Le rendez-vous était donné à tous les fans avec une ouverture des portes annoncée à 18h30. J'arrive aux alentours de 19h15 pour récupérer mon accréditation photo pour le concert de Trust. Une queue interminable a envahi le trottoir le long de la Médoquine. Ambiance bon-enfant parmi les fans de tout âge (avec une bonne dominante de quinquas malgré tout) venus assister à ce concert de la tournée « au nom de la rage » de TRUST organisé ici à la Médoquine par Base Productions.
Le groupe s'était reformé en juillet 2016 en vue de son 40eme anniversaire après quelques années de brouilles et de désaccords. La tournée « au nom de la rage » débute donc le 1er décembre 2016. Le groupe ira jouer dans des petites villes avec donc une nette préférence pour les petites et moyennes salles pour être au plus proche de leur public, et pour « aller dans les villes ou plus personne ne va jouer » selon Nono.
De la formation initiale, ne restent que Bernie Bonvoisin et Nono, Norbert Krief, accompagnés désormais de David Jacob à la basse, Ismalia Diop à la guitare rythmique, et le tout jeune Christian Dupuy à la batterie.
La 1ere partie ce soir est assurée par David Sparte, qui n'est autre que le fils de Nono. Il nous présentera une setlist ou alternera rock et pop-funk. Le public est attentif mais pas non plus emballé. Il est clairement là pour autre chose !
Après une très longue attente (un changement de plateau interminable de près de 45 minutes), Les très attendus Bernie, Nono et leur bande arrivent et démarre leur set avec l'archange. Dès la fin du 1er morceau, Bernie nous annoncera qu'il va faire de son mieux pour assurer le concert malgré une énorme bronchite. Et en effet, il assure plutôt bien!
Le Bernie toujours grande gueule que j'avais encore vu s'emporter quelques mois auparavant au concert de St Ciers Sur Gironde sera ce soir moins vindicatif (et ca n'est pas plus mal), mais il assure son concert pour la joie de ses fans, malgré une setlist raccourcie
Au final, une bonne prestation malgré la bronchite de Bernie (qui annulera d'ailleurs plusieurs dates en suivant pour raison médicale). Les musiciens, Nono en tête, prenaient visiblement un grand plaisir a jouer, seul bémol pour Ismalia Diop, littéralement monolithique sur scène....
Bref, malgré les années, Trust reste convaincant sur scène. Un de mes amis, Christophe me paraphrasait cette phrase de Raphaëlle Riol : On devient vieux le jour où l'on renonce à devenir poète ou punk.... et bien ce monsieur est encore jeune !
Merci à Base Productions, John Markus et Rock Meeting.
Le groupe s'était reformé en juillet 2016 en vue de son 40eme anniversaire après quelques années de brouilles et de désaccords. La tournée « au nom de la rage » débute donc le 1er décembre 2016. Le groupe ira jouer dans des petites villes avec donc une nette préférence pour les petites et moyennes salles pour être au plus proche de leur public, et pour « aller dans les villes ou plus personne ne va jouer » selon Nono.
De la formation initiale, ne restent que Bernie Bonvoisin et Nono, Norbert Krief, accompagnés désormais de David Jacob à la basse, Ismalia Diop à la guitare rythmique, et le tout jeune Christian Dupuy à la batterie.
La 1ere partie ce soir est assurée par David Sparte, qui n'est autre que le fils de Nono. Il nous présentera une setlist ou alternera rock et pop-funk. Le public est attentif mais pas non plus emballé. Il est clairement là pour autre chose !
Le Bernie toujours grande gueule que j'avais encore vu s'emporter quelques mois auparavant au concert de St Ciers Sur Gironde sera ce soir moins vindicatif (et ca n'est pas plus mal), mais il assure son concert pour la joie de ses fans, malgré une setlist raccourcie
Au final, une bonne prestation malgré la bronchite de Bernie (qui annulera d'ailleurs plusieurs dates en suivant pour raison médicale). Les musiciens, Nono en tête, prenaient visiblement un grand plaisir a jouer, seul bémol pour Ismalia Diop, littéralement monolithique sur scène....
Bref, malgré les années, Trust reste convaincant sur scène. Un de mes amis, Christophe me paraphrasait cette phrase de Raphaëlle Riol : On devient vieux le jour où l'on renonce à devenir poète ou punk.... et bien ce monsieur est encore jeune !
Merci à Base Productions, John Markus et Rock Meeting.
 |  |
 |  |
 |  |
 |  |
 |  |
 |  |
 |  |
 |  |
 |  |
 |  |
 |  |
  |  |
 |  |
  |  |
 |  |
 |  |
 |  |
  |  |
  |  |
 |  |
Comments:
Facebook
Lire la suite...