Loverboy fait partie des légendes du Hard FM et de l’AOR.
Ils ont étés les premiers à représenter le Canada dans ce style de musique bien avant les Honeymoon Suite, Haywire ou autre Harem Scarem. Dans les années 80, ils ont étés des mégas stars vendant des albums à la pelle et pondant des hits comme Working For A Week End ou bien Hot Girls In Love. Ils ont participés à bon nombres de BO et Mike Reno le chanteur a souvent été demandé pour des duos. Ce groupe a bercé ma jeunesse mais je n’ai jamais été totalement enthousiasmé par la totalité de leur discographie. Wildside en 1987 était pour moi leur meilleur album mais c’était aussi une des premières fois ou ils faisaient appel à des compositeurs extérieurs comme Jim Vaillance et Bryan Adams ou même Bon Jovi. Puis ce fut le trou d’air avec l’arrivée des années 90 jusqu’au retour raté de VI qui était une pure bouse. Just Getting Started en 2007 frappait fort et juste. Le groupe en pleine forme revenait avec sans doute leur meilleur album avec des nouveaux titres et un style plus pop qu’avant mais qui leur allait parfaitement. Et puis repatatras avec Rock’n Roll Revival en 2012 qui proposait des nouveaux titres et d’autres réenregistrés. Résultat une bouillie informe à la limite de l’audible.
C’est donc avec une certaine appréhension que j’abordais cet Unfinished Business. D’autant plus que cet album était présenté comme des chutes de studios et que les critiques n’étaient pas très bonnes. La surprise fut donc agréable par rapport à ce à quoi je m’attendais. Si on veut bien se replonger dans les années 80, cet Unfinished est un bon album de Loverboy. Le son est correct et surtout les titres sont dans l’ensemble de qualité. Bon il y a quand même pour être honnête une ou deux daubasse avec en tête de pont l’exécrable Slave qui peut déclencher chez moi une envie de casser la chaine. Pour le reste on passe du très bon au bon. Le très bon est plutôt en début de cd avec Fire Me Up, Countin The Nights ou bien Ain ’t Such A Bad Thing. Les titres semblent avoir été enregistrés à des époques différentes puisqu’on retrouve encore le regretté Scott Smith sur quelques morceaux. Un petit revival ne fait pas de mal. Moi en tout cas j’aime me replonger dans ces sonorités typiques 80’s qui m’ont formées musicalement. Ne vous fiez pas aux critiques négatives, écoutez cet Unfinished et on en reparle
C’est donc avec une certaine appréhension que j’abordais cet Unfinished Business. D’autant plus que cet album était présenté comme des chutes de studios et que les critiques n’étaient pas très bonnes. La surprise fut donc agréable par rapport à ce à quoi je m’attendais. Si on veut bien se replonger dans les années 80, cet Unfinished est un bon album de Loverboy. Le son est correct et surtout les titres sont dans l’ensemble de qualité. Bon il y a quand même pour être honnête une ou deux daubasse avec en tête de pont l’exécrable Slave qui peut déclencher chez moi une envie de casser la chaine. Pour le reste on passe du très bon au bon. Le très bon est plutôt en début de cd avec Fire Me Up, Countin The Nights ou bien Ain ’t Such A Bad Thing. Les titres semblent avoir été enregistrés à des époques différentes puisqu’on retrouve encore le regretté Scott Smith sur quelques morceaux. Un petit revival ne fait pas de mal. Moi en tout cas j’aime me replonger dans ces sonorités typiques 80’s qui m’ont formées musicalement. Ne vous fiez pas aux critiques négatives, écoutez cet Unfinished et on en reparle
Sortie : | 2014 |
Production : | Paul Dean |
Discographie : |
Loverboy (1980) |
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