Son entrée ne paie pas de mine et peu de gens attendent lorsque j'arrive un peu plus d'une heure avant l'ouverture des portes. Les membres d'ELDORADO sortent de la salle après leur mixage et se dirigent tout droit vers un bar espagnol opportunément placé près de la salle !
Qu'à cela ne tienne, je me retrouve avec quatre autres passionnés de ma génération à discuter de nos concerts des trente dernières années ! Toujours intéressant de partager sa passion et surtout de se rafraîchir la mémoire.
Peu après 20h les portes nous s'ouvrent et je découvre une salle bien sympa, spacieuse avec des coins salons de chaque côté et un bar. Dommage que je n'ai pas plus souvent l'occasion d'y venir. Reste à tester son acoustique. Je n'ai aucune difficulté pour me placer tranquillement au bord de la scène ; une cinquantaine de spectateurs s'éparpillent dans la salle.
RODNEYBRANIGAN. 20h47 : Ce guitariste texan m'était parfaitement inconnu avant de lire son nom sur le ticket d'entrée. Je suis donc allé sur youtube qui m'a permis de constater qu'il se démarquait par une certaine propension à jouer de plusieurs guitares à la fois avec une virtuosité étonnante. C'est effectivement une de ses qualités mais il ne se limite pas à cette démonstration ; il m'a encore davantage impressionné par la résistance de ses doigts lorsqu'il maltraite les cordes et le coffre de sa guitare pour nous asséner des titres très rythmés par des frappes énergiques. Les titres parfois hispanisant ont attiré les membres d'ELDORADO qui sont venus voir qui était ce fou furieux. Au terme d'une grosse demie-heure, il termine sous les applaudissements mérités.
ELDORADO.: 21h34 : Pour les avoir découverts lors du dernier Raimesfest, j'étais impatient de vérifier cette première impression ! Ce soir,ils sont maîtres de leur scène et ils vont nous démontrer tout leur talent, à leur rythme.
CesarSanchez, bassiste depuis le début en 2007, Andres Duende, guitariste du groupe depuis 2010 et Christian Giardino à la batterie depuis 2013 débutent par une petite improvisation. Mais Jesus Trujillo, le chanteur depuis le début en 2007,ne tarde pas à les rejoindre.
La sonorisation est assez brouillonne au début mais après quelques (toujours trop longues) minutes un certain équilibre s'établit ; les protections auditives demeureront toutefois nécessaires.
Contrairement à ce que j'espérais ils semblent ignorer qu'ils jouent dans un pays latin ; ils n'interprètent pas leurs titres en espagnol mais anglais, excepté le superbe "Kassandra".
Globalement, nous passons une bonne soirée avec ces musiciens décontractés et souriant qui jouent des titres dans un style hardrock traditionnel, tantôt inspiré de LedZep, de Deep Purple, de Lynyrd Skynyrd, voire d'Aerosmith (la voix n'est pas sans rappeler parfois Steven Tyler). Rien de bien novateur, certes, mais efficace. Jesus ne se contente pas de chanter ; il intervient souvent sur son clavier Hammond, accentuant ainsi les sonorités purplienne. Le batteur a suspendu le concert d'une petite démonstration finissant son solo avec ses deux mains. Le reste du groupe nous accordera plusieurs autres improvisations (plus ou moins inspirées) au cours du concert ; c'est agréable de revoir un groupe se lancer dans cet exercice devenu trop rare.
23H20: Après une heure quarante-cinq et un rappel (titre des Animals), Jesus et Cesar remercient la trop faible assemblée pour notre présence et se rendent ensuite parmi les spectateurs pour signer quelques dédicaces et poser pour des photos.
µ
Qu'à cela ne tienne, je me retrouve avec quatre autres passionnés de ma génération à discuter de nos concerts des trente dernières années ! Toujours intéressant de partager sa passion et surtout de se rafraîchir la mémoire.
Peu après 20h les portes nous s'ouvrent et je découvre une salle bien sympa, spacieuse avec des coins salons de chaque côté et un bar. Dommage que je n'ai pas plus souvent l'occasion d'y venir. Reste à tester son acoustique. Je n'ai aucune difficulté pour me placer tranquillement au bord de la scène ; une cinquantaine de spectateurs s'éparpillent dans la salle.
RODNEYBRANIGAN. 20h47 : Ce guitariste texan m'était parfaitement inconnu avant de lire son nom sur le ticket d'entrée. Je suis donc allé sur youtube qui m'a permis de constater qu'il se démarquait par une certaine propension à jouer de plusieurs guitares à la fois avec une virtuosité étonnante. C'est effectivement une de ses qualités mais il ne se limite pas à cette démonstration ; il m'a encore davantage impressionné par la résistance de ses doigts lorsqu'il maltraite les cordes et le coffre de sa guitare pour nous asséner des titres très rythmés par des frappes énergiques. Les titres parfois hispanisant ont attiré les membres d'ELDORADO qui sont venus voir qui était ce fou furieux. Au terme d'une grosse demie-heure, il termine sous les applaudissements mérités.
ELDORADO.: 21h34 : Pour les avoir découverts lors du dernier Raimesfest, j'étais impatient de vérifier cette première impression ! Ce soir,ils sont maîtres de leur scène et ils vont nous démontrer tout leur talent, à leur rythme.
CesarSanchez, bassiste depuis le début en 2007, Andres Duende, guitariste du groupe depuis 2010 et Christian Giardino à la batterie depuis 2013 débutent par une petite improvisation. Mais Jesus Trujillo, le chanteur depuis le début en 2007,ne tarde pas à les rejoindre.
La sonorisation est assez brouillonne au début mais après quelques (toujours trop longues) minutes un certain équilibre s'établit ; les protections auditives demeureront toutefois nécessaires.
Contrairement à ce que j'espérais ils semblent ignorer qu'ils jouent dans un pays latin ; ils n'interprètent pas leurs titres en espagnol mais anglais, excepté le superbe "Kassandra".
Globalement, nous passons une bonne soirée avec ces musiciens décontractés et souriant qui jouent des titres dans un style hardrock traditionnel, tantôt inspiré de LedZep, de Deep Purple, de Lynyrd Skynyrd, voire d'Aerosmith (la voix n'est pas sans rappeler parfois Steven Tyler). Rien de bien novateur, certes, mais efficace. Jesus ne se contente pas de chanter ; il intervient souvent sur son clavier Hammond, accentuant ainsi les sonorités purplienne. Le batteur a suspendu le concert d'une petite démonstration finissant son solo avec ses deux mains. Le reste du groupe nous accordera plusieurs autres improvisations (plus ou moins inspirées) au cours du concert ; c'est agréable de revoir un groupe se lancer dans cet exercice devenu trop rare.
23H20: Après une heure quarante-cinq et un rappel (titre des Animals), Jesus et Cesar remercient la trop faible assemblée pour notre présence et se rendent ensuite parmi les spectateurs pour signer quelques dédicaces et poser pour des photos.
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