Trente ans après le premier Arc Angel sort cet Harlequins Of Light chez Frontiers toujours chapoté par Jeff Cannata.
C’est bizarre de ressortir après toute ses années un album sous ce nom d’autant plus qu’entre temps Cannata a pondu quelques albums solos sous son propre nom. Bref, ça a peu d’importance tellement il y a une feuille de papier à cigarette de différence entre Arc Angel et Cannata.
Par contre quel plaisir de retrouver un grand bonhomme du rock mélodique qui œuvre depuis toujours pour un mariage entre AOR et progressif. Pourtant j’ai failli être sévère avec cet album car les premières écoutes ne m’avaient pas enthousiasmé. Objectivement, je ne lui trouvais pas de défaut mais subjectivement je m’étais un peu fait chier !!! Je décidais d’insister car j’avais le souvenir que sur le premier et même sur ses solos il m’avait fallu plusieurs écoutes pour littéralement fondre devant la classe des compos de Cannata. Finalement comme avec les précédents le plaisir est venu au bout de la 3ème ou 4ème écoute.
En effet, on a pas ici à faire à de l’AOR tout de suite mémorisable. Le coté progressif donne ce petit côté intellectuel et fouillé aux différents titres qui fait que cela peut paraitre hermétique. Mais à la longue la magie opère et Cannata nous transporte dans son univers avec sa voix si particulière et son talent de multi instrumentiste qui manie aussi bien les claviers que les guitares. La production est bien entendu extrêmement soignée jusqu’à la pochette également qui bénéficie d’un beau graphisme. Rien n’est laissé au hasard et o sent que le type a passé plusieurs jours voir des mois dans son studio pour pondre des titres comme Harlequins Of Light ou Voice Of Illuminati pour les plus progressifs en passant par des titres plus rock comme As Far As The Eye Can See ou California Daze pour finir sur de belles balades romantiques comme War ou Tonight Forever. On retrouve à nouveau le Fortune Teller qui peut être considéré comme le hit de Cannata un peu comme le Here I Am de Dominoe dans le sens où il figure sur tous les opus sous des formes différentes. Le son est très bon, Cannata a tout composé, produit. Il s’est juste entouré d’une poignée de zicos mais on sent l’œuvre totalement personnelle qui transcende le temps.
En effet, à part la production cet Harlequins aurait pu sortir il y a 20 ans ou 10 ans. Attention ça ne fait pas du tout vieillot par contre ça prouve aussi que ses anciens solos étaient en avance sur leur époque.
Par contre quel plaisir de retrouver un grand bonhomme du rock mélodique qui œuvre depuis toujours pour un mariage entre AOR et progressif. Pourtant j’ai failli être sévère avec cet album car les premières écoutes ne m’avaient pas enthousiasmé. Objectivement, je ne lui trouvais pas de défaut mais subjectivement je m’étais un peu fait chier !!! Je décidais d’insister car j’avais le souvenir que sur le premier et même sur ses solos il m’avait fallu plusieurs écoutes pour littéralement fondre devant la classe des compos de Cannata. Finalement comme avec les précédents le plaisir est venu au bout de la 3ème ou 4ème écoute.
En effet, on a pas ici à faire à de l’AOR tout de suite mémorisable. Le coté progressif donne ce petit côté intellectuel et fouillé aux différents titres qui fait que cela peut paraitre hermétique. Mais à la longue la magie opère et Cannata nous transporte dans son univers avec sa voix si particulière et son talent de multi instrumentiste qui manie aussi bien les claviers que les guitares. La production est bien entendu extrêmement soignée jusqu’à la pochette également qui bénéficie d’un beau graphisme. Rien n’est laissé au hasard et o sent que le type a passé plusieurs jours voir des mois dans son studio pour pondre des titres comme Harlequins Of Light ou Voice Of Illuminati pour les plus progressifs en passant par des titres plus rock comme As Far As The Eye Can See ou California Daze pour finir sur de belles balades romantiques comme War ou Tonight Forever. On retrouve à nouveau le Fortune Teller qui peut être considéré comme le hit de Cannata un peu comme le Here I Am de Dominoe dans le sens où il figure sur tous les opus sous des formes différentes. Le son est très bon, Cannata a tout composé, produit. Il s’est juste entouré d’une poignée de zicos mais on sent l’œuvre totalement personnelle qui transcende le temps.
En effet, à part la production cet Harlequins aurait pu sortir il y a 20 ans ou 10 ans. Attention ça ne fait pas du tout vieillot par contre ça prouve aussi que ses anciens solos étaient en avance sur leur époque.
Année:2013
Label:Frontiers Records
Production:Jeff Cannata
Discographie : |
Arc Angel (1983) |
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Comments:
Commentaires
Cet opus est une œuvre bien plus complexe qu'il n'y paraît et aussi d'une grande subtilité...
Un album qui va, selon moi, traverser le temps... Tchuss. Rémi(fm)
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