Mikael Erlandsson « is back », sauf qu'il ne s'absente que rarement, tant mieux pour ses fans dont je fais partie.
Entre les opus engrangés par Last Autumn’s Dream, Mickael ERLANDSSON solo (dont le Japon est grand fan) et maintenant ce Salute (2nd opus), voilà de quoi occuper quelques places dans votre cédé thèque. Et pas de daube ! Alors si vous rencontrez des problèmes de places dans votre CD thèque, rapprochez la poubelle de 200L, car à côté de cette dernière galette, beaucoup de vos albums vont devoir prendre la poussière, dans le meilleur des cas. Attention, là on joue dans la cour des grands; au hasard : d'un Shadowman type Ghost In The Mirror, sans les claviers « purpleïens », ce comparatif est ... qualitatif et n'engage que l'humble auteur que je suis. Vocaliste/claviériste et compositeur de talent, ce mec possède une vrai empreinte vocale, reconnaissable entre mille et beaucoup beaucoup plus ;-).
Sauf que pour ce Salute, il ne compose que le onzième et dernier titre, et quel titre (au passage).
Michael, c'est un timbre, chaud, rauque à souhait, une voix porteuse d'émotions, perso j'adore et j'adhère.
Attention on n'est pas dans le registre des Jorn et consorts, là, organe typé avant tout pour l'A.O.R. et le soft, le rock mélodique dans toute sa noblesse, et plus encore, la preuve en décibels avec ce Heart of the machine.
Bonne nouvelle, pour les fans de L.A.D., ici nous sommes très proche du concept du groupe suscité, et hormis un titre, assez éloigné du Mickael solo, dommage pour d'autres.
La différence entre SALUTE et L.A.D. se situant dans le jeu de grattes bien différent entre Martin KRONLUND et Andy MALECEK, tout deux excellents mais dans deux registres, deux styles.
Nous sommes ici face à une version bien musclée d'AO.R. Seul la voix calme le jeu ; somme toute la suite logique du Toy Soldier.
C'est un fait, sans doute un des albums de l'année, sans aucun problème une position facile dans un top ten, aisément.
Très bonne galette, surtout pour ses fans qui y retrouveront tous les ingrédients de la recette M.ERLANDSSON, « plat réussi », normal pour une galette (oh, la honte, j'ai osé).
C'est de l'A.O.R. ... puissant. Avec un guitariste producteur du projet, la six cordes occupe forcément une très belle place ; parfois on flirte aisément avec le heavy et pour assoir le tout un bon gros son (un des meilleurs de l'année ?) ; ça tourne fort et les harmonies vocales sont à la hauteur de ce que sait faire Mickael.
Donc, on se rassure vous entendrez aussi les claviers.
Saucissonnons cet album, si Michael ne compose qu'un titre nous sommes, pourtant, dés l'entame dans son univers.
Des nappes de claviers, vocales, parfois en ouverture des refrains somptueux, accompagnés ici de grattes surpuissantes avec ce son (love).
1 - Higher, puissance et mélodie et cette voix. Michael se pose ici en tant que chanteur, comme un dresseur de rodéo, il enfourche une bête puissante et prend son contrôle.
Dés que la voix est posée l'animal est dompté et le ton est donné.
C'est partie pour un 1er titre A.O.R ... Heavy, et en boni pour chaque titre le solo hyper efficace, léché qui se devine autour des 2:20 (ou aux tours des devins, c'est foireux, mais ... je l'assume;
2 – Falling Star, même registre et tjrs ce côté hit si familier au suédois ;
3 – Feed Your Hunger, un mid-tempo qui sied à merveille à ce grain vocal & son refrain entêtant ;
4 – I Will Be There, intro chorus guitare, piano pour la ballade (magnifique au demeurant) qui vous prend aux tripes avec ce duo guitare voix bluesy, permettant de bon délire « guitaristique » et que ce soit en composition ou interprétation M.E sublime ce qu'il touche ;
5 – Tearing Me Down, et on repart dans l'esprit de l'album, celui composé avant tout par un « gratteux », alors in fine pêchu à souhait ;
6 – Heart Of The Machine, 2nd mid-tempo, on se tait et on savoure ;
7 – The Long Haul, un départ speed, façon musique d'accompagnement d'une poursuite de gran tourismo, mais une fois de plus maîtrisé par main de m... euh, oups! « Voix » de maître ; pour preuve la note de fin;
8 – Shadows, Aie ! On se rapproche de la fin et ce niveau qui ne baisse pas, voir contraire ?
Rythmique lourde et A.O.R. on devient de plus en plus accroc ;
9 – Train of Rock n roll, on passe dans l'univers d'un Wig Wam, moins « popisé (*)» par ce son ; cette fois (attention la description) un mid / Pop / Heavy, foutrement efficace, « hymnique (*)»
(*) Inventons et brevetons un vocabulaire R-M
10 – My Part In This Pain, un départ pour encore un Hit (oh vous êtes saoulant les gars), allez ouvrez vos poubelles, de toute façon après cet opus, trop de p'tites galettes brillantes seront mates à l'écoute, voir fades et insipides, surtout après avoir entendu ces passages (marque déposé) façon capella de M.E comme il sait si bien le faire ;
& 11 - Your Servant Tonight, alors là AIE ! Je dis déception, la honte !
