Quelques 800 personnes s'étaient donnés rendez vous, en ce Mardi 19 Mars 2013, au Rocher de Palmer, situé près de Bordeaux, pour assister à la prestation, très attendue, de Beth Hart.
La chanteuse Américaine, originaire de Los Angeles, est en tournée promotionnelle pour la sortie de l'album Bang Bang Boom Boom.
La première partie est assurée par Mike Tramp, (de son vrai nom Michael Trempenau), ancien chanteur et guitariste du groupe de Hard Rock des 80's, White Lion, reconverti dans un style plus acoustique, l'espace d'un album, et, d'une tournée. Par ailleurs le Danois a bien apprécié l'attention portée à son égard, par le public Bordelais.
22h00, extinction des feux, et, dans la pénombre, on perçoit deux ombres qui s'introduisent sur scène, et, qui s'assoient. L'une, sur la gauche, se saisit d'une guitare acoustique, et, l'autre, sur la droite, se positionne au clavier d'un piano électrique. C'est elle, c'est Beth Hart. Des lumières tamisées s'allument, et, rayonnent de mille feux sur sa veste noire à paillettes. Les fans sont aux anges, et, découvrent leur idole, coiffée avec la frange, symbole de cette nouvelle sérénité, acquise, à 41 ans, par la chanteuse Californienne. Accompagnée avec sobriété, par son guitariste Jon Nichols, Beth se chauffe la voix sur Crashing Down avec un jeu de piano très harmonieux qui créée une ambiance douce et feutrée. Trois morceaux plus tard, Beth, se lève, et, déplie les longues jambes de son corps svelte de 1m75, perchées sur de hauts talons, et, gainées d'un collant couleur léopard.
De dos au public, face à son batteur Todd Wolf, Beth remue ses jambes comme pour les décontracter. Le show continue avec Face Forward, un titre Rock avec un riff façon Satisfaction des Stones, qui permet à Beth, de faire entendre toute sa puissance dans cet autre registre, et, qu'on retrouvera, encore, plus tard sur Delicious Surprise. La palette vocale de Beth est impressionnante, et, change de couleur avec une étonnante facilité, (ses études de chant classique y sont surement pour beaucoup). Sur For My Friend, au style apparenté Free/Led Zep, la voix de Beth se targue d'un feeling bien bluesy. En chorus, les guitares de P.J Barth et Jon Nichols croisent le fer, sur le swing envoutant, et, bien arrondi de la basse de Tom Lilly. L'assistance apprécie. Ensuite, Beth se saisie du micro, et, marmonne des vocalises Soul, avant de se lancer dans Something's Got A Hold On Me, puis, sur I'd Rather Go Blind, deux grands classiques d'Etta James qui confortent l'excellent registre dans lequel Beth évolue, et, qui fait d'elle, une des meilleures chanteuses du moment. La guitare est aussi dans ses cordes, et, un technicien vient lui apporter le dit instrument. Il s'agit de son mari Scott Guetzkow qu'elle présente avec humour, aux spectateurs, en le nommant Scott Land.
Le sourire aux lèvres, elle entame, de sa voix chaude, The Ugliest House On The Block . Retour au piano, avec le titre éponyme de son nouvel album Bang Bang Boom Boom qui, sur scène, sonne beaucoup mieux que sur disque, et, dont la couleur retenue se rapproche, assez, de Chocolate Jesus de Tom Waits, arrangé par Joe Bonamassa sur l'album Don't Explain. Enfin, en plus intimiste, Beth saura nous émouvoir avec My California, un titre hommage à ses racines, aussi fort que le Georgia In My Mind de Ray Charles. Après trois morceaux en rappel, la salle ovationnera Beth, et, ses acolytes qui offrirent, avec talent, un set particulièrement éclectique, et, rondement mené. Les fans quittèrent la salle avec, non seulement, la satisfaction d'avoir entendu The Voice, mais, aussi, d'avoir assister à une magnifique prestation d'une Beth de scène, au sommet de son Hart.
De dos au public, face à son batteur Todd Wolf, Beth remue ses jambes comme pour les décontracter. Le show continue avec Face Forward, un titre Rock avec un riff façon Satisfaction des Stones, qui permet à Beth, de faire entendre toute sa puissance dans cet autre registre, et, qu'on retrouvera, encore, plus tard sur Delicious Surprise. La palette vocale de Beth est impressionnante, et, change de couleur avec une étonnante facilité, (ses études de chant classique y sont surement pour beaucoup). Sur For My Friend, au style apparenté Free/Led Zep, la voix de Beth se targue d'un feeling bien bluesy. En chorus, les guitares de P.J Barth et Jon Nichols croisent le fer, sur le swing envoutant, et, bien arrondi de la basse de Tom Lilly. L'assistance apprécie. Ensuite, Beth se saisie du micro, et, marmonne des vocalises Soul, avant de se lancer dans Something's Got A Hold On Me, puis, sur I'd Rather Go Blind, deux grands classiques d'Etta James qui confortent l'excellent registre dans lequel Beth évolue, et, qui fait d'elle, une des meilleures chanteuses du moment. La guitare est aussi dans ses cordes, et, un technicien vient lui apporter le dit instrument. Il s'agit de son mari Scott Guetzkow qu'elle présente avec humour, aux spectateurs, en le nommant Scott Land.
Le sourire aux lèvres, elle entame, de sa voix chaude, The Ugliest House On The Block . Retour au piano, avec le titre éponyme de son nouvel album Bang Bang Boom Boom qui, sur scène, sonne beaucoup mieux que sur disque, et, dont la couleur retenue se rapproche, assez, de Chocolate Jesus de Tom Waits, arrangé par Joe Bonamassa sur l'album Don't Explain. Enfin, en plus intimiste, Beth saura nous émouvoir avec My California, un titre hommage à ses racines, aussi fort que le Georgia In My Mind de Ray Charles. Après trois morceaux en rappel, la salle ovationnera Beth, et, ses acolytes qui offrirent, avec talent, un set particulièrement éclectique, et, rondement mené. Les fans quittèrent la salle avec, non seulement, la satisfaction d'avoir entendu The Voice, mais, aussi, d'avoir assister à une magnifique prestation d'une Beth de scène, au sommet de son Hart.
Photos / Videos Metalden
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