Un petit article pour reprendre et pour j’espère solder une bonne fois pour toutes les sorties AOR ou Hard FM de l’année 2017. Ce ne sont pas des incontournables mais dans l’ensemble des bons albums très agréables dans leur globalité.
On commence par Darren Phillips Project et ce Volume One.
Cet album est un peu sur le principe des Voices Of Rock ou de Shinning Line, un mélange de différents musiciens pour arriver à un résultat qui se veut intéressant même si la qualité est assez disparate. Alors sans être exhaustif on retrouvera ici Michael Palace (qui est à peu près partout), Dennis Ward, le guitariste de White Widdow Enzo Almanzi, Robbie Lablanc vocaliste de Find Me et de Blanc Faces et Jace Pawlak. Il y a vraiment de très bons morceaux sur ce Volume One comme Ready To Fly qui ouvre l’opus magistralement ou I Believe ou la voix de Lablanc fait comme toujours merveille. Je suis moins fan de titre plus rock et moins mélodique comme Heartbreaker mais ça reste la minorité ici. Dans l’ensemble c’est plutôt bien foutu passant de genres à la White Widdow ou la Harem Scarem à des choses plus soft mais ça tient bien la route. Un album qui s’écoute avec la banane !!
Le second album dont je vais parler est celui de Lionheart avec Second Nature sorti chez AOR Heaven. Ce label devient le spécialiste pour déterrer des groupes car après Da Vinci c’est au tour des Anglais de Lioneheart de sortir un essai 37 ans après le premier Hot Tonight qui date de 1984 !!! Réédité il y a peu j’avais découvert et chroniqué ce premier album en tout point excellent et dont je vous recommande grandement l’acquisition. Je ne serais pas aussi catégorique avec celui-ci car même si il y a des bons titres comme Give Me The Light ou la reprise de Chris De Burgh Don’t Pay The Ferryman , il y a aussi d’autres morceaux typique du mouvement NWOBHM , mouvement qui reprenait tous les groupes Anglais du début des années 80 ou on retrouvait entre autre Praying Manrtis , Saxon et même Iron Maiden, et qui ne sont pas ma tasse de thé trop typé hard rock classique et un brin daté comme avec 30 Years. Le line up est identique par rapport à celui de 1984 avec l’apport du vocaliste Lee Small qui avec son timbre à la Glenn Hughes donne du cachet aux titres ou pas !!!Comme avec le contenu, il souffle le chaud et le froid et m’emballe souvent et m horripile aussi souvent. Un album qui est loin d’être catastrophique mais qui est un peu bancal. A noter sur la sortie Japonaise une reprise horrible du Paper Back Writer des Beatles.
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Autre combo Anglais toujours chez Aor Heaven mais qui eux sortent leur premier album. Le groupe c’est Midnite City ou on retrouve le vocaliste de Tigertailz Rob Wylde mais aussi le batteur Pete Newdeck qui bosse entre autre pour Newman le tout masterisé par Harry Hess d’Harem Scarem. Le résultat est plutôt pas mal si ce n’est la voix du chanteur un peu trop nasillarde à mon gout et que j’aurais bien vu remplacer par un type comme Ted Poley qui aurait excellé sur des titres comme Summer Of Our Lives, Last Beat Of My Heart ou Can ’t Wait For The Nights. Je parlais de Ted Poley car bien que le groupe soit Anglais leur musique sonne bien US et rappelle le Danger Danger dernière mouture ou The Défiants. La production est peut être un brin faiblarde et je pense qu’avec un côté « grosse Bertha » derrière la console, cet album aurait été un des meilleurs de 2017.
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Dernier album de cette petite bafouille avec la aussi un premier album et la aussi chez Aor Heaven qui a fait un beau tir groupé en fin d’année dernière. Le groupe est cette fois ci Suédois et se nomme Wildness. Si vous aimez le hard FM rutilant, très mélodique avec un gros son, bref dans une grande tradition Nordique, alors foncez vite sur cet album pour le moins sympathique. C’est pas d’une originalité sans faille mais ça vaut quand même qu’on y jette les deux oreilles. Quand je vous aurais dis qu’Erik Wigelius est derrière ce projet, vous verrez vers quoi on tend. Ca claque fort avec des titres très percutants et de qualité comme Stranger, Alibi ou Collide. Ça manque peut-être un peu de touches personnelles mais ça reste du tout bon car ici pas de titres à jeter. Tout est du même acabit et pour un premier album c’est plutôt réussi et mérite qu’on en parle.
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