En dépit d'un calendrier musical très chargé cette rentrée, je ne pouvais pas ignorer le passage de HAKEN à Paris,
même s'ils ne sont que les invités d'un autre groupe qui m'est totalement inconnu, surtout pour la modique somme de 24,70€ !
HAKEN
Leur dernier concert parisien, à la Boule Noire le 8 avril 2014, m'avait convaincu de leur talent en dépit d'une sonorisation mal adaptée (le chanteur était inaudible en raison des basses et batterie trop fortes). Quant à leur concert au festival BeProg de Barcelone ce 11 juillet 2015 fut tout simplement fabuleux alors qu'ils n'avaient eu droit qu'à une mini scène indigne de leur talent. C'est donc très enthousiaste que je me rends à cette nouvelle prestation, même si ce n'est pas encore la scène qui convient à leur mérite.
Très vite, je constate que la sonorisation est parfaite ; tous ces excellents musiciens sont audibles. Je suis au deuxième rang, aux pieds de Richard Hen Henshall (Guitare, Claviers) "mister sourires" sur scène comme en "after", ce gars est tout simplement un grand bonheur à regarder prendre son plaisir à jouer et se nourrir du succès de son groupe.
Le reste du groupe est toujours composé de Ross Jennings (Chant), Diego Tejeida (Claviers), Ray Hearne (Batterie), Charlie Griffiths (Guitare), et Conner Green (Basse).
Le temps qui leur est imparti ce soir est court, beaucoup trop court, mais il aura permis une fois de plus d'emporter l'admiration du public complètement subjugué par ces mélodies et ces flopées de notes tourbillonnantes, ces ruptures de rythmes déstabilisantes par leurs côtés tantôt metal tantôt jazzy, mais surtout par ces chœurs admirables ; les six musiciens contribuent aux chants et j'adore ca ! "Cockroach King " est à cet égard un pur régal !!
Ces dignes descendants de Gentle Giant et de Dream Theater, ont un grand avenir j'en suis persuadé et leur concert de ce soir a encore confirmé mes impressions ressenties lorsqu'en octobre 2013 j'avais acheté leur trois opus en une fois !
A l'échoppe, je ne peux résister à l'achat de Restoration (10€) et du tshirt détournant malicieusement le logo d'Heineken (20€).
Nota bene : En fin de soirée, alors que nous sirotions notre cervoise au bar en terrasse, nous avons eu le plaisir de voir Ross Jennings et Diego Tejeida s'asseoir à notre table voisine !!! Très accessibles et sympa. Dédicaces et photos bien sûr. Ross a même entretenu la conversation lorsque je lui ai parlé de ma passion pour l'œuvre de Steven. Il m'a demandé aussi ce que j'avais pensé de BTBAM. Il m'a conseillé de bien écouter leur dernier opus qui lui semblait pas mal ; surprenant car sur dans son registre (les voix) il est bien meilleur à mon avis !
Pourvu qu'ils restent comme ils sont : simples, talentueux et honnêtes.
PROGRAMME (19h30-20h15)
Premonition (Visions - 2011)
In Memoriam (The Mountain - 2013)
Pareidolia (The Mountain - 2013)
Cockroach King (The Mountain - 2013)
Crystallised (Restoration - 2014).
BETWEEN THE BURIED AND ME
Voilà encore groupe qui m'était absolument inconnu. En apprenant la venue de Haken j'ai été contraint de m'intéresser à cet autre groupe de metal progressif américain, originaire de Winston-Salem, en Caroline du Nord, nous dit-on …Il semblerait aussi qu'ils ne m'aient pas attendu pour construire une certaine notoriété : c'est déjà la troisième fois qu'ils passent dans cette même salle depuis septembre 2011.
Ce que j'ai donc écouté en préalable sur Deezer me semblait pas mal … leur opus " Coma Ecliptic" m'est paru à la fois mélodique et énergique, quoique le chanteur se mue trop souvent en hurleur.
C'est donc avec un a priori plutôt favorable que j'aborde la suite de cette soirée.
Hélas, assez vite je constate que Tommy Giles Rogers se positionne en mode "hurlement" trop souvent, nuisant ainsi malheureusement aux mélodies pourtant nombreuses. C'est un sentiment de gâchis qui prévaut dans mon esprit d'autant plus que j'observe par ailleurs le talent de Paul Waggoner (guitare, chant secondaire depuis 2000), Dustie Waring (guitare rythmique depuis 2004), Dan Briggs (basse depuis 2005) et Blake Richardson (batterie depuis 2004). Lorsqu'il ne hurle pas, ROGERS chante ma foi très bien et en outre il assure également les parties de clavier remarquablement.
Ceux qui connaissent mes gouts ne manqueraient pas de souligner que j'apprécie par ailleurs des groupes tels que Tiamat, Opeth, et Leprous. Certes, mais il me semble que l'impression d'abus et de violence gutturale n'est pas prédominante comme ici.
