Actuellement en compétition dans le cadre du Tremplin National Esprit Musique/ Caisse d'Epargne (possibilité de voter jusqu'au 8 Février sur le site espritmusique.fr ), en grande préparation pour assurer, prochainement, la première partie des Datsuns au Rocher de Palmer à Cenon (33), et, désireux de tester les morceaux de leur nouvel album, auprès du public, les Datcha Mandala n'en finissent pas de faire parler d'eux. Et pour cause, le bouche à oreille, sublimé par l'ensemble des réseaux sociaux, apporte des flux de nouveaux spectateurs à chacune de leurs prestations. 22h30, sur la scène, des diffuseurs d'ambiance, placés aux extrémités, laissent echapper des parfums d'Orient, dans la salle tamisée de l'Antidote.
Jean Baptiste Mallet se positionne derrière les futs de sa batterie, Jéremy Saigne enfile sa guitare Les Paul Gibson en bandoulière, puis, Nicolas Sauvey, à la basse et au chant, se met dans la lumière pour amorcer les premières notes de leur set. Le Technicien du Son, Jean Marc André, dit " Chinoi" (Mano Negra, Noir Désir), également producteur de leur premier album, s'écarte de sa console pour vérifier le bon équilibre sonore, car, pas facile de marier la puissance des décibels avec la petitesse des lieux. Néanmoins, les choses tournent rondement, et, le combo distilera ses, désormais classiques, que sont Born To Be A Light, Madison Coffee, Loot, Zoso (hommage à Jimmy Page), ou, encore, Black Dog, la célébrissime reprise de Led Zeppelin. Jean Baptiste, avec sa frappe sèche et mat assure un max, Jéremy est, bien concentré sur ses riffs ravageurs, et, Nicolas se donne corps et ame, en sculptant des lignes de basse, dignes des plus grands, sous les yeux admiratifs de son professeur, venu l'applaudir pour la première fois. Emu par cette présence intimidante, le disciple du Bass Teacher conserve, néanmoins, son incroyable jeu de scène et son énergie coutumière. Nico annonce que les morceaux qui suivent, figureront sur leur nouvel album qui sortira début Février.
Le premier titre est plutot speed, et, le public apprécie fortement. Même accueil pour le second, très électrique, et, sur scène, c'est chaud bouillant. Enfin, le dernier morceau plutôt progressif, fourmille d'idées bien conçues qui s'additionnent dans une alternance de climats différents, parfaitement maitrisés. L'attention de l'auditoire, à la fin de ce petit chef d'œuvre, est assez évocatrice du respect voué aux Datcha Mandala. Scotchés et les yeux hagards, le public reste inerte de peur de briser ce silence qui semble etre partie prenante du morceau. Le trio finit par se figer, et, des applaudissements bien nourris rendent hommage à cette époustouflante performance. Topissime! Pour le public, ce concert fut un beau moment de communion, partagé avec un groupe talentueux, en perpétuelle évolution, qui n'en finit pas de nous étonner à chaque messe qu'ils célèbrent. A écouter, certes, mais, surtout, à voir!
Jean Baptiste Mallet se positionne derrière les futs de sa batterie, Jéremy Saigne enfile sa guitare Les Paul Gibson en bandoulière, puis, Nicolas Sauvey, à la basse et au chant, se met dans la lumière pour amorcer les premières notes de leur set. Le Technicien du Son, Jean Marc André, dit " Chinoi" (Mano Negra, Noir Désir), également producteur de leur premier album, s'écarte de sa console pour vérifier le bon équilibre sonore, car, pas facile de marier la puissance des décibels avec la petitesse des lieux. Néanmoins, les choses tournent rondement, et, le combo distilera ses, désormais classiques, que sont Born To Be A Light, Madison Coffee, Loot, Zoso (hommage à Jimmy Page), ou, encore, Black Dog, la célébrissime reprise de Led Zeppelin. Jean Baptiste, avec sa frappe sèche et mat assure un max, Jéremy est, bien concentré sur ses riffs ravageurs, et, Nicolas se donne corps et ame, en sculptant des lignes de basse, dignes des plus grands, sous les yeux admiratifs de son professeur, venu l'applaudir pour la première fois. Emu par cette présence intimidante, le disciple du Bass Teacher conserve, néanmoins, son incroyable jeu de scène et son énergie coutumière. Nico annonce que les morceaux qui suivent, figureront sur leur nouvel album qui sortira début Février.
Le premier titre est plutot speed, et, le public apprécie fortement. Même accueil pour le second, très électrique, et, sur scène, c'est chaud bouillant. Enfin, le dernier morceau plutôt progressif, fourmille d'idées bien conçues qui s'additionnent dans une alternance de climats différents, parfaitement maitrisés. L'attention de l'auditoire, à la fin de ce petit chef d'œuvre, est assez évocatrice du respect voué aux Datcha Mandala. Scotchés et les yeux hagards, le public reste inerte de peur de briser ce silence qui semble etre partie prenante du morceau. Le trio finit par se figer, et, des applaudissements bien nourris rendent hommage à cette époustouflante performance. Topissime! Pour le public, ce concert fut un beau moment de communion, partagé avec un groupe talentueux, en perpétuelle évolution, qui n'en finit pas de nous étonner à chaque messe qu'ils célèbrent. A écouter, certes, mais, surtout, à voir!
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