Coucou c'est moi, qui moi ? J'en connais pleins des moi !
Moi c'est Maënora, I'll be back, alors savourez, je ne serai jamais prolifique (pas le temps), les choses que j'aime, je préfère les faire que d'en parler ... En plus si cela m'occupait trop, ce serait source de conflit à la maison ; vis à vis de moi (lol). Déjà que la 1ère fois, que j'ai annoncé à ma femme qu'on me sollicitait car j'était un bon chroniqueur ; j'étais « enrhubé » et là elle a entendu ... un bon gros ... et la suite ... malaise. Aparté fini, trêve de plaisanterie ! Avec de l'humour si mauvais, je ne vais pas gros niqué (saleté de rhube) longtemps sur R.M.
Little Caesar, What's that ? Visuellement pour les cinéphiles (rien à voir avec les chiens), un mix entre Roadhouse et Bande de sauvages, suis-je clair ? Si on nage total, on loue, on regarde et on revient. Mais pour les plus feignants (et incultes (cool, 2nd degré)), séance de rattrapage, je plante le décor : U.S.A. deux mondes (pour faire court et aller dans le sens de ma chro') :
- Un ; des bodybuildés à la gonflette et stéroïde, torses nus, bronzés dans des shorts fluos en peaux de malabars tendus, sur rollers et gros casques crachant une bouse immonde type MTV et radio grandes ondes, Beurk ! C'est sale !
- Deux ; des bikers, des harleys, de la masse ... mais planqué par des années de boissons et bouffe grasse, des perfs et du cambouie ; & ici avec le malabar on habille les fifilles bodybuildées mais seulement des pectoraux ... C'est beau !
Et pour la bande son Little Caesar, of course, Dire que c'est mecs ne sont pas du Texas, mais de Californie. Quel mérite ! Pour ceux qui ne voient pas le décor, pas de pardon ; achetez l'album et vous aurez ma Redemption ! (Oh ! Faut suivre c'est le titre de l'opus).
Touche « Play », les portes du saloon battent et s'ouvrent ; ça sent le whisky et le bourbon, la bière, les huiles et ça pue le tabac froid, des choses que je peux avoir en exergue, mais là il ne s'agit que d'une allégorie et sur l'écran du PC. L'odeur je supporte. Les motos sont attachées dehors.
Que disent les zicos ; merci, ouais bah ça ils le disent tous. Ils nous informent qu'ils ont souhaité un retour dans le passé, un album sans prise de tête, précisant que la bonne musique c'est une interaction entre musiciens et fans, ils se la jouent modestes, achetez le Cd, travaillez votre anglais et lisez.
La modestie, un signe des grands ; la preuve : quelqu'un m'a déjà entendu dire que j'étais grand, fort, beau et intelligent ? Non ! (Ma femme ça ne compte pas). Ceux qui ont dit petit, faible, moche et con ; vous sortez. Prenez vos rollers, vos shorts fushias et même si vous êtes, blanc bec et gringalet ou grassouillet, on roule.
Sinon, histoire de parler musique, l'album : Du gros rock qui tache, Little Caesar, Rules !!! C'est roots, pur, brut de décoffrage. Un groupe ayant vu le jour en 1987 et pauvre de ... quatre albums plus un Ep ; ayant déjà vu passer trois guitaristes, un départ et un retour du chanteur.
Un reproche, un seul, les gars ont vieilli ??? Et nous refilent ... trois ballades, plage 5, 8 et 11 ; perso' je m'en serai passé, j'en aurait gardé, une, une et demie mais pas plus. Le titre le plus bluesy.
Si l'on compare cet album avec l'éponyme, on dira que celui-ci est beaucoup moins radio. Mais la recette Little Caesar est bien là, du pur jus. Dans l'esprit des premiers ZZTOP, avec plus de cambouis, un achat amplement mérité et justifié.
Pour saucissonner court, tout ce qui pulse est « excellent » ; mais je ne m'attarderai que sur celles-ci Witness Stand est l'esprit de l'album, Red Rock Drive et Woodstock sont « hymniques (*)» Sick and Tired est un pur retour au source.
Just Like A Woman ressemble à du Eric Sardinas, sa guitare dumbro. Un groupe qui n'a pas connu le succès qu'il mérite, il est toujours temps de réparer.
Highlights : Titres en gras séparés par des virgules
Label : | Rock Candy |
Sortie : | 14/09/2010 |
Production : | Little Caesar & Robin Holden |
Discographie : |
Name your poison (Ep, 4 titres) (1989) |
Liens multimédia - videos | SITE OFFICIEL | MYSPACE |
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