Quand il y a 4 ans, une amie danseuse orientale, connaissant ma mélomanie,
me demanda si je ne connaîtrais pas de nouvelles musiques orientale accès très ''rock'', c'est un peu dépourvu que ma réponse fût piteusement négative, mis à part quelques standard de Led Zeppelin ou de Rainbow.
Mais internet est notre ami pour chercher le précieux. Et c'est donc avec bonheur que je lui offris le précédent et vivement conseillé album Tales of the sands du groupe, dont le métal symphonique et mélodique dépaysant me séduisit.
Si je n'ai pas poursuivi le plaisir avec les précédents albums, c'est avec impatience toutefois que j'attendais ce 5° album espéré comme le chef d’œuvre, comme le furent ''Holy Land'' d'Angra, et ''Images and words'' de Dream Theater.
Car le groupe tunisien possède tous les ingrédients pour nous sortir un chef d'oeuvre, et être un futur grand du genre : un chanteur à la voix somptueuse, puissante et modulables à la … Gregory Lemarchand, la technique du prog, les mélodies du symphonique, un guitariste au service des chansons, un claviériste aux sonorités à la fois classique et moderne, et surtout l'originalité de leurs origines (si j'ose dire) orientales.
Ainsi, on retrouve un petit coté du Pull me under de Dream Theater sur The Needle, un léger mixte des Deep blue & Lullaby For Lucifer" d'Angra sur I want to die, et un peu plus marqué le refrain de Ecris l'histoire de Gregory Lemarchand sur Storm of lies … On se laisse donc emporter par des ingrédients connus pour faire un bon menu épicé d'un potentiel chef étoilé tunisien.
Parce que ce qui fait aussi la différence avec les cadors du métal symphonique, c'est surtout les influences orientales évidentes et prononcées, notamment avec des orchestrations et des chœurs très présents qui sentent bon l'oasis. Et on en redemande tant tout l'album nous invite à nous évader vers cet exotisme, comme l'avaient fait les brésiliens.
Toutefois, il manque encore un brin de folie, quelques ''youyous'' ou interludes identitaires encore plus appuyées, pour obtenir le titre de ''chef d’œuvre''. Mais le groupe n'en est pas loin. La marge de progression est encore intéressante, et c'est avec confiance que l'on croit ce futur chef d’œuvre réalisable. Inch'Allah
En attendant, Myrath apporte un Simoun de fraîcheur agréable dont on n'a pas envie de se voiler les oreilles pour l'apprécier entièrement.
Mais internet est notre ami pour chercher le précieux. Et c'est donc avec bonheur que je lui offris le précédent et vivement conseillé album Tales of the sands du groupe, dont le métal symphonique et mélodique dépaysant me séduisit.
Si je n'ai pas poursuivi le plaisir avec les précédents albums, c'est avec impatience toutefois que j'attendais ce 5° album espéré comme le chef d’œuvre, comme le furent ''Holy Land'' d'Angra, et ''Images and words'' de Dream Theater.
Car le groupe tunisien possède tous les ingrédients pour nous sortir un chef d'oeuvre, et être un futur grand du genre : un chanteur à la voix somptueuse, puissante et modulables à la … Gregory Lemarchand, la technique du prog, les mélodies du symphonique, un guitariste au service des chansons, un claviériste aux sonorités à la fois classique et moderne, et surtout l'originalité de leurs origines (si j'ose dire) orientales.
Ainsi, on retrouve un petit coté du Pull me under de Dream Theater sur The Needle, un léger mixte des Deep blue & Lullaby For Lucifer" d'Angra sur I want to die, et un peu plus marqué le refrain de Ecris l'histoire de Gregory Lemarchand sur Storm of lies … On se laisse donc emporter par des ingrédients connus pour faire un bon menu épicé d'un potentiel chef étoilé tunisien.
Parce que ce qui fait aussi la différence avec les cadors du métal symphonique, c'est surtout les influences orientales évidentes et prononcées, notamment avec des orchestrations et des chœurs très présents qui sentent bon l'oasis. Et on en redemande tant tout l'album nous invite à nous évader vers cet exotisme, comme l'avaient fait les brésiliens.
Toutefois, il manque encore un brin de folie, quelques ''youyous'' ou interludes identitaires encore plus appuyées, pour obtenir le titre de ''chef d’œuvre''. Mais le groupe n'en est pas loin. La marge de progression est encore intéressante, et c'est avec confiance que l'on croit ce futur chef d’œuvre réalisable. Inch'Allah
En attendant, Myrath apporte un Simoun de fraîcheur agréable dont on n'a pas envie de se voiler les oreilles pour l'apprécier entièrement.
Label : | VeryCords |
Sortie : | 2016 |
Production : | n/a |
Discographie : |
2005 : Double Face (uniquement en Tunisie) sous l'ancien nom du groupe X-Tazy ; |
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