Au préalable nous retrouvons quelques amis et internautes qui ont eu la même idée que nous, ca tombe bien.
Nous nous emparons du premier rang, duquel nous ne partirons plus en dépit des inconvénients sonores (les voix nous parvenaient mal, voire pas du tout durant Raveneye, contrairement aux impressions relevées auprès d'autres spectateurs plus en retrait).
Nous nous emparons du premier rang, duquel nous ne partirons plus en dépit des inconvénients sonores (les voix nous parvenaient mal, voire pas du tout durant Raveneye, contrairement aux impressions relevées auprès d'autres spectateurs plus en retrait).
HONEYMOON DISEASE: [19h30-20h]. Ce quatuor suédois formé en début 2014 (source : Acid, en fin de soirée) qui m'était absolument méconnus avant l'annonce de ce concert, vient de Gothenburg pour promouvoir "The Transcendence" leur premier opus (11 titres/38mn) paru en 2015. Mystérieux, ils s'attribuent des surnoms, Jenna (chant et guitare), Acid (guitare) et Jimi (batterie) accompagnés d'un bassiste français (on ne sait pas son statut) délivrent un hard rock très énergique et séduisant ! Les nuques ont encore été sollicitées pour secouer la boite à poussières !
Rythmé par un batteur et un bassiste acharnés, les deux filles offrent un entrain et une énergie débordante ; elles bougent tellement que j'ai eu toutes les peines à les cadrer dans mon objectif photo ! Leur musique me rappelle des sonorités déjà entendues dans les 80's (Runaways) mais cela n'est pas pour me déplaire, loin de là ! A défaut de véritable originalité ou de technicité particulière, Honeymoon Disease est là pour chauffer la salle et en cela y parvient parfaitement ! La fraîcheur d'esprit des deux filles communique irrésistiblement une envie de festoyer ! Acid n'hésite d'ailleurs pas descendre en fosse pour communier avec son public en plein titre !
De surcroît, ce qui ne gâche rien, elles sont très mignonnes et souriantes (bien plus que sur leurs photos promotionnelles !), pleines d'ondes positives. Mais, j'arrête là l'expression de mon émoi car ma douce-et-tendre me ferait amèrement regretter mes propos ; alors je me persuaderai à imaginer le pire en me rappelant la traduction du titre du groupe ; "Honeymoon cystite (ou «maladie de la lune de miel») est une cystite provoquées par l'activité sexuelle".
Bref, la demie heure de prestation est passée trop vite et ce moment jouissif nous laissera un excellent souvenir !
En fin de soirée, les deux belles sont venues s'incruster à nos côtés, au premier rang, pour s'éclater sur les dernières notes de Zodiac ! Sans scrupule aucun, Acid s'empare de notre apn pour un sympathique autoportrait avec sa complice !
Le passage à leur échoppe s'impose logiquement avec l'achat du CD (15€) pour soutenir cette jeunesse plein d'enthousiasme ! Disponibles en outre pour un portrait collectif !
Rythmé par un batteur et un bassiste acharnés, les deux filles offrent un entrain et une énergie débordante ; elles bougent tellement que j'ai eu toutes les peines à les cadrer dans mon objectif photo ! Leur musique me rappelle des sonorités déjà entendues dans les 80's (Runaways) mais cela n'est pas pour me déplaire, loin de là ! A défaut de véritable originalité ou de technicité particulière, Honeymoon Disease est là pour chauffer la salle et en cela y parvient parfaitement ! La fraîcheur d'esprit des deux filles communique irrésistiblement une envie de festoyer ! Acid n'hésite d'ailleurs pas descendre en fosse pour communier avec son public en plein titre !
De surcroît, ce qui ne gâche rien, elles sont très mignonnes et souriantes (bien plus que sur leurs photos promotionnelles !), pleines d'ondes positives. Mais, j'arrête là l'expression de mon émoi car ma douce-et-tendre me ferait amèrement regretter mes propos ; alors je me persuaderai à imaginer le pire en me rappelant la traduction du titre du groupe ; "Honeymoon cystite (ou «maladie de la lune de miel») est une cystite provoquées par l'activité sexuelle".
Bref, la demie heure de prestation est passée trop vite et ce moment jouissif nous laissera un excellent souvenir !
En fin de soirée, les deux belles sont venues s'incruster à nos côtés, au premier rang, pour s'éclater sur les dernières notes de Zodiac ! Sans scrupule aucun, Acid s'empare de notre apn pour un sympathique autoportrait avec sa complice !
Le passage à leur échoppe s'impose logiquement avec l'achat du CD (15€) pour soutenir cette jeunesse plein d'enthousiasme ! Disponibles en outre pour un portrait collectif !
RAVENEYE: [20h15-21h00]. Ce trio anglais formé à Milton Keynes en 2014 m'était également méconnus avant l'annonce de ce concert. Tout juste aurait-on pu savoir qu'ils avaient déjà séduit leur auditoire au Hellfest cette année … Oli Brown (chant et guitare), Aaron Spiers (choeur et basse) et Adam Breeze (batterie), nous proposent un heavy rock énergique puissant pour promouvoir leur opus "Nova" paru cette année.
L'orientation de la sonorisation ne m'était manifestement pas favorable car je n'ai jamais (ou si peu) pu entendre le son de la voix (j'aurais dû me retirer vers la console de contrôle, semble-t-il), j'ai dû me contenter de la voix gardée en mémoire grâce aux visionnages préalables sur youtube. Cependant, j'ai pu apprécier cette musique irrésistiblement entrainante, qui vous prend aux tripes !
Le public est ravi d'accueillir en fosse le bassiste qui porte le guitariste sur ses épaules ! Ce soir décidément c'est la communion dans la fête !
Oli, très expressif, ne se contente pas de cette incursion et exploite le moindre espace de la petite scène pour animer l'ambiance ! La grosse caisse en aura été quitte à supporter son poids-plume !
A noter que Oli est aussi à l'aise avec sa guitare qu'avec son micro, privilégiant l'un ou l'autre selon les titres, avec une grande liberté ; à un moment par exemple, il exécute ses accords sur le manche, de la main gauche, pour garder la main droite libre de saisir son micro.
En fin de soirée Oli sera très accessible également, très aimable et humble. Heureux de lui apporter notre soutien, nous lui faisons évidement dédicacer notre CD (15€).
L'orientation de la sonorisation ne m'était manifestement pas favorable car je n'ai jamais (ou si peu) pu entendre le son de la voix (j'aurais dû me retirer vers la console de contrôle, semble-t-il), j'ai dû me contenter de la voix gardée en mémoire grâce aux visionnages préalables sur youtube. Cependant, j'ai pu apprécier cette musique irrésistiblement entrainante, qui vous prend aux tripes !
Le public est ravi d'accueillir en fosse le bassiste qui porte le guitariste sur ses épaules ! Ce soir décidément c'est la communion dans la fête !
Oli, très expressif, ne se contente pas de cette incursion et exploite le moindre espace de la petite scène pour animer l'ambiance ! La grosse caisse en aura été quitte à supporter son poids-plume !
A noter que Oli est aussi à l'aise avec sa guitare qu'avec son micro, privilégiant l'un ou l'autre selon les titres, avec une grande liberté ; à un moment par exemple, il exécute ses accords sur le manche, de la main gauche, pour garder la main droite libre de saisir son micro.
En fin de soirée Oli sera très accessible également, très aimable et humble. Heureux de lui apporter notre soutien, nous lui faisons évidement dédicacer notre CD (15€).
ZODIAC : [21H30 env-23h env]. Je ne chercherai même pas à cacher mon grand plaisir à revoir trois semaines après le Raismesfest ce fabuleux groupe allemand qui vient à Paris pour promouvoir l'excellent opus "Grain of Soul" paru cet été !
Le quatuor Nick van Delft (chant et guitare), Stefan Gall (guitare), Ruben Claro (basse et clavier), et Janosch Rathmer (batterie) nous livre un hardrock bluesy très chaud et entrainant, qui sent le cuir et la sueur. Le charisme de Nick avec sa voix si reconnaissable est sans doute pour beaucoup dans l'attrait de leur musique. Le regard toujours aussi hagard et profond, ce soir il avait manifestement très chaud, à voir la sueur qui dégoulinait sur sa guitare !
Les quelques incursions de Ruben au clavier donnent à leur musique toute la saveur des meilleurs blues. Il prend parfois le micro pour communiquer en français entre les titres, manifestement attaché à montrer ses reliquats scolaires (au RF il avait également chambré Nick qui, lui ne semble pas avoir mémorisé grand-chose !).
Stefan, dont j'avais l'Ibanez et son ampli Orange à proximité, est plus discret mais n'hésite pas à partager efficacement les solos avec Nick.
Le programme diffère peu de celui du Raismesfest, l'ordre est juste chamboulé, "Follow You" et "Faithless" passent à la trappe (dommage) au profit cependant de l'excellente reprise de ZZTop "Blue Jean Blues", et "Upon The Stone" remplace "Failure" du même Ep. Finalement, ce soir nous avons un titre de moins que le programme festivalier mais bon, les 90 minutes étaient bien remplies donc on se ne plaindra pas !
Impossible de ne pas apporter notre soutien à ces valeureux teutons ; j'achète le CD (15€) et le fait évidemment dédicacer par tous, excepté Stefan à qui j'avais pourtant serré la louche à la fin du concert mais qui n'est pas revenu en salle ensuite ... Tant pis.
Les discussions post concerts vont bon train mais il faut bien partir en leur souhaitant bon vent !
Le quatuor Nick van Delft (chant et guitare), Stefan Gall (guitare), Ruben Claro (basse et clavier), et Janosch Rathmer (batterie) nous livre un hardrock bluesy très chaud et entrainant, qui sent le cuir et la sueur. Le charisme de Nick avec sa voix si reconnaissable est sans doute pour beaucoup dans l'attrait de leur musique. Le regard toujours aussi hagard et profond, ce soir il avait manifestement très chaud, à voir la sueur qui dégoulinait sur sa guitare !
Les quelques incursions de Ruben au clavier donnent à leur musique toute la saveur des meilleurs blues. Il prend parfois le micro pour communiquer en français entre les titres, manifestement attaché à montrer ses reliquats scolaires (au RF il avait également chambré Nick qui, lui ne semble pas avoir mémorisé grand-chose !).
Stefan, dont j'avais l'Ibanez et son ampli Orange à proximité, est plus discret mais n'hésite pas à partager efficacement les solos avec Nick.
Le programme diffère peu de celui du Raismesfest, l'ordre est juste chamboulé, "Follow You" et "Faithless" passent à la trappe (dommage) au profit cependant de l'excellente reprise de ZZTop "Blue Jean Blues", et "Upon The Stone" remplace "Failure" du même Ep. Finalement, ce soir nous avons un titre de moins que le programme festivalier mais bon, les 90 minutes étaient bien remplies donc on se ne plaindra pas !
Impossible de ne pas apporter notre soutien à ces valeureux teutons ; j'achète le CD (15€) et le fait évidemment dédicacer par tous, excepté Stefan à qui j'avais pourtant serré la louche à la fin du concert mais qui n'est pas revenu en salle ensuite ... Tant pis.
Les discussions post concerts vont bon train mais il faut bien partir en leur souhaitant bon vent !
Programme :
Rebirth by Fire (Grain of Soul)
Sinner (Grain of Soul)
Free (A Hiding Place)
Animal (Grain of Soul)
Ain’t Coming Back (Grain of Soul)
Down (Grain of Soul)
A Bit of Devil (A Bit of Devil)
Blue Jean Blues (reprise de ZZ Top, issue de A Bit of Devil)
Horror Vision (A Bit of Devil)
Cortez The Killer (reprise de Neil Young & Crazy Horse, issue de A Hiding Place)
Diamond Shoes (A Bit of Devil)
Upon The Stone (Zodiac)
Grain of Soul (Grain of Soul)
RAPPEL :
Coming Home (A Bit of Devil).
Patrice du Houblon
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