera les chœurs digne de l’école Def Lep, transformant tout méga rock pulsé en hymne. Le groupe navigue entre Hard U.S et Sleaze avec des réminiscences d’accents glamouilles ; mais … s’assoit dans le siège du bon gros Hard Rock qui tache sans laisser de trace, un fer de lance du genre. Bonne nouvelle pour les amateurs de concerts bières et perfecto graissé, ici pas de clavier pour transformer la zique en réunion de bien coiffé avec polo rose. Amateur de pop à deux balles.
L’album est livré avec sa dosette de testostérone, et son sachet de fausses burnes. De la musique à écouter avec ses tiaggs et autres chaussures fermées sans … trous (désolé !) même en plein été, ou ça « scrognotte » des pinceaux, pas de la musique pour porteurs de tongs et short à fleurs !
Quelques tempos plus retenus comme sur Fire It Up, Church Of Rock, Heatseeker mais avec leurs instrumentations et la voix de Danny on garde l’âme de Riot Avenue. Ces chœurs je ne vous dirait jamais assez ce qu’ils amènent comme puissance. Comme sur Sweet, Bad & Beautifull.
Chaque morceau mériterait sa dose de louange et sa diatribe associée ; le saucissonnage made by Maënora. Un groupe qui me fait penser également à mes amis d’Harmonic Generator. Vous verrez bientôt de quoi je parle ;-)
Sur chaque morceau il y a ces changements de rythmes, de ponts vous permettant de ne jamais zapper le titre, des enchainements rapides avec un énorme travail sur chaque refrain. Un côté Twisted Sister ?
Only The Dead Know, la ballade pour clôturer l’album qui a un double avantage, démontrer que ses mecs savent composer sans remplissage et que Danny à une palette vocale qu’il pourra et devra plus travailler dans le temps, car si il y a par moments les grattes à la TESLA, il y a aussi du Keith dans sa voix.
2012, le groupe est encore jeune, très prometteur, déjà très performant et avec encore de bien belles années devant lui. ? Mais maintenant son destin passe aussi par vos trous, Ouvrez vos trous … Maënora arrive. Lecteur … Tu sors ! Lectrice je viens t’en mettre pleins les oreilles. Merci qui ?
Je tiens à ce jour mon album Hard Rock 2012 ! Ainsi qu’une des pochettes de l’année, vous ne trouvez pas ? Pour finir, si la reine des chroniqueuses me lit … ;-) entends-tu les notes à travers ses lignes ;-D ?
Label : | Frontiers Records |
Sortie : | 24/04/2012 |
Production : |
Discographie : |
Heroes Are Forever - EP (2006) |
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Comments:
Commentaires
Chro intéressante qui, comme toujours lorsque c'est signé Maënora, donne envie d'écouter l'album Mes ouïes se laisseront-elles tenter ??? A suivre ...
Pendant ce temps, Maënora fait des trous, encore des p'tits trous...
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