Le dernier titre (sniff, sniff), et cet album qui continue de fournir toujours autant de qualité, je les soupçonne de mettre de la drogue dans leur partitions; et moi comme un con qui consomme (devant mes enfants) et qui le remet, encore et encore, s'il vous plait, un 3ème opus, ou un L.A.D. ou un ERLANDSSON solo, mais une dose pour tenir, vite !
Sauf que pour ce Salute, il ne compose que le onzième et dernier titre, et quel titre (au passage).
Michael, c'est un timbre, chaud, rauque à souhait, une voix porteuse d'émotions, perso j'adore et j'adhère.
Attention on n'est pas dans le registre des Jorn et consorts, là, organe typé avant tout pour l'A.O.R. et le soft, le rock mélodique dans toute sa noblesse, et plus encore, la preuve en décibels avec ce Heart of the machine.
Bonne nouvelle, pour les fans de L.A.D., ici nous sommes très proche du concept du groupe suscité, et hormis un titre, assez éloigné du Mickael solo, dommage pour d'autres.
La différence entre SALUTE et L.A.D. se situant dans le jeu de grattes bien différent entre Martin KRONLUND et Andy MALECEK, tout deux excellents mais dans deux registres, deux styles.
Nous sommes ici face à une version bien musclée d'AO.R. Seul la voix calme le jeu ; somme toute la suite logique du Toy Soldier.
C'est un fait, sans doute un des albums de l'année, sans aucun problème une position facile dans un top ten, aisément.
Très bonne galette, surtout pour ses fans qui y retrouveront tous les ingrédients de la recette M.ERLANDSSON, « plat réussi », normal pour une galette (oh, la honte, j'ai osé).
C'est de l'A.O.R. ... puissant. Avec un guitariste producteur du projet, la six cordes occupe forcément une très belle place ; parfois on flirte aisément avec le heavy et pour assoir le tout un bon gros son (un des meilleurs de l'année ?) ; ça tourne fort et les harmonies vocales sont à la hauteur de ce que sait faire Mickael.
Donc, on se rassure vous entendrez aussi les claviers.
Saucissonnons cet album, si Michael ne compose qu'un titre nous sommes, pourtant, dés l'entame dans son univers.
Des nappes de claviers, vocales, parfois en ouverture des refrains somptueux, accompagnés ici de grattes surpuissantes avec ce son (love).
1 - Higher, puissance et mélodie et cette voix. Michael se pose ici en tant que chanteur, comme un dresseur de rodéo, il enfourche une bête puissante et prend son contrôle.
Dés que la voix est posée l'animal est dompté et le ton est donné.
C'est partie pour un 1er titre A.O.R ... Heavy, et en boni pour chaque titre le solo hyper efficace, léché qui se devine autour des 2:20 (ou aux tours des devins, c'est foireux, mais ... je l'assume;
2 – Falling Star, même registre et tjrs ce côté hit si familier au suédois ;
3 – Feed Your Hunger, un mid-tempo qui sied à merveille à ce grain vocal & son refrain entêtant ;
4 – I Will Be There, intro chorus guitare, piano pour la ballade (magnifique au demeurant) qui vous prend aux tripes avec ce duo guitare voix bluesy, permettant de bon délire « guitaristique » et que ce soit en composition ou interprétation M.E sublime ce qu'il touche ;
5 – Tearing Me Down, et on repart dans l'esprit de l'album, celui composé avant tout par un « gratteux », alors in fine pêchu à souhait ;
6 – Heart Of The Machine, 2nd mid-tempo, on se tait et on savoure ;
7 – The Long Haul, un départ speed, façon musique d'accompagnement d'une poursuite de gran tourismo, mais une fois de plus maîtrisé par main de m... euh, oups! « Voix » de maître ; pour preuve la note de fin;
8 – Shadows, Aie ! On se rapproche de la fin et ce niveau qui ne baisse pas, voir contraire ?
Rythmique lourde et A.O.R. on devient de plus en plus accroc ;
9 – Train of Rock n roll, on passe dans l'univers d'un Wig Wam, moins « popisé (*)» par ce son ; cette fois (attention la description) un mid / Pop / Heavy, foutrement efficace, « hymnique (*)»
(*) Inventons et brevetons un vocabulaire R-M
10 – My Part In This Pain, un départ pour encore un Hit (oh vous êtes saoulant les gars), allez ouvrez vos poubelles, de toute façon après cet opus, trop de p'tites galettes brillantes seront mates à l'écoute, voir fades et insipides, surtout après avoir entendu ces passages (marque déposé) façon capella de M.E comme il sait si bien le faire ;
& 11 - Your Servant Tonight, alors là AIE ! Je dis déception, la honte !
Le dernier titre (sniff, sniff), et cet album qui continue de fournir toujours autant de qualité, je les soupçonne de mettre de la drogue dans leur partitions; et moi comme un con qui consomme (devant mes enfants) et qui le remet, encore et encore, s'il vous plait, un 3ème opus, ou un L.A.D. ou un ERLANDSSON solo, mais une dose pour tenir, vite !
Label : | Escape Records |
Sortie : | 2010 |
Production : | Martin Kronlund |
Discographie : |
Toy Soldier (2009) |
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