Après avoir loupé une première occasion de voir ce jeune combo anglais à Toulouse le 6 avril, je ne voulais pas rater le coche une deuxième fois. L’occasion ratée se situait le 6 avril, date à laquelle ils ouvraient à la dynamo pour Black Veil Brides, j’avais pu les interviewer durant l‘après midi (voir l’entrevue ici), puis nous nous étions donné rendez vous pour le concert, las, l’organisation ayant avancé l’heure du gig de une heure sans la moindre info, les ¾ du public, dont votre serviteur, ont loupé le show. Ce coup-ci je suis bien présent, et en beaucoup plus nombreuse compagnie !
7 titres au menu, les 6 premiers issus de leur dernier album, Fifty Empire , chroniqué ici par Tonton Pascal, il écrivait pour le 1er titre, qui est aussi le 1er titre de ce set : « Dès le 1er titre, Welcome Home, on entre tout de suite dans le vif du sujet, riff de guitares énorme sur un tempo rapide avec un refrain qui fait mouche et un break final scandé comme un damné. «
C’est exactement ce que l’on retrouve sur scène (voir la video) . Après un Can't Let Go dynamique, le combo enchaine avec son déjà hymne, qui a fait l’objet d’une video explosive, Fire, Fire, un petit modèle du genre avec un break qui permet au public d’encourager nos jeunes anglais. Après un I Am Electric très électrique, Aaron Buchanan, le fougueux chanteur du groupe se jette dans la fosse puis au milieu du public pour surfer quelques instants au dessus de la foule pendant le solo de Sid Glover. Le dernier titre, plus ancien, s’ouvre sous les applaudissements du public battant la mesure avec la rythmique très efficace assurée par Rob Ellershaw à la basse, et Chris Rivers à la batterie (non ne cherchez pas, ce n’est pas le fils de notre Dick national lol !) . Nouveau break, Sid Glover lève sa guitare au dessus de lui, puis le tempo s’accélère à nouveau pour s’arrêter sous les aclamations d’un public visiblement conquis, le cercle des fans s’est manifestement agrandi !
7 titres au menu, les 6 premiers issus de leur dernier album, Fifty Empire , chroniqué ici par Tonton Pascal, il écrivait pour le 1er titre, qui est aussi le 1er titre de ce set : « Dès le 1er titre, Welcome Home, on entre tout de suite dans le vif du sujet, riff de guitares énorme sur un tempo rapide avec un refrain qui fait mouche et un break final scandé comme un damné. «
C’est exactement ce que l’on retrouve sur scène (voir la video) . Après un Can't Let Go dynamique, le combo enchaine avec son déjà hymne, qui a fait l’objet d’une video explosive, Fire, Fire, un petit modèle du genre avec un break qui permet au public d’encourager nos jeunes anglais. Après un I Am Electric très électrique, Aaron Buchanan, le fougueux chanteur du groupe se jette dans la fosse puis au milieu du public pour surfer quelques instants au dessus de la foule pendant le solo de Sid Glover. Le dernier titre, plus ancien, s’ouvre sous les applaudissements du public battant la mesure avec la rythmique très efficace assurée par Rob Ellershaw à la basse, et Chris Rivers à la batterie (non ne cherchez pas, ce n’est pas le fils de notre Dick national lol !) . Nouveau break, Sid Glover lève sa guitare au dessus de lui, puis le tempo s’accélère à nouveau pour s’arrêter sous les aclamations d’un public visiblement conquis, le cercle des fans s’est manifestement agrandi !
Welcome Home
Can't Let Go
Fire, Fire
Nothing Left to Lose
I Am Electric
Heartbreaking Son of a Bitch
Executioner's Day
| |
Comments:
Lire la suite...