Ce que j'ai entendu en concert m'incitera à creuser ultérieurement leur cas malgré tout, mais ce soir je n'ai pas su accrocher ; le public, lui, semblait ravi. Surprenant car c'était le même qui se réjouissait peu avant des délicieuse envolées vocales de Haken. A suivre, donc …
PROGRAMME (20h35-21h50 env)
Selkies: The Endless Obsession
The Coma Machine
Astral Body
Lay Your Ghosts to Rest
Memory Palace
Famine Wolf
Ants of the Sky
RAPPEL :
White Walls
HAKEN
Leur dernier concert parisien, à la Boule Noire le 8 avril 2014, m'avait convaincu de leur talent en dépit d'une sonorisation mal adaptée (le chanteur était inaudible en raison des basses et batterie trop fortes). Quant à leur concert au festival BeProg de Barcelone ce 11 juillet 2015 fut tout simplement fabuleux alors qu'ils n'avaient eu droit qu'à une mini scène indigne de leur talent. C'est donc très enthousiaste que je me rends à cette nouvelle prestation, même si ce n'est pas encore la scène qui convient à leur mérite.
Très vite, je constate que la sonorisation est parfaite ; tous ces excellents musiciens sont audibles. Je suis au deuxième rang, aux pieds de Richard Hen Henshall (Guitare, Claviers) "mister sourires" sur scène comme en "after", ce gars est tout simplement un grand bonheur à regarder prendre son plaisir à jouer et se nourrir du succès de son groupe.
Le reste du groupe est toujours composé de Ross Jennings (Chant), Diego Tejeida (Claviers), Ray Hearne (Batterie), Charlie Griffiths (Guitare), et Conner Green (Basse).
Le temps qui leur est imparti ce soir est court, beaucoup trop court, mais il aura permis une fois de plus d'emporter l'admiration du public complètement subjugué par ces mélodies et ces flopées de notes tourbillonnantes, ces ruptures de rythmes déstabilisantes par leurs côtés tantôt metal tantôt jazzy, mais surtout par ces chœurs admirables ; les six musiciens contribuent aux chants et j'adore ca ! "Cockroach King " est à cet égard un pur régal !!
Ces dignes descendants de Gentle Giant et de Dream Theater, ont un grand avenir j'en suis persuadé et leur concert de ce soir a encore confirmé mes impressions ressenties lorsqu'en octobre 2013 j'avais acheté leur trois opus en une fois !
A l'échoppe, je ne peux résister à l'achat de Restoration (10€) et du tshirt détournant malicieusement le logo d'Heineken (20€).
Nota bene : En fin de soirée, alors que nous sirotions notre cervoise au bar en terrasse, nous avons eu le plaisir de voir Ross Jennings et Diego Tejeida s'asseoir à notre table voisine !!! Très accessibles et sympa. Dédicaces et photos bien sûr. Ross a même entretenu la conversation lorsque je lui ai parlé de ma passion pour l'œuvre de Steven. Il m'a demandé aussi ce que j'avais pensé de BTBAM. Il m'a conseillé de bien écouter leur dernier opus qui lui semblait pas mal ; surprenant car sur dans son registre (les voix) il est bien meilleur à mon avis !
Pourvu qu'ils restent comme ils sont : simples, talentueux et honnêtes.
PROGRAMME (19h30-20h15)
Premonition (Visions - 2011)
In Memoriam (The Mountain - 2013)
Pareidolia (The Mountain - 2013)
Cockroach King (The Mountain - 2013)
Crystallised (Restoration - 2014).
BETWEEN THE BURIED AND ME
Voilà encore groupe qui m'était absolument inconnu. En apprenant la venue de Haken j'ai été contraint de m'intéresser à cet autre groupe de metal progressif américain, originaire de Winston-Salem, en Caroline du Nord, nous dit-on …Il semblerait aussi qu'ils ne m'aient pas attendu pour construire une certaine notoriété : c'est déjà la troisième fois qu'ils passent dans cette même salle depuis septembre 2011.
Ce que j'ai donc écouté en préalable sur Deezer me semblait pas mal … leur opus " Coma Ecliptic" m'est paru à la fois mélodique et énergique, quoique le chanteur se mue trop souvent en hurleur.
C'est donc avec un a priori plutôt favorable que j'aborde la suite de cette soirée.
Hélas, assez vite je constate que Tommy Giles Rogers se positionne en mode "hurlement" trop souvent, nuisant ainsi malheureusement aux mélodies pourtant nombreuses. C'est un sentiment de gâchis qui prévaut dans mon esprit d'autant plus que j'observe par ailleurs le talent de Paul Waggoner (guitare, chant secondaire depuis 2000), Dustie Waring (guitare rythmique depuis 2004), Dan Briggs (basse depuis 2005) et Blake Richardson (batterie depuis 2004). Lorsqu'il ne hurle pas, ROGERS chante ma foi très bien et en outre il assure également les parties de clavier remarquablement.
Ceux qui connaissent mes gouts ne manqueraient pas de souligner que j'apprécie par ailleurs des groupes tels que Tiamat, Opeth, et Leprous. Certes, mais il me semble que l'impression d'abus et de violence gutturale n'est pas prédominante comme ici.
Ce que j'ai entendu en concert m'incitera à creuser ultérieurement leur cas malgré tout, mais ce soir je n'ai pas su accrocher ; le public, lui, semblait ravi. Surprenant car c'était le même qui se réjouissait peu avant des délicieuse envolées vocales de Haken. A suivre, donc …
PROGRAMME (20h35-21h50 env)
Selkies: The Endless Obsession
The Coma Machine
Astral Body
Lay Your Ghosts to Rest
Memory Palace
Famine Wolf
Ants of the Sky
RAPPEL :
White Walls
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