Après une première expérience, le groupe change de nom et opte pour Datcha Mandala, qui symbolise une certaine harmonie entre le monde matériel et sprituel dans la tradition Boudhiste.
Influencé par les sonorités musicales des Séventies, le répertoire du groupe se constitue, d'abord, de reprises, telles que Black Dog de Led Zeppelin, puis très rapidement, s'étoffe avec des compositions personnelles très originales. Petit à petit, l'alchimie prend corps et la formation se produit sur scène assez régulièrement dans la région Bordelaise avec succès. Jouissant d'un bon Karma, le trio Girondin rencontre, alors, des personnalités Bordelaises telles que Chinois ou Mr L. (dit le Joker) pour les prendre en main, afin d'envisager une autoproduction au sein d'un petit label associatif ( Bramar Records) et enregistrer ce premier CD dans le studio du Krakatoa à Mérignac.
Dès l'entame, avec Born To Be A Light, le ton est donné. Une voix, dans le genre du maitre de cérémonie qu'on trouve dans Cabaret, la comédie musicale de John Kanter, semble haranguer l'auditeur. Derrière, des roulements de tambour, montés en puissance par Jean Baptiste Mallet, se font entendre. Un Alléluia hurlé annonce l'amorce d'un riff qui bourdonne façon Black Sabs. La voix puissante de Nicolas Sauvey, chanteur et bassiste, vient se greffer et après un passage syncopé, Jéremy Saigne nous gratifie d'un chorus chaud et incisif. Même approche avec God et Philipp, semblable à un essaim de frelons Asiatiques attaquant une ruche d'abeilles, ainsi que, le très rapide Pavot avec un riff ravageur proche d'AC/DC. Autres riffs bien Séventies avec harmonica et chorus psychédéliques genre Robbie Krieger des Doors, on appréciera Zoso ( sigle Kabbalistique qui était inscrit sur l'ampli de Jime Page, guitariste de LED ZEP) ou encore le très Hendrixien, Madison Coffee où Nicolas pulse une ligne de basse parfaitement ciselée. En plus Heavy, on trouve des influences Zéppeliniennes avec Hey Dude au riff bien syncopé, chanté à la manière d'Heartbreaker, suivi d'un passage Psyché façon Whole Lotta Love, ainsi que Loot avec son intro sytle No Quarter, et, où la voix de Nicolas se rapproche beaucoup de celle de Robert Plant. En plus enlevé, on a Misery avec une évolution progressive monté en puissance par une guitare Stoner/Noisy, et, enfin, on a droit à Cutro, un instrumental à la fois planant et psychédélique très Floydien, propice à la méditation transcendantale.
Bref, vous l'aurez compris, Datcha Mandala est un groupe en devenir à découvrir sur disque, mais aussi sur scène. Avec son approche spirituelle, le trio nous démontre une certaine maturité intellectuelle et culturelle dans la conception expérimentale bien équilibrée de leur univers musical. Comme leurs fans, Stéphanie et Bastien, pourraient nous le suggérer, c'est une invitation à une promenade sensuelle au Jardin d'Eden.
Influencé par les sonorités musicales des Séventies, le répertoire du groupe se constitue, d'abord, de reprises, telles que Black Dog de Led Zeppelin, puis très rapidement, s'étoffe avec des compositions personnelles très originales. Petit à petit, l'alchimie prend corps et la formation se produit sur scène assez régulièrement dans la région Bordelaise avec succès. Jouissant d'un bon Karma, le trio Girondin rencontre, alors, des personnalités Bordelaises telles que Chinois ou Mr L. (dit le Joker) pour les prendre en main, afin d'envisager une autoproduction au sein d'un petit label associatif ( Bramar Records) et enregistrer ce premier CD dans le studio du Krakatoa à Mérignac.
Dès l'entame, avec Born To Be A Light, le ton est donné. Une voix, dans le genre du maitre de cérémonie qu'on trouve dans Cabaret, la comédie musicale de John Kanter, semble haranguer l'auditeur. Derrière, des roulements de tambour, montés en puissance par Jean Baptiste Mallet, se font entendre. Un Alléluia hurlé annonce l'amorce d'un riff qui bourdonne façon Black Sabs. La voix puissante de Nicolas Sauvey, chanteur et bassiste, vient se greffer et après un passage syncopé, Jéremy Saigne nous gratifie d'un chorus chaud et incisif. Même approche avec God et Philipp, semblable à un essaim de frelons Asiatiques attaquant une ruche d'abeilles, ainsi que, le très rapide Pavot avec un riff ravageur proche d'AC/DC. Autres riffs bien Séventies avec harmonica et chorus psychédéliques genre Robbie Krieger des Doors, on appréciera Zoso ( sigle Kabbalistique qui était inscrit sur l'ampli de Jime Page, guitariste de LED ZEP) ou encore le très Hendrixien, Madison Coffee où Nicolas pulse une ligne de basse parfaitement ciselée. En plus Heavy, on trouve des influences Zéppeliniennes avec Hey Dude au riff bien syncopé, chanté à la manière d'Heartbreaker, suivi d'un passage Psyché façon Whole Lotta Love, ainsi que Loot avec son intro sytle No Quarter, et, où la voix de Nicolas se rapproche beaucoup de celle de Robert Plant. En plus enlevé, on a Misery avec une évolution progressive monté en puissance par une guitare Stoner/Noisy, et, enfin, on a droit à Cutro, un instrumental à la fois planant et psychédélique très Floydien, propice à la méditation transcendantale.
Bref, vous l'aurez compris, Datcha Mandala est un groupe en devenir à découvrir sur disque, mais aussi sur scène. Avec son approche spirituelle, le trio nous démontre une certaine maturité intellectuelle et culturelle dans la conception expérimentale bien équilibrée de leur univers musical. Comme leurs fans, Stéphanie et Bastien, pourraient nous le suggérer, c'est une invitation à une promenade sensuelle au Jardin d'Eden.
Label : | Bramar |
Sortie : | 07/05/2011 |
Production : | n/a |
Discographie : |
Eden Sensuality (2011) |
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En concert le 12 janvier à BDX 14 rue quai de la monnaie; 21h30 gratuit avec Capitaine Fenetre aux Runes.
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Tout le monde peut voter en allant sur espritmusique.fr.
C'est aussi l'occasion de découvrir les autres talents en compétition, sélectionnés par leurs regions respectives, qui pourraient aussi vous séduire et orienter votre vote en fonction de vos gouts musicaux.
Pour ma part, pas d'hésitation, je voterais pour Datcha Mandala.
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