For the road 2/3 - Avec son requin blanc, Jack Russel, préfère voyager sur les océans.
Et contrairement à Mike Tramp dans le désert (For The Road, épisode 1/3), sur ce coup-là, l'eau de mer semble être une meilleure source d'inspiration.
Moins rock que Great White, on retrouve tout de même là le rock californien plaisant du groupe, sans être ni fade ni transcendant, ainsi que cette bonne voix, qui ici, sonne étonnamment juvénile, Russel ne forçant pas ses cordes vocales comme il a pu le faire dans le passé, notamment en reprenant du Led Zeppelin.
Signs of the time, Blame it on the night, Spy vs spy, My addiction et son côté crooner, vous tiendront éveiller lors du parcours. Le faux reggae mais vrai petit rock She move me, puis le vrai reggae, Don't let me go, vous feront tapoter gentiment le pommeau du lever de vitesse, quand Crazy vous rappellera Aerosmith en plus soft, ou He saw it coming, Queen, et enfin Godspeed, a capella à plusieurs voix, les Beach Boys.
Un album bien sympathique aux ambiances variées donc, pour une bonne ballade
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