constitué du duo Anglais Glenn Hughes / Jason Bonham et des Américains Joe Bonamassa/ Derek Sherinian, s'en est allé prêcher la bonne parole dans une vaste tournée qui les a conduit sur notre bonne vieille Europe.
Kevin Shirley, leur génial producteur, n'a pas laissé passer l'occasion pour filmer et produire ce formidable évènement, capturé vivant, comme si on y était. Dès l'entame, la caméra, à bord d'un véhicule, filme une route. Pour illustrer ces images, on a droit à l'instrumental Révolution Of The Machine qui pourrait servir de générique pour un film d'action. Le groupe arrive sur scène et attaque avec Black Country. Joe attaque avec un riff qui bourdonne, Glenn gesticule dans tous les sens avec sa basse et donne de la voix. Jason assure avec précision un tempo efficace et Derek reste concentré sur son clavier. Le ton est donné et Joe nous gratifie d'un chorus à la Jimmy Page.
L'influence du Led Zep, multi périodes, fait partie de la marque de fabrique du combo et se distingue, tout au long du concert, à des moments divers, dans des morceaux tels que Crossfire, Save Me, I Can See Your Spirit, The Outsider ou encore The Great Divide. Autres clins d’œil disséminés ça et là, le très Hendrixien Beggarman, ou, le tout en feeling, Song Of Yesterday, avec un phrasé à la Gary Moore, et, un chant à la Paul Rodgers, mais, aussi, Faithless et Sista Jane qui jouissent de quelques couleurs AC/DC.
Chaque morceau est parfaitement maitrisé par le quatuor qui se sublime sur les trois pièces maitresses de ce set sans faille. D'abord, The Battle For Hadrian's Wall, où Joe sort la Gibson double manche, si chère à Jimmy Page, et, interprète le morceau de sa voix chaude et mélodique. Jason nous offre des breaks dignes de son père et Derek nous rappelle que Jon Lord fait partie de ses influences. Ensuite, il y a Cold, qui démarre avec une nappe de clavier pour créer le climat, et, sur laquelle, Glenn vient greffer une voix qui ira crescendo, jusqu'au chorus apocalyptique de Joe. Enfin, arrive The Ballad Of John Henry avec un tempo qui rappelle celui de John Bonham dans When The Levee Breaks et où Derek se transcende dans un chorus fantastique. Trois superbes compositions où les quatre virtuoses offrent tout leur talent au service du collectif.
Bien sur, on appréciera, aussi, les deux tubes que sont One Last Soul ou encore Man In The Middle, mais, surtout, Burn, l'excellente reprise de Deep Purple, offerte en rappel, où Glenn ( co-auteur du morceau car ex Deep Purple) s'essaie à imiter David Coverdale le chanteur de l'époque, et, Derek sonne, encore, comme son idole Jon Lord. Le public est enthousiaste et salue les musiciens avec une standing ovation.
Le générique de fin défile sur Smokestack Woman et on reste sans voix après ce concert époustouflant auquel on vient d'assister assis dans son fauteuil. Ce DVD est conditionné dans un magnifique coffret avec un deuxième DVD en bonus. On y trouve le Makin'Off, des interviews et des photos.
Si vous aimez Led Zep, Deep Purple, si vous possédez un lecteur Blue Ray, un Home cinéma avec Dolby Stéréo vous allez vous régaler ( surement plus que les autres) et vivre, cet instantané Live, en totale Communion avec ces messagers de la musique Black, éloignés de leur Country, mais venus nous faire entendre leur prophétie. Un must à posséder dans toute bonne vidéothèque
Kevin Shirley, leur génial producteur, n'a pas laissé passer l'occasion pour filmer et produire ce formidable évènement, capturé vivant, comme si on y était. Dès l'entame, la caméra, à bord d'un véhicule, filme une route. Pour illustrer ces images, on a droit à l'instrumental Révolution Of The Machine qui pourrait servir de générique pour un film d'action. Le groupe arrive sur scène et attaque avec Black Country. Joe attaque avec un riff qui bourdonne, Glenn gesticule dans tous les sens avec sa basse et donne de la voix. Jason assure avec précision un tempo efficace et Derek reste concentré sur son clavier. Le ton est donné et Joe nous gratifie d'un chorus à la Jimmy Page.
L'influence du Led Zep, multi périodes, fait partie de la marque de fabrique du combo et se distingue, tout au long du concert, à des moments divers, dans des morceaux tels que Crossfire, Save Me, I Can See Your Spirit, The Outsider ou encore The Great Divide. Autres clins d’œil disséminés ça et là, le très Hendrixien Beggarman, ou, le tout en feeling, Song Of Yesterday, avec un phrasé à la Gary Moore, et, un chant à la Paul Rodgers, mais, aussi, Faithless et Sista Jane qui jouissent de quelques couleurs AC/DC.
Chaque morceau est parfaitement maitrisé par le quatuor qui se sublime sur les trois pièces maitresses de ce set sans faille. D'abord, The Battle For Hadrian's Wall, où Joe sort la Gibson double manche, si chère à Jimmy Page, et, interprète le morceau de sa voix chaude et mélodique. Jason nous offre des breaks dignes de son père et Derek nous rappelle que Jon Lord fait partie de ses influences. Ensuite, il y a Cold, qui démarre avec une nappe de clavier pour créer le climat, et, sur laquelle, Glenn vient greffer une voix qui ira crescendo, jusqu'au chorus apocalyptique de Joe. Enfin, arrive The Ballad Of John Henry avec un tempo qui rappelle celui de John Bonham dans When The Levee Breaks et où Derek se transcende dans un chorus fantastique. Trois superbes compositions où les quatre virtuoses offrent tout leur talent au service du collectif.
Bien sur, on appréciera, aussi, les deux tubes que sont One Last Soul ou encore Man In The Middle, mais, surtout, Burn, l'excellente reprise de Deep Purple, offerte en rappel, où Glenn ( co-auteur du morceau car ex Deep Purple) s'essaie à imiter David Coverdale le chanteur de l'époque, et, Derek sonne, encore, comme son idole Jon Lord. Le public est enthousiaste et salue les musiciens avec une standing ovation.
Le générique de fin défile sur Smokestack Woman et on reste sans voix après ce concert époustouflant auquel on vient d'assister assis dans son fauteuil. Ce DVD est conditionné dans un magnifique coffret avec un deuxième DVD en bonus. On y trouve le Makin'Off, des interviews et des photos.
Si vous aimez Led Zep, Deep Purple, si vous possédez un lecteur Blue Ray, un Home cinéma avec Dolby Stéréo vous allez vous régaler ( surement plus que les autres) et vivre, cet instantané Live, en totale Communion avec ces messagers de la musique Black, éloignés de leur Country, mais venus nous faire entendre leur prophétie. Un must à posséder dans toute bonne vidéothèque
Label : | Mascot Records |
Sortie : | 13/06/2011 |
Production : | Kevin Shirley |
Discographie : |
BLACK COUNTRY COMMUNION (2010) |
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Comments:
Commentaires
EEEEENOOOORME !!! 5 ***** pour moi aussi !
Au début des 70's, des live mythiques d'un genre nouveau permettait à tous de profiter de l'énergie de concerts fabuleux, les Made In Japan, Strangers In The Night, Kiss Alive, Live and Dangerous ....
Et bien les années 2000 réinventent le concept avec le blu-ray, nous voilà plongé dans l'arène avec une qualité bluffante ! Mais attention, la qualité technique ne fait pas tout ! On a affaire ici à des sur doués, chacun dans son domaine, et un concert exceptionnel ! Bluffant et jouissif sont les maitres mot, la barre est au plus haut !
Pour celui qui connait le répertoire de B.C.C. , la Track List est impressionnante.
Voila un double DVD que je vais m'offrir sans regarder à la dépense, sans compter que l'image et le son doivent etre top comme le niveau des compositions. Il me tarde de l'acquérir, je sens que je vais me régaler en regardant évoluer sur scène LE super groupe du moment.
John Markus.